David Somers, chef d’orchestre réputé, n’a jamais voulu de la société d’investissement qu’il a héritée de son grand-père autoritaire. Il ne rêve que de composer. Et pourtant, malgré tous ses efforts, David ne parvient pas à coucher sur le papier la musique qui le hante.
Lorsqu’un violoniste invité à l’Orchestre Symphonique de Chicago tombe malade, David rencontre Alex Bishop, son remplaçant. David reste de marbre devant la célébrité et les tatouages du violoniste, mais son talent et sa profondeur le subjuguent.
David a juré de ne plus jamais s’attacher à personne, de peur de faire fuir ceux qu’il aime, ou de les perdre comme il a perdu sa femme et ses parents. Alex est sympathique, sociable, détendu – tout le contraire de David – et il parvient rapidement à ouvrir une brèche dans la muraille qui isole le cœur du chef d’orchestre. Celui-ci commence à rêver d’Alex – des rêves plein de musique. Composer semble redevenir possible.
Mais David, méprisé pendant des années par son grand-père, manque de confiance en lui et a du mal à s’abandonner. Lorsque des failles apparaissent dans son univers rigoureusement ordonné, sa relation naissante avec Alex est la première à en pâtir. Et pourtant, il ne cesse d’entendre la resplendissante mélodie d’Alex. Il voudrait aimer Alex, mais il doit d’abord trouver la force de s’accepter.
Une jolie romance même s’il m’a manqué un peu de piquant pour en faire un coup de cœur.
J’ai été attirée par ce livre de part sa jolie couverture et surtout son résumé car le milieu de la musique classique n’est pas souvent représenté. Et pour ce dernier point, je n’ai pas été déçue, car l’amour des auteurs pour celle-ci transpire à chaque page de l’histoire, faisant d’elle un vrai personnage du livre, un personnage qui évolue au fur et à mesure de l’évolution de David, l’un de nos héros. Ce dernier m’a touchée, cet homme talentueux, qui a tout pour lui sauf la confiance, et qui n’a jamais réussi à dépasser les réflexions et préjugés de son grand-père. J’ai aimé comment il sort de sa coquille au fil des pages et pas en cinq minutes. Les débuts du couple sont plutôt sympathiques car nous prenons le temps de faire connaissance avec nos deux hommes (et eux aussi) mais par la suite, j’ai trouvé Alex très fade, alors que le prologue était si engageant, et sa patience est presque surréaliste et m’a parue manquer de passion…
Apparemment il s’agissait d’un tome 4, même s’ils sont tous indépendants, et je lirai peut-être les autres s’ils sont traduits, car l’univers m’a convaincue dans l’ensemble.
Tout d’abord, je tiens à poser une question : Une série de livres, il y a un tome 1 en générale non ?? Parce que l’histoire présente ; c’est le tome 4…..Je dis ça, je dis rien !!
Enfin bref, sinon quant la famille vous « ordonne » de prendre leur suite à la tête de l’entreprise familiale et que cela vous prend « légèrement » ( Version polie) la tête ; nous avons tendance à vouloir faire ce que l’on veut. Là, l’histoire en elle-même est originale, elle se passe dans le monde de la musique classique (Youpiii !! Oui, j’adore la musique classique).David Somers en sait quelque chose sur le fait de devoir reprendre le flambeau ; mais sa passion a prit le dessus en l’occurrence : la musique classique en tant que chef d’orchestre. Sa réputation n’est plus à faire maintenant.
Tout tourne bien jusqu’à ce que le remplaçant du violoniste invité, arrive…. Il s’appelle Alex et ce n’est pas un violoniste comme les autres.
Deux façons différentes de voir une passion commune, deux âmes différentes qui se cherchent ; enfin surtout David, il n’arrive pas à se défaire de l’emprise de son grand père qui l’a mis plus bas que terre. Heureusement, qu’il y a une « note » ( Alex) qui vient changée toute la gamme !! Une belle histoire qui mets un temps à démarrer, mais qui au fil des pages se transforme en une douce mélodie qui devient un opéra.
Ah là là !! Je vous jures que cela vaut le coup de lire cette histoire même si c’est un tome 4 ( Ne cherchons pas la petite bête de ce côté-là ) , une mélodie qui vous transporte au-delà de vos tracas pendant le temps de la lecture. Merci aux auteurs pour cette valse de sentiments qui sont comme les notes. C’est beau, un moment qu’il faut lire absolument !!
Une romance agréable dans un contexte original, celui de la musique classique. Alex est adorable et attachant. David est agaçant dans ses hésitations mais le livre est une réussite
Attention, gros craquage en vue pour ce livre ! De mémoire, ce n’est que ma deuxième lecture par Shira Anthony, le premier étant Les Tritons d’Ea, paru chez Reines Beaux et dont la qualité de la trad/correction (surtout correction je pense) ne m’avait pas émerveillé. Cela, plus un monde pas tout à fait aussi cohérent que je l’aurais voulu, m’avait fait classer l’auteur dans la liste des « à lire à l’occasion, mais sans se précipiter ». Et occasion il y a eu, avec ce Prélude. Je peux le dire maintenant, je ne l’aurais probablement pas choisi de moi-même, trop romance, trop une impression de déjà lu dans le résumé (le monsieur sévère, l’autre un peu rebelle, les deux mondes qui se rencontrent, les étincelles et pouff, l’amour ? c’est le pitch de base de 50% des romances de ces derniers mois). Mais comme on me l’a gentiment mis sous le nez en disant « lis ça, merci », je l’ai lu et, vous savez quoi ? je pourrais faire un gros bisou à la personne qui me l’a collé dans les mains. Parce que bon Dieu que c’est mieux que le mermaidporn !
L’auteur aime la musique et cela se sent. Sa bio dit qu’elle a été cantatrice, une amie qui a parlé avec elle m’a confirmé qu’elle avait fait des concerts, qu’elle était musicienne et cela transparaît vraiment dans le livre. Elle ne parle pas simplement de musique, elle parle de quelque chose qui l’a touchée au cœur et a fait battre ce cœur pendant des années. Elle décrit merveilleusement les ressentis de David, qui n’arrive pas à laisser sortir sa musique, probablement parce qu’elle est passée par là et c’est magnifiquement juste.
J’aime beaucoup le personnage d’Alex, j’ai aimé découvrir son évolution, voir d’où il est parti et ce qu’il est devenu, parce que c’est un personnage plein d’optimisme malgré tout, plein d’une certaine candeur mais, surtout, de tolérance, de bienveillance et d’espoir. Il croit en lui et dans les gens qui l’entoure. Il est prêt à donner des chances, autant qu’il en faut, pour que ceux qu’il aime puissent être heureux et il est même prêt à s’effacer et s’éloigner, si c’est ce dont ils ont besoin. Cela demande un courage fou, d’être capable de perdre quelqu’un pour le laisser se trouver.
Mais j’avoue que mon vrai coup de foudre va à David. A première vue, ce n’est qu’un énième personnage un peu froid, un peu rigide, un peu chiant, en bref. Mais très vite, il se révèle beaucoup plus profond, sensible et intéressant. Il est plein de fêlures, de ces aspérités qui font les bons personnages et les personnes intéressantes. J’ai aimé sa façon de lutter avec lui-même et, finalement, d’abandonner la lutte en comprenant qu’il fait fausse route. J’ai aimé la façon de se remettre en question et de se trouver au bout du chemin. J’ai aimé son évolution et son rapport à la musique. Ses moments de rêves m’ont emporté et sa réalité m’a serrée le cœur. Alex est mignon, David est beau, même quand il est agaçant.
Bref, j’ai vraiment aimé ce livre. Si vous voulez lire une ode à la musique et découvrir de beaux personnages, foncez. Je vais, pour ma part, me pencher sur le reste de la série dès que possible. Antha
http://meninbooks.eklablog.com/prelude-shira-anthony-et-verona-keyes-a144400916
Résumé
David Somers, chef d’orchestre réputé, n’a jamais voulu de la société d’investissement qu’il a héritée de son grand-père autoritaire. Il ne rêve que de composer. Et pourtant, malgré tous ses efforts, David ne parvient pas à coucher sur le papier la musique qui le hante.
Lorsqu’un violoniste invité à l’Orchestre Symphonique de Chicago tombe malade, David rencontre Alex Bishop, son remplaçant. David reste de marbre devant la célébrité et les tatouages du violoniste, mais son talent et sa profondeur le subjuguent.
David a juré de ne plus jamais s’attacher à personne, de peur de faire fuir ceux qu’il aime, ou de les perdre comme il a perdu sa femme et ses parents. Alex est sympathique, sociable, détendu – tout le contraire de David – et il parvient rapidement à ouvrir une brèche dans la muraille qui isole le cœur du chef d’orchestre. Celui-ci commence à rêver d’Alex – des rêves plein de musique. Composer semble redevenir possible.
Mais David, méprisé pendant des années par son grand-père, manque de confiance en lui et a du mal à s’abandonner. Lorsque des failles apparaissent dans son univers rigoureusement ordonné, sa relation naissante avec Alex est la première à en pâtir. Et pourtant, il ne cesse d’entendre la resplendissante mélodie d’Alex. Il voudrait aimer Alex, mais il doit d’abord trouver la force de s’accepter.
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