Blue Period, Tome 8

Le nouveau personnage Yakumo est vraiment marrant! Très hâte de découvrir ce qui arrivera au groupe mikoshi!

Une suite très sympa ! C'est important de voir que la vie d'étudiant n'est pas facile, que parfois c'est dur et qu'on se sent inférieur à ses camarades, parce que ça révèle bien la réalité des études supérieures.

Pourtant Yaguchi est encore là et il essaye de se donner à fond, de trouver sa place.

D'ailleurs le fait que les projets changent un peu, avec des installations et le festival de l'école à préparer, est sympa, ça donne un peu d'originalité dans la peinture à l'huile.

Travail demandé : Tokyo à travers les âges. Excuses données : Trop de vues et de perspectives intéressantes à explorer.

Inside joke mise à part, Yatora avance petit à petit sur le chemin de la maturité artistique tandis que les fortes personnalités des premières années se dévoilent. Je suis particulièrement fan des "3 huit".

Entre toutes ces fortes têtes, Yatora parviendra-t-il à développer un esprit d'équipe ?

J'adore toute la première partie du manga où Yatora est au lycée, elle est pour moi un condensé de passion, de questionnements intéressants et d'émotion pure. Le passage avec Ryuji dans le tome 5 est l'un des moments les plus marquants que j'ai lu dans un manga dernièrement et je ne pèse pas mes mots quand je dis que c'est à couper le souffle.

Malheureusement, bien que cette saga continue d'être pour moi excellente, ce tome ci est en dessous de ce que nous avions eu jusque là. Le début de l'arc à l'université était dur, avec un héros perdu, découragé et qui ne semble pas voir le bout de ses questionnements. Mais ce tome 8 ne se concentre pas sur l'évolution de Yatora et met plus en avant d'autres personnages comme Kinemi ou dans une moindre mesure Ayano avec la construction du char et j'ai l'impression que depuis le début de cet arc au tome 7 (qui nous expose tout de même très bien les difficultés de la vie d'étudiant en art avec l'impression de ne pas être assez bon, les professeurs cryptiques qui ne donnent que des commentaires négatifs sans apporter de piste aux élèves et le fait d'être complètement perdu), il manque ce qui m'avait fait avoir un coup de cœur pour ce manga: l'émotion pure.

Jusqu'au tome 6, on suivait le héros au lycée, dans son apprentissage de l'art, ses remises en question, ses blocages, mais surtout ses réussites incroyablement satisfaisantes, et ça sans parler des moments d'émotion pure tout simplement bluffants. Bien que ça reste très qualitatif, j'ai l'impression qu'avec tout cet arc où le héros est perdu et s'enfonce dans une spirale négative, on en oublie la passion qu'il y avait au début ainsi que le pouvoir de l'art pour se concentrer sur des professeurs très peu encourageants et des personnages qui stagnent. J'espère que cela va s'arranger dans les tomes suivants car l'émotion qu'il y avait dans les 6 premiers tomes commencent à sérieusement manquer selon moi, bien que je comprenne la nécessité de montrer la réalité d'une école d'art et de faire douter autant le héros. C'est juste que ce genre de négativité était en général résolue dans le tome même et que pour l'instant, j'ai l'impression que l'arc à l'université n'arrive pas à l'excellence et au niveau d'émotion brute que pouvait avoir l'arc du lycée qui a été un coup de coeur absolu pour moi.

On sent que Yatora n'a plus tout à fait la même motivation que lors de sa prépa.

Spoiler(cliquez pour révéler)Pas sûre d'aimer ces profs de Geidai. On dirait qu'ils pensent avoir la science infuse, qu'ils savent tout sur l'art. En plus de rabaisser les élèves. Pas étonnant que Yatora soit si découragé.

Avant même de me plonger dans la lecture, je sais pertinemment que je vais aimer ce que je vais lire. Il y a des romans ou encore des mangas comme ça qui nous plaise comme ça et on fait d’avance que chaque tome qu’on va lire va nous plaire. Même si on ne sait pas de quoi ça va parler, on sait. Blue period fait parti de ces histoires que j’aime énormément. Chaque tome est un vrai plaisir à découvrir. Cette histoire est de plus en plus intéressante et suivre les aventures de Yatora est hyper intéressant.

Dans ce huitième tome, on retrouve Yatora qui déchante vite après son entrée à Geidai. Non seulement il se sent incompétent comparé aux autres étudiants mais en plus de ça, les professeurs lui font comprendre qu’il doit commencer par oublier tout ce qu’il a appris jusqu’ici pour trouver sa propre identité artistique.. Rien ne semble gagné pour Yatora, qui est exaspéré autant que dépité. Mais il reste ouvert à la découverte d’autres centres d’intérêt!

Evidemment, sans surprise, j’ai encore une fois adoré ce tome! Le nouvel arc est particulier comparé au précédent. Alors ce n’est pas que je n’aime pas, bien au contraire! Mais le rythme à l’école des ats est tout de même particulier. Je m’attendais à suivre bien plus de cours que ça alors qu’en fait pas tellement. D’ailleurs, ils ne passent pas beaucoup de temps à l’université, les étudiants sont un peu laissés libre. On découvre de nouveaux personnages désormais même si ils restent assez secrets pour le coup. Enfin du moins on n’en sait pas trop sur eux. J’ai surtout hâte d’en apprendre plus sur Yakumo, ce personnage m’intrigue énormément! Il est plutôt drôle et surtout il est assez particulier.

J’ai hâte de découvrir le neuvième tome. Plus on avance dans le manga plus l’histoire devient intéressante. La vie étudiante de Yatora lui rend la vie assez compliquée. Il ne cesse de se remettre en questions. D’ailleurs plus il avance dans son année plus il doute. Et les réflexions que ses professeurs lui disent n’arrangent pas sa situation. Mais il ne cesse d’apprendre et ne lâche rien et ça c’est vraiment un trait de caractère que j’aime chez lui. A force il finira pas encore plus évoluer et prendre confiance en lui.

Bonne suite. Un tome un peu moins dynamique que les précédents à mon goût, mais qui donne tout de même une perspectives intéressante sur le travail de remise en question des étudiants en école d'art. A suivre !

Encore une fois je me suis régalée avec un tome de Blue Period, il a ce truc addictif qui fait que j'ai du mal à lâcher. La vie à l'université à Geidai suit son cours avec toujours plus de difficulté, bien que pour Yatora le schéma me semble être toujours le même... Mais j'ai beaucoup aimé l'esprit d'équipe qui ressort malgré leur petite rivalité pour mener à bien et gagner avec ce projet commun.