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Hugues Viane ne se console pas de la disparition de sa femme. Il s’est réfugié à Bruges dont l’eau stagnante des canaux convient à son deuil. Il erre dans le labyrinthe des rues, croise une inconnue dont la silhouette, la démarche, le visage le frappent de stupeur : « Ah ! comme elle ressemblait à la morte ! »
Mentalement, il se remémorait alors la douceur de la morte, son humeur égale, ses paroles d'une noblesse si tendre, comme effeuillées de sa bouche. Dix années de vie commune sans une querelle, sans un de ces mots noirs qui montent comme la vase du fond remué d'une âme.
Un roman-photo de la fin du XIXe siècle, mais qui possède une étonnante modernité... Texte court, aéré, fluide, aux thèmes sombres mais originaux avec cette rencontre qui brave la mort. À lire !
J'ai du mal avec le symbolisme, surtout que c'est mon premier livre de ce courant littéraire x) Toutefois et dans sa globalité, ce bouquin ne m'a pas déçue !
"En résumé, avec cette histoire simple et accessible, ces photographies mélancoliques, ces personnages peu nombreux mais très développés, ce catholicisme utilisé à un escient très particulier, BRUGES-LA-MORTE de Rodenbach m'a conquise."
Ma chronique : http://laclassicanthrope.blogspot.be/2015/08/bruges-la-morte-georges-rodenbach.html
C'est un livre que j'ai du lire pour l'école et franchement, il ne m'a pas déplue. Ce ne fut pas pour autant une agréable découverte, n'exagérons rien, mais j'ai trouvé la présence des nombreuses métaphores particulièrement bien écrite et plutôt intéressante. Rien d'impressionnant puisque le livre est symboliste et que le symbolisme traduit des choses concrètes par des choses abstraites, par symboles et par métaphores. Bref, pas mal.
Ce livre est tout simplement incroyable ! Il allie différents sentiments contradictoire avec une telle facilité que c'en est déconcertant. Ce livre est écrit de façon symboliste, il faut, donc, être capable de lire entre le ligne...
Grand classique de la littérature belge, le style date quand même de la fin du dix neuvième siècle, mais comme on écrivait soigneusement en ce temps-là. Georges RODENBACH a reçu un prestigieux prix: le Nobel peut-être, mais je n'en suis pas certaine.
Résumé
Hugues Viane ne se console pas de la disparition de sa femme. Il s’est réfugié à Bruges dont l’eau stagnante des canaux convient à son deuil. Il erre dans le labyrinthe des rues, croise une inconnue dont la silhouette, la démarche, le visage le frappent de stupeur : « Ah ! comme elle ressemblait à la morte ! »
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