Commentaires

Un livre post-apo qui sort des sentiers battus avec un florilège de monstres. Certes une lecture jeunesse mais sympathique à lire surtout si on est fan du genre.

Super roman post apo avec pleins de monstres super cool! J’ai adoré l’originalité de l’histoire. Bien écrit, facile à lire, drôle et bien pensé.

Coup de coeur pour moi !

Une intrigue post-apocalyptique originale, qui ne tombe pas dans le cliché. J'ai été positivement surprise plusieurs fois au cours de ma lecture.

Bref, j'ai adoré !

Très chouette lecture! Dès la première page j'étais conquise, je l'ai tout simplement dévorée. Un seul tome bien construit et bien que l'action se déroule rapidement, j'étais satisfaite de la fin. Un petit coup de coeur!

Concordia. Une ville post apo, où les ados se baladent avec un couteau à la ceinture, une batte de baseball à la main, où les cœurs dispensés intègrent des modules de survie ou l'identification et la manière de neutraliser un mutant, des razards ou encore des poltergeists. En bref une ville hétéroclite bordée de ses zones rouge où l'on crève de faim et risque sa vie à chaque coin de rue.

C'est une chouette lecture, un peu lente au début. Le récit, au travers de la tranche de vie de trois ados, Sam, Yvette et Danny, dépeint des actualités sociétales le tout dans un environnement post-apo glauque et fantasque. Et les sujets comme la différence et son acceptation sont intelligemment abordés sans râbacher mais vécus de façon naturelle par ses jeunes gens et leur vision du moment qui évoluera au fil de leurs expériences.

On peut dire que l'auteur ne manque pas d'imagination avec ses fortes inspirations aux années 80/90.

En bref un moment sympathique de lecture qui sera davantage instructif pour le public visé.

Au début je voulait pas trop le lire mais en vrai il est super

Une lecture post-apocalyptique qui change des schémas habituels. J’ai passé un très bon moment : beaucoup d’actions, une aventure originale.

Encore un excellent livre d'Ariel Holzl. Une histoire intéressante, une écriture addictive, fluide et un imaginaire hors du commun .Un merveilleux moment de lecture .

Qu’est-ce qui vient après l’apocalypse ? La Bpocalypse.

Ce nouveau roman d’Ariel Holtz ne pouvait que me convaincre. Oui, j’aime bien les ambiances post-fin du monde. Tellement que j’ai lu de nombreux livres sur le sujet, et que j’aime donc bien quand le genre arrive à se renouveler. Et c’est bel et bien le cas ici.

Déjà, il y a certes une ville retranchée derrière ses barricades et des réserves de nourriture défaillantes, avec des familles décomposées (dans tous les sens du terme). Mais vous aurez aussi droit aux animaux mutants, aux zombies, aux climats déréglés… et également aux fantômes qui génèrent de l’électricité, aux jackalopes et à tout un univers très riche. Je ne vous dévoile pas tout, pour ne pas vous gâcher la surprise, mais je crois bien que l’auteur s’est amusé à piocher dans tout ce qui lui faisait plaisir dans ce type d’ouvrages, pour en parsemer son livre. Cela aurait pu être un beau bazar, mais le tout crée surtout un univers riche et imagé (mention spéciale à la mise en page du roman, d’ailleurs).

Les personnages principaux sont très bons (j’ai beaucoup aimé Yvette, son bayou, son bagout et ses lunettes rondes). Mais ce que vous remarquerez dès le premier abord, et qui est en réalité le fil rouge caché du roman, c’est leur diversité. Elle est présente dans le folklore, dans les paysages, dans les personnages. Dans tous les personnages. Et vous en arriverez à vous demander pourquoi certains l’acceptent plus facilement dans les premiers éléments de la liste que dans les derniers… Certes il en faut, de l’ouverture d’esprit, pour ne pas être effrayé par un adolescent mutant aux rangées de dents pointues. Samsara, qui est le personnage principal, arrivera-t-elle à accepter ainsi ces nouvelles différences ? Et, surtout, devrait-elle le faire ? Ça, c’est l’histoire qui vous le dira. Car, au cas où vous en doutiez, il y a de l’action dans ces pages (on est dans un post-apo, pas dans un essai philosophique, nom d’une araignée albinos).

Je ne me suis pas ennuyée une seule seconde. Je me demandais à chaque chapitre ce que l’auteur allait encore imaginer pour les suivants. Et, si vous avez déjà lu Ariel Holtz, vous savez qu’il ne manque pas d’imagination. Il ne m’a donc pas déçue dans cet ouvrage.

J’avoue, pourtant, ce que j’ai préféré, c’est la fin. Pas parce que j’arrivais à la fin du livre (qui aime ça ?), mais parce que le message en était très bon. Cependant, je ne pourrai pas vous en parler ici : c’est à vous de le lire, maintenant, pour le découvrir !

Je m'attendais à beaucoup mieux et j'avoue avoir été déçue par ce roman. La thématique et la quatrième de couverture étaient intéressantes et au final, j'ai eu beaucoup de mal à m'attacher aux personnages et l'intrigue s'est révélée décevante... C'est dommage, car l'histoire avait un beau potentiel... Toutefois, le roman se lit facilement et rapidement.