Broadway Limited, Tome 1 : Un dîner avec Cary Grant

Je ne crois pas que Broadway Limited soit fait pour moi, aussi l'ai-je laissé tomber. Peut-être que je replongerai dedans un jour, plus motivé, plus enclin à d'autres choses, mais pas aujourd'hui. Il y a beaucoup trop de choses qui m'ont détaché de ma lecture, et j'étais incapable de rester concentré sur quoi que ce soit. Aucun personnage ne m'a plu, aucune de leurs histoires, et les anglicismes m'ont paru vraiment maladroitement utilisé, me bloquant tout à fait.

Dommage, j'étais très intrigué par cette lecture!

DNF à 30%

Vraiment je n'ai pas réussi à continué. Et pourtant j'avais envie d'apprécier cette histoire au vu des nombreux commentaires positifs.

Je voulais m'imprégner de cet ambiance Swing Broadway des années 40, mais je n'ai pas réussi.

L'histoire est sympathique, mais il ne se passe... RIEN.

Clairement il me faut de la stimulation, et là rien du tout. On a une ribambelle de personnages dont je n'arrivais pas à retenir le nom, ni savoir qui est qui, beaucoup de description, de contemplatif.

C'est peut être une bonne lecture pour certains, mais pas pour moi, trop long et compliqué à lire à mon goût pour une histoire où il ne se passe rien.

Le fond et les histoires des personnages mais j'ai trouvé qu il y avait trop d'informations Superflu qui m'ont gênée.

Il ne s'y passe pas grand chose, mais pourtant il s'y passe tout. Les atmosphères, l'authenticité des personnages, les descriptions donnent un goût particulièrement agréable à cette lecture.

Il y a beaucoup de personnages, de lieux, on s'y perd parfois, beaucoup de références également, mais nul besoin de toutes les connaître. C'est une belle lecture, dans la quelle il faut se laisser porter et s'imprégner.

J'ai trouvé dans ce roman un petit feel-good hivernal plein de douceur et de couleurs, détaillant un New York riche, vibrant, tiraillé par ses propres problèmes internes mais où l'amitié attend au coin de la rue.

Avec ces personnages haut.es en personnalité, on ne s'ennuie pas et on poserait même bien ses malles pour s'installer confortablement et regarder tomber la neige dehors.

Lecture addictive 🤩 !!

L’autrice nous plonge dans le Broadway 🎭 des années 50 : personnages fictifs ou non, ils sont tous attachants et la diversité des points de vue permet une histoire complexe pleine d’humour 😆 !

"Broadway Limited T1 : Un dîner avec Cary Grant" est un livre léger et agréable qui transporte le lecteur dans le New York de la fin des années 1940 à travers les yeux du naïf étudiant français Jocelyn Brouillard. Cependant, le livre souffre d'un excès de personnages avec de nombreux surnoms et d'un manque de retournements de situation captivants.

Dans Broadway Limited, Malika Ferdjoukh nous emporte avec elle au milieu du New York d'après-guerre, et plus précisément à Broadway.

On suit tout d'abord Jocelyn, jeune français qui débarque par hasard dans une pension de filles et découvre la ville. Comme lui, on va faire les frais de notre ignorance face à certains aspects de la vie américaine, ou certaines subtilités de la langue. Et puis, il nous rappelle que certaines choses que l'on pense connues depuis toujours, ne le sont pas : quel plaisir de redécouvrir la pizza à ses côtés !

Aux côtés des autres pensionnaires de Giboulée, nous allons continuer à découvrir la ville. Page, Hadley, Manhattan, Chic, Ursula et Etchika nous emportent à leurs côtés dans ce monde de jeunes artistes qui ne rêvent que de monter sur scène et de se faire connaître.

Il est vrai qu'au début cela fait beaucoup de personnages, mais c'est très bien écrit donc à chaque nouveau point de vue on saisit en quelques lignes avec qui on est. Au début c'était très perturbant car je ne retenais pas les noms de chacune des filles ou de leurs soupirants, mais au cours de la lecture, ça s'améliore.

Dans ce livre, on suit un peu les vies de toutes ces personnes qui se côtoient à la pension Giboulée, et c'est un régal. Il n'y a pas de réelle intrigue, juste des tranches de vies. Et pourtant, cela suffit à nous emporter à leurs côtés.

J'ai adoré les multiples références que Malika dissémine à travers le livre. Certaines me parlent un peu, d'autres beaucoup plus tandis que les dernières pas du tout, mais ne me donnent qu'une envie : en découvrir davantage sur cette belle époque du cinéma et des comédies musicales.

Certains passages m'ont semblé un peu lents, mais c'est parce que je suis habituée à lire des livres avec de l'action. Et pourtant, je n'ai jamais douté que je lirai ce livre jusqu'au bout. je pense qu'il s'agit plutôt d'un livre qui se savoure, que d'un livre qui se dévore. Ce rythme lent en gênera sûrement quelques-uns, et pourtant il participe aussi à l'atmosphère que dégage ce livre. Et je trouve qu'il se ressent mois dans la seconde moitié du livre où l'on commence vraiment à connaître les filles, leur histoire. On s'attache davantage à elles, et on veut en savoir plus.

Le grand point fort de ce livre c'est vraiment cette ambiance et cette capacité à nous faire voyager. J'ai simplement adoré !

J'ai arrêté ce livre à 1/3, n'accrochant pas du tout à l'histoire.

Impossible pour moi de me souvenir qui était qui, j'étais sans cesse obligée de revenir à la première page de récap'. Je n'ai pas du tout adhéré aux différents personnages.

Aucune idée générale ne se dégageait de tout ce mélange, pas de trame ou d'idée de ce vers quoi allait l'histoire.

J'ai laissé tomber, moi qui avais tant aimé 4 soeurs…

Je comprends comment ce livre a pu conquérir tant de lecteurs depuis sa sortie, mais avec moi ça ne l’a pas vraiment fait… Je n’ai rien à reprocher à Broadway Limited. La plume de Malika Ferdjoukh est très belle, extrêmement riche et parfois même poétique. Les personnages sont très très bien développés et l’ensemble dégage un peu de cette douceur qui d’habitude me plaît beaucoup dans les romans. Mais voilà, je me suis ennuyé. Je n’ai réussi a accrocher ni à l’ambiance, ni aux personnages, ni aux intrigues et j’ai même eu du mal à le finir… Je pense que ce qui a péché, c’est principalement le cadre spatio-temporel. New York après la guerre, ce n’est ni une époque que j’affectionne, ni un lieu propice pour moi aux rêves et à l’évasion. Donc ça n’a pas fonctionné sur moi, dommage…