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Extrait ajouté par Jo-36 2022-10-30T08:28:00+01:00

Vaincue, je lui lançai un regard noir.

- D'accord. Et maintenant, que suis-je censée faire pendant les deux prochains jours ? grommelai-je.

L'expression de Ravik se radoucit et un sourire étira ses lèvres.

- En fait, quand je suis arrivé, et avant que tu ne me sautes dessus...

Il rit face à mon regard d'avertissement.

- ... j'avais prévu de te demander si tu voulais venir voir les montures de course. Nous pourrions peut-être même nous balader avec. Elles sont plus petites que les karvélis, alors tu ne devrais avoir aucun problème à en monter une toute seule.

Toute colère oubliée, je le regardai avec des yeux exorbités et la bouche bée.

- Tu veux dire aujourd'hui ? demandai-je.

- Je veux dire tout de suite, dit Ravik avec une lueur taquine dans les yeux. Enfin, après que je me sois changé, ajouta-t-il en se regardant.

- Alors pourquoi n'as-tu pas fini de te changer ? demandai-je.

Ravik rit.

- Tout de suite, Maîtresse.

Je ne pus m'empêcher de sourire.

Il sera ma perte.

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Extrait ajouté par taibhs_ghost 2021-04-10T03:47:15+02:00

— Mercy, tu sais que je suis en faveur du changement, mais tu ne peux pas simplement tout renverser du jour au lendemain et penser que cela ne fera pas de remous, arguai-je en glissant mes doigts dans mes cheveux. Les hommes ont déjà fait énormément de concessions. Donne-leur le temps de s’ajuster avant de leur présenter d’autres exigences.

— Cela n’a rien à voir avec eux ! s’exclama Mercy. Pourquoi les hommes doivent-ils toujours tout ramener à eux ?

— Parce que nous sommes des idiots rongés par l’insécurité et que nous avons besoin que nos femmes nous prennent avec des pincettes, sinon nous tombons en morceaux. Et quand cela se produit, c’est excessif et pas très beau à voir, dis-je en me rapprochant lentement d’elle.

Elle s’ébroua.

— C’est ÇA, ta justification ?

— Ce n’est pas une justification, simplement les faits, dis-je en haussant les épaules. Ne penses-tu pas que je fais face au même problème chaque fois que je…

Une odeur subtile, inhabituelle me fit figer sur place.

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Extrait ajouté par taibhs_ghost 2021-04-10T01:40:17+02:00

Mes yeux s’ouvrirent sur un plancher couvert de plaques métalliques, comme celles que l’on peut trouver à l’arrière de la boutique d’un boucher. Idéal pour laisser s’écouler le sang des animaux abattus : moi, dans le cas présent. Une main s’empara soudainement de mes cheveux et les tira avec force, m’obligeant à regarder le visage tant haï.

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Extrait ajouté par taibhs_ghost 2021-04-10T00:46:18+02:00

— Cependant, ton petit incident a soulevé bien des questions, dit Kéran, la lueur moqueuse réapparaissant dans ses yeux.

Je lui lançai un regard incrédule de le voir revenir sur ce sujet.

Il l’ignora.

— Pendant un moment, nous avons tous craint que Père ne te tue, ou du moins qu’il ne te blesse grièvement. Après tout, aucune autre femme non-braxienne n’a réussi à prendre l’un d’entre nous, et encore moins un homme de la taille de mon père, sans y être longuement préparée.

Je le regardai, bouche bée.

— Sommes-nous sérieusement en train de discuter de la taille du pénis de ton père ?

— Oui, parce que cela a soulevé une question quant à ma théorie sur toi, dit Kéran.

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Extrait ajouté par taibhs_ghost 2021-04-10T00:40:25+02:00

Je me rinçai l’œil abondamment en observant les hommes. Comment aurais-je pu faire autrement quand plus de cinquante hommes, torse nu, grognaient et se démenaient en s’affrontant ? Seule une morte demeurerait insensible à cet imposant étalage de muscles masculins luisant de sueur. Cela ne m’excita pas, mais je ne me plaignais certainement pas de la vue.

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Extrait ajouté par taibhs_ghost 2021-04-09T22:53:34+02:00

Lançant un regard de biais à Ravik, je me mordis l’intérieur des lèvres pour ne pas rire de la manière féroce dont il poignardait Gorav du regard. Ce n’était pas la faute du pauvre homme si j’avais insisté pour y aller aujourd’hui.

— Arrête de lancer des regards noirs à mon fils, dit Krygor en tapant amicalement l’épaule de Ravik. Lui et mes hommes de clan vont garder ta femelle en sécurité. N’oublie pas que c’est à moi qu’Anton avait initialement confié sa protection, dit-il d’un ton moqueur.

— Elle m’a, moi, grommela Ravik, plus grognon que jamais.

Loin d’être intimidé, Krygor semblait amusé par le caprice de Ravik.

— Seulement parce que tu t’es faufilé avant que j’en aie été capable. Nous savons tous les deux que si elle m’avait rencontré en premier, elle m’aurait reconnu comme étant le meilleur homme.

Ravik s’ébroua, son humeur se radoucissant quelque peu.

— Tu rêves, vieil homme.

— Pas du tout. J’ai à peine cinq ans de plus que toi, dit Krygor d’un ton dédaigneux.

Se tournant vers moi, il murmura sur un ton conspirateur.

— Ne te laisse pas tromper par quelques cheveux gris. Ils sont la preuve que je possède la sagesse qui lui fait défaut. Quand tu te seras lassée de lui et voudras un vrai homme, fais-moi signe.

Je me mordis la lèvre inférieure pour ne pas éclater de rire, adorant leur badinage

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Extrait ajouté par taibhs_ghost 2021-04-09T18:30:05+02:00

Je retournai vers Torvin qui avait repris connaissance. Le souffle court et les yeux remplis de souffrance, il me regarda avec résignation.

— Pour tes crimes, tu ne recevras pas les funérailles d’un guerrier. Tu pourriras ici et nourriras la vermine. Puisse ton sort servir d’exemple. Quiconque trahit Braxia sera à la merci du Magnar et ne recevra aucune pitié.

Levant ma hache encore une fois, je plongeai mon regard dans celui de Torvin.

— Ta punition était pour tes crimes. Mais ça, c’est pour Lissy.

Le dos de ma hache s’abattit sur son aine. Le cri étranglé de Torvin mourut presque aussitôt qu’il commença. Son corps trembla et son regard devint vitreux. Levant la tête dans le silence total autour de nous, je croisai le regard des trois autres hommes faisant partie des Quinze présents dans la clairière. Deux d’entre eux détournèrent leur regard empreint de peur et de ressentiment. Le troisième soutint mon regard avec un air étrange de résignation.

Me retournant vers Ravéna, je pris sa main.

— Allons prendre soins de nos morts, dis-je à mes hommes avant de ramener ma femme dans la forêt. 

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Extrait ajouté par taibhs_ghost 2021-04-10T03:54:56+02:00

Ravik ne plaisantait pas en disant que les Braxiens pouvaient sentir la grossesse. On aurait dit qu’une lumière s’était soudainement allumée. Ce matin, personne ne m’avait porté une attention particulière. Mais ce soir, lors du repas, tout Braxien qui me reniflait avait le même air confus plaqué sur le visage avant qu’il ne se transforme en choc puis en incrédulité. Ravik se pavanait et bombait le torse de voir sa virilité supérieure ainsi confirmée en étant le premier Braxien à avoir planté des jumeaux dans l’utérus d’une femme.

J’aurais pu l’assommer.

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