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— Hé, peut-être que je pourrai dormir dans ta chambre un jour. Un soir où ton père travaille tard. Ça te plairait ?

Elle hoche la tête.

— On pourra faire une soirée pyjama ?

— Bien sûr !

— Tu as quel genre de pyjamas ? demande-t-elle. Les miens sont presque tous roses.

— Mmh, je ne porte pas de pyjama d’habitude, donc je suppose que je vais devoir en acheter un avant notre soirée.

— Tu dors avec quoi ?

— J’enfile quelque chose de confortable. Comme un débardeur.

— Et une petite culotte ? lance Charlotte. Tu as quel genre de culottes ? Sur les miennes, il y a Mon petit poney et Charlotte aux fraises.

Mon visage se réchauffe et je sais que je rougis. J’essaie de ne pas observer Caleb, mais je jette tout de même un coup d’oeil vers lui. Il regarde droit devant lui, les deux mains posées sur le volant.

— J’ai bien peur de ne pas en avoir d’aussi amusantes.

— Ouais. Je ne sais pas s’ils les font en taille adulte.

— Probablement pas.

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Et si les choses allaient aussi loin entre nous, et qu'on avait un bébé ensemble, ce serait à la fois le frère ou la soeur de Charlotte et son cousin ou sa cousine. Seigneur, on dirait des péquenauds ou quelque chose comme ça.

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— Tu aimais ma maman ? demande-t-elle.

Sa question me prend complètement au dépourvu. Elle me pose rarement des questions sur Melanie. J’ai toujours été ouvert au sujet de sa mère. Je lui ai montré des photos, et je lui ai dit à quel point Melanie l’aimait. Il y a un an environ, elle a voulu savoir comment sa mère était morte, et je lui ai parlé de l’accident de voiture. Depuis, elle n’a plus posé de questions à son sujet.

— Oui, ma puce. J’aimais beaucoup ta maman.

— Est-ce qu’on aime toujours une personne quand elle est morte ?

— Oui. J’aime toujours ta maman. Je l’aimerai toujours. Est-ce que tu as peur que si j’aime quelqu’un d’autre, cela voudra dire que je n’aime plus ta maman?

— Non.

— Alors qu’est-ce qui te tracasse ?

— Est-ce que tu aimais ma maman et moi en même temps ?

— Oui, bien sûr. Je t’ai aimée dès que tu es née. Ça n’a pas changé ce que je ressentais pour ta mère. Je l’ai aimée encore plus parce qu’elle m’a donné le plus beau des cadeaux. Elle t’a donnée à moi.

— D’accord.

— Tu as peur que si j’aime quelqu’un d’autre, je ne t’aime plus autant ?

Elle hoche la tête sans me regarder.

— Oh, ma puce.

Je la soulève de sa chaise et la prends sur mes genoux. Pendant un long moment, je la serre contre moi. Elle enroule ses bras autour de mon cou et je frotte lentement de petits cercles dans son dos.

— Rien ne pourra jamais changer à quel point je t’aime. Rien dans le monde entier.

Je la déplace pour qu’elle soit assise et que je puisse regarder son visage.

— Écoute, ma chérie. L’amour n’a pas de limites. Il est aussi grand qu’on veut qu’il le soit. Tu te souviens du film Le Grinch, quand son coeur grossit ?

— Oui.

— L’amour est comme ça. Avant de rencontrer ta maman, j’aimais ma famille. Aimer ta mère ne m’a pas fait les aimer moins, ça a simplement fait grossir mon coeur. Et quand tu es née, il est devenu si gros que je n’étais pas sûr qu’il tiendrait encore dans mes côtes.

Elle enfonce son doigt dans mon torse et glousse.

— Aimer quelqu’un de plus fait simplement grossir ton coeur. Donc si j’aime quelqu’un d’autre, quelqu’un comme Linnea, ça veut juste dire que j’ai plus d’amour dans mon coeur. Et c’est toujours toi qui as le plus fait grossir mon coeur.

— Je pense que tu devrais te marier avec Linnea, comme ça je pourrai l’avoir comme maman.

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Je lance Netflix et fais défiler les options qui s’offrent à nous.

— Il y a quelque chose que tu aimes regarder ?

— Je suis partant pour ce que tu veux. Je ne regarde aucune série régulièrement ou quoi que ce soit.

— Vraiment ? Aucune ?

— Non. Sauf si tu comptes Mon petit poney.

— Eh bien, au moins cette série n’est pas trop mal.

— J’ai appris que l’amitié est magique, difficile de faire mieux.

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J’ouvre et me retrouve face à mon beau-frère, Weston. Il jette un coup d’œil derrière lui, presque comme s’il avait peur que quelqu’un nous observe, puis entre.

— Salut, mec.

Il me fait un signe de tête et vérifie son téléphone avant de le mettre dans sa poche, d’un air que je ne peux que qualifier de soulagé. Nous allons dans le salon, et il s’installe sur le canapé.

— Tu as l’air vraiment tendu. Tout va bien ?

Il soupire bruyamment et s’adosse au canapé.

— Ouais. J’ai juste besoin de me cacher de Kendra pour un petit moment.

J’éclate de rire.

— Pourquoi ?

— On essaie d’avoir un bébé, annonce-t-il. Et elle me traite comme son usine à sperme personnelle.

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