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Borgia, tome 4 : Tout est vanité



Description ajoutée par Rahan 2011-04-07T15:20:12+02:00

Résumé

Sexe, pouvoir et sang : la fin du règle tumultueux de la famille Borgia.Un scénariste légendaire, un dessinateur non moins illustre, une famille qui a marqué son époque d’une empreinte de stupre et de sang… et voilà Borgia, un must de la bande dessinée contemporaine, dont Tout est vanité constitue l’ultime tome.

La famille Borgia a défrayé la chronique au XVe siècle, en donnant à l’Italie et au monde chrétien deux papes d’une sulfureuse renommée. Les Borgia furent accusés entre autres de simonie, d’empoisonnement, de fratricide et d’inceste… ils incarnent les plus flamboyants symboles de la décadence de l’Église à la fin du Moyen Âge et, par bien des aspects, en tenant Rome et la chrétienté sous leur joug, sont les premiers parrains de l’Histoire.

Violence, luxure, manipulation et conspirations au Vatican forment la trame de cette épopée historique, transcendée par l’écriture paroxystique de Jodorowsky et la séduction trouble du trait de Manara qui, une fois n’est pas coutume, travaille en couleurs directes.

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Classement en biblio - 29 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par guerriere 2014-02-04T18:55:00+01:00

Un de ses visages ... ressemble à ... mon père ... l'autre est celui ... de mon frère ... tuez-le !

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par neicna16 2021-11-07T10:09:58+01:00
Bronze

Ce dernier volume de la série de la lignée des autres volumes : plutôt moyens. Dans l'ensemble, je suis plutôt déçu.

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Commentaire ajouté par Kid_A 2020-04-25T01:46:20+02:00
Argent

Une conclusion certes attendue mais magnifiquement mise en scène par Jodorowsky et Manara. Un vrai plaisir à lire!

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Commentaire ajouté par Parthenia 2016-04-02T10:28:48+02:00
Lu aussi

Spoiler(cliquez pour révéler)Après la tentative d'empoisonnement de sa femme, Giovanni Sforza s'enfuit de Pesaro pour chercher refuge auprès de son oncle.

Pendant ce temps, l'expédition de Charles VIII touche à sa fin, mais le roi ne peut savourer sa victoire bien longtemps car il meurt au sommet du Vésuve, emporté par la lave du volcan alors qu'il était en train de forniquer !! (vivivi, vous avez farpaitement lu ! )

Cette mort permet à César Borgia de réapparaître au grand jour, plus ambitieux que jamais ! Surtout qu'il a reçu les sages enseignements de son philosophe d' hôte Machiavel, qui lui conseille carrément de hâter la mort de son papa de pape (vivivi, on ne faisait pas dans la dentelle en ce temps-là ! ) pour prendre sa place sur le trône de St Pierre !

Seulement voilà, Alexandre-Rodrigo a rappelé à ses côté son fils préféré, Juan de Gandie auquel il confie le commandement suprême des Etats de l'église, charge que briguait César qui réagit furieusement à cette annonce ! A cette occasion papa Rodrigo, Juan et César échangent de copieuses insultes que la décence m'empêchent de retranscrire ici. Je ne dirai pas par exemple que César a traité son frère de "maudit pédé", "suceur de bites!" ni que Rodrigo, exaspéré, l'a illico renié en lui disant que "ta putain de mère t'a engendré avec un domestique !", non non non, ni que César a répliqué : "Juan à la tête de ton armée ? Comment pourrait-il gagner : il a des ovaires à la place des couilles ! Vous courez au désastre, paire d'andouilles !" (vous remarquerez que la colère n'empêche pas César de faire des vers ! ), ce à quoi Rodrigo et Juan ont répondu de concert : "Crétin ! Insolent! Je vais t'excommunier!" et "Que tes putes te refilent la vérole !" (ce qui n'est quand même pas très gentil gentil...)

Bon alors, autant vous dire tout de suite que les voeux de Juan à l'endroit de César de choper la vérole ont bien vénère le cardinal qui réagit un peu excessivement... Bref, le corps de Juan est donc repéché dans le Tibre, et le pape, malgré son désespoir, décide de se réconcilier avec César au nom de son rêve italien !

Hélas, le deuil continue de frapper cette famille aimante et unie, puisque Lucrèce meurt en accouchant d'un siamois ! Et dans l'indifférence générale,en plus... J'avoue que cet épisode est expédié en 2 planches, l'occasion pour les auteurs de nous montrer en direct live une césarienne ( mais quoi de plus naturel pour la naissance du fils de César ? - désolée pour ce jeu de mots douteux, je craque !)

Or donc, César n'a pas de temps pour les larmes, il a une guerre à mener. Et pour réunir toutes les conditions de succès, il convoque chez lui Léonard de Vinci afin qu'il invente pour lui des armes nouvelles et puissantes. Il lui offre même pour cette commande une fortune colosssale, que Vinci décline. Alors, il lui offre son corps ! En tout cas, un aperçu pour commencer... et franchement, César est super bien gaulé (oui, je sais, il est tout pourri ce jeu de mots ) J'avoue que j'ai un peu beaucoup bavé sur son corps de dieu grec... Mais je m'égare... Donc, pour sceller cet accord peu conventionnel, César roule un méga patin à Léonard ! Apparemment, ce baiser a complètement inspiré le génie qui dessine pour son fougueux amant des machines volantes. Et le truc le plus fou, c'est que César, à l'aide de ces machines, remporte des succès foudroyants ! Nom de Zeus ! Qui a donc déchiré le tissu du continuum espace-temps ? Ah non, merde je me trompe de série...

Enfin bref, César fait plier toutes les grands familles d'Italie et les met à sa botte (oui, encore un jeu de mots pourri et j'en suis fière ! ).

Mais César devrait savoir que la chute n'est jamais loin du sommet... Déjà, son beau visage est défiguré par la vérole. Ensuite, son père est empoisonné par Della Rovere qui est élu pape. Enfin, ses amis, croyant le mettre en sûreté, l'envoie auprès du roi de Navarre qui le fait transpercer de lances dès sa descente sur les quais...

Et c'est ainsi que se termine le rêve de conquêtes et celui d'une Italie unifiée qu'avait porté la famille Borgia !

D'où le titre de l'album, vous suivez ?

Alors que pouvons-nous en conclure, à part que ce tome m'a inspiré des jeux de mots plus pourris les uns que les autres ? Tout simplement que c'est l'album de trop... On a l'impression que les auteurs avaient hâte d'en finir avec la série. Les albums précédents étaient déjà pas mal excessifs dans la description des Borgia et l'usage des rumeurs sur leur compte, mais avec celui-là, on tombe dans l'outrance outrancière ! Ah, je note quand même une différence : les scènes de sexe ont presque disparu pour céder la place à des scènes de torture et de sévices (finalement, je me demande si je ne préférais pas le sexe à gogo !! )

Bref, les approximations historiques virent au grand n'importe quoi, franchement, j'ai failli m'étrangler de rire tellement certaines scènes étaient surréalistes ! A croire que le scénariste a complètement craqué... ou a écrit sous l'effet de substances psychotropes... (un peu comme moi pour cette chronique !! )

Encore une fois, le dessin de Manara est toujours aussi beau et élégant et sauve la série d'un ratage complet...

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Lu aussi

On assiste à la dissolution de la famille Borgia, Lucrezia meurt en accouchant un enfant à deux têtes (en même temps quand tu couches avec ton père et ton frère, la consanguinité ça ne pardonne pas...regardez Joffrey Baratheon et Viserys Targaryen dans Game Of Thrones!!), César meurt je ne sais plus trop comment. Enfin un bain de sang.

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Commentaire ajouté par Brascia 2013-07-14T13:53:45+02:00
Bronze

Dans cet ultime tome la famille Borgia si forte et soudée au début du récit s'effrite petit à petit et voit ses membres tomber un à un. C'est la fin du règne et de la puissance des Borgia.

Une très bonne série que je suis très heureuse d'avoir lue: de superbes dessins, un récit très bien raconté et un enseignement Historique sont les principaux composants de cette bande dessinée.

Je conseille fortement!

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Commentaire ajouté par Lily-Ann 2012-09-23T14:35:05+02:00
Argent

Un final inattendu, surprenant ! une serie superbe pas ses dessins, et son inventivité!

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