C'était le XXe siècle. Tome 4, De Staline à Kennedy
Auteur
- Alain Decaux (Écrivain)
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Classement en biblio - 7 lecteurs
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Cet U-2 superéquipé emporte en outre un appareil capable d'enregistrer la longitude et la latitude de chaque photographie. Un dispositif permet de conserver la trace de tout signal par radio et aussi de révéler si l'avion a été pris dans les faisceaux d'un radar. Comme tout cela pèse lourd, on se contente d'un seul pilote enveloppé dans une combinaison pressurisée et ne respirant qu'à l'aide d'un masque. Afin d'alléger l'appareil, on a même supprimé le train d'atterrissage. Au décollage, l'U-2 utilise un train détachable largué lors de l'envol. Pour atterrir, il se pose sur une sorte de patin fixé sous le ventre du fuselage.
Pourquoi, le dimanche 14 octobre 1962, deux U-2 survolent-ils l'île de Cuba ?
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J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce dernier tome, qui retrace la période de 1947 à l'assassinat de Kennedy en 1963. La lecture est facilitée par le style de Decaux qui donne une foule de détails et d'informations sur les évènements sans que ça ne soit abrutissant.
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Date de sortie
C'était le XXe siècle. Tome 4, De Staline à Kennedy
- France : 2001-01-04 - Poche (Français)
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Résumé
Entre 1947 et 1963, sur fond de guerre froide entre les deux grands vainqueurs de 1945, le monde a connu plusieurs épisodes tragiques dont les échos résonnent encore aujourd'hui.
Du sort des réfugiés de l'Exodus au meurtre de Kennedy, en passant par l'insurrection hongroise de 1956 ou le 13 mai 1958, Alain Decaux a choisi de nous raconter dans le détail dix de ces événements.
Tous présentent l'intensité dramatique qui leur a conféré immédiatement le statut de faits "historiques". Tous ont également eu des ressorts ou des dénouements occultes, ce qui justifie pleinement les témoignages directs collectés par l'auteur et insérés dans le récit.
Si le mystère demeure parfois – l'identité des commanditaires de l'assassinat de Kennedy, par exemple –, l'effort de vérité porte souvent ses fruits. Dès les premières lignes, le lecteur de ce quatrième volet du XXe siècle d'Alain Decaux est captivé par la mise en intrigue que le génial conteur maîtrise si bien.
L'ensemble se lit comme un roman d'espionnage. Reconnaître que la magie du verbe de l'académicien opère à l'écrit comme à l'écran, c'est dire tout le bien qu'on pense d'un tel ouvrage.
Pour se replonger dans les volumes précédents : De la Belle Époque aux Années folles, La Course à l'abîme et La Guerre absolue. --Stéphane Pares
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