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« Jusqu'à satisfaire tes deux maris, » dit Ann. Andrew et Robert se tournèrent vers elle, Andrew penchant son visage vers elle pour l'embrasser, puis Robert à son tour.
« Tu vois, fillette, aucune raison d'être gênée, dit Ian, rassurant. Seulement excitée. Ce que nous avons fait avec toi plus tôt, avec cet entraînement...
— Et en goûtant ta chatte délicieuse, coupa Kane.
— Tout cela, c'est pour te faire du bien. Et tu as refusé de jouir.
— Emma, écoute les conseils d'une femme, dit Ann en se penchant vers moi. Si tes hommes t'offrent du plaisir. Prends-le. Accepte-le. Profite. » Elle sourit.
En m'agitant sur mon siège, je réalisai que j'avais mal entre les cuisses et ce n'était pas à cause de ce que m'avaient fait Kane et Ian. Non, c'était ce petit paquet de nerfs que j'avais frotté et touché jusqu'à crier dans la diligence, que Kane avait léché et sucé. À l'étage, ils avaient fini par me laisser tranquille, parce que je le leur avais demandé. Et pourtant, il me tardait maintenant qu'ils me touchent, sachant que c'était le seul moyen pour que cette douleur s'en aille. Mes tétons s'étaient contractés sous ma robe, durcissant au fil de mes pensées coupables. Suivant les conseils d'Ann, je devais accepter leurs offrandes que je ne manquerais pas d'apprécier.
Afficher en entier« La passe est à moins d'un dollar et il faudrait t'enfiler des centaines de clients avant d'être quitte. Tu y serais pour un bon moment. Et après ça... » Elle haussa les épaules et laissa le silence terminer pour elle. « Ou alors tu pourrais t'échapper dès ce soir. »
Je grimaçai. D'une manière perverse et alambiquée, elle m'aidait. Elle ne pouvait pas se contenter de me laisser partir ; il y avait trop d'argent en jeu. Ce mariage nous tirait une épine du pied à toutes les deux. Je n'avais pas vraiment le choix. Je n'avais pas le choix du marié non plus. Madame Pratt resterait seule juge le concernant ou les concernant, elle réduirait la liste des prétendants à une poignée d'hommes ayant les moyens de la payer. À en juger par sa profession et son sens des affaires, elle les choisirait en fonction de leurs besoins sexuels et de leur compte en banque. « Vous pouvez me garantir que l'homme que j'épouserai ne sera ni un poivrot, ni un vieillard, ni un mari violent ? »
Elle me regarda dans les yeux. « Promis ».
— Alors je... Je choisis les enchères.
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