Descrip­tions

Ça peut prendre la forme d’un loup-garou, d’une momie, de sangsues meurtrières. Ou devenir un clown maléfique muni de crocs et de griffes. Ça puise dans les peurs de l’enfance pour attirer et dévorer ses victimes. Et tous les vingt-sept ans, il revient à Derby, petite ville du Maine. Un groupe de six garçons et une fille, le « Club des Ratés », y fera face une première fois. Puis une seconde, alors que les membres du groupe auront basculé depuis longtemps dans l’âge adulte

”La terreur qui n’allait cesser que depuis 28 ans (mais a t-elle vraiment cessé ?), s’incarna pour la première fois, à ma connaissance, dans un bateau en papier journal dévalant un caniveau gorgé d’eau de pluie.” Voici une petite partie du célèbre livre Ça du grand maître de l’horreur Stephen King. Suivez moi pour le résumé…

Été 1958, sept gamins, Bill Denbrough dit « Billy le bègue », Ben Hanscom dit « meule de foin », Richard Tozier dit « Richie la grande gueule », Stanley Uris, dit « Le juif », Eddie Kapsbrack l’asmathique, Beverly Marsh, dont le charme et le charisme ne laissent pas les garçons insensibles et Mike Hanlon dit « le nègre » sont réunis au sein du « club des ratés » dans les friches mortes de Derry. Ils viennent d’affronter cet été là une horreur sans nom, Ça, qui a la faculté de prendre la forme de leur pire cauchemar et qui se nourrit, tapie au fond des égouts de la ville, des enfants, se délectant de leurs terreurs les plus profondes. Mais cet été là ils ont été plus forts que le monstre. Ensemble, il l’ont affronté, et l’ont vaincu, se promettant que si ça refaisait surface un jour, ils se réuniraient à nouveau pour l’affronter.

1984, 27 ans se sont écoulés depuis cette promesse. Les enfants du club des ratés ont quitté la ville depuis longtemps. Bill est devenu un écrivain à succès, Ben un architecte talentueux, Richard est un des plus célèbre Dj de Los Angeles, Stan un expert comptable respecté, Eddie Kapsbrack gère une société de location de voitures de stars et Beverly a percé dans le milieu de la mode. Seul Mike est resté à Derry où il est devenu simple bibliothécaire, et c’est à lui qu’incombe la difficile mission de contacter ses six amis d’enfance pour leur rappeler la promesse et l’horreur qu’ils ont enfuis au fil du temps au plus profond de leur mémoire. Car Ça est revenu, et ça a recommencé à tuer.

Tiendront-ils leur promesse ? Auront-ils le courage d’affronter une fois de plus leurs peurs ? Mais surtout, la magie de l’enfance refera-t-elle surface pour les aider une fois encore ?

Un coffret collector à l'occasion du retour du célèbre clown-tueur au cinéma ! Tout avait commencé juste avant les vacances d'été quand le petit Browers avait gravé ses initiales au couteau sur le ventre de son copain Ben Hascom. Tout s'était terminé deux mois plus tard dans les égouts par la poursuite infernale d'une créature étrange, incarnation même du mal. Mais aujourd'hui tout recommence. Les enfants terrorisés sont devenus des adultes.

Le présent retrouve le passé, le destin reprend ses droits, l'horreur ressurgit. Chacun retrouvera dans ce roman à la construction saisissante ses propres souvenirs, ses angoisses et ses terreurs d'enfant, la peur de grandir dans un monde de violence.

To the children, the town was their whole world. To the adults, knowing better, Derry Maine was just their home town: familiar, well-ordered for the most part. A good place to live. It was the children who saw - and felt - what made Derry so horribly different. In the storm drains, in the sewers, IT lurked, taking on the shape of every nightmare, each one's deepest dread. Sometimes IT reached up, seizing, tearing, killing . . . The adults, knowing better, knew nothing. Time passed and the children grew up, moved away. The horror of IT was deep-buried, wrapped in forgetfulness. Until they were called back, once more to confront IT as IT stirred and coiled in the sullen depths of their memories, reaching up again to make their past nightmares a terrible present reality.

Tout avait commencé juste avant les vacances d'été quand le petit Browers avait gravé ses initiales au couteau sur le ventre de son copain Ben Hascom. Tout s'était terminé deux mois plus tard dans les égouts par la poursuite infernale d'une créature étrange, incarnation même du mal. Mais aujourd'hui tout recommence. Les enfants terrorisés sont devenus des adultes.

Le présent retrouve le passé, le destin reprend ses droits, l'horreur ressurgit. Chacun retrouvera dans ce roman à la construction saisissante ses propres souvenirs, ses angoisses et ses terreurs d'enfant, la peur de grandir dans un monde de violence.

Périodiquement, dans la petite ville de Derry (Maine), des événements tragiques se produisent: des enfants disparaissent, d’autres sont retrouvés morts, le corps déchiqueté, des incendies éclatent.

Six garçons et une fille de onze ans, qui forment un groupe d’amis fidèles, traquent cette « chose » abominable qui vit dans un réseau d’égouts abandonnés et peut prendre la forme qui lui plaît, y compris celle d’un clown qui attire les enfants avec des ballons de couleur.

Ils croiront être parvenus à anéantir le monstre, mais vingt-cinq ans plus tard tout recommence. Devenus adultes, les petits héros de 1958 se retrouvent pour affronter le mal à l’état pur.

Une lutte longue et très périlleuse qui exige l’amour et l’amitié pour vaincre « Ça » qui, lui aussi, peut avoir peur…

♦ Existe aussi publié en deux tomes aux éditions Albin Michel et en trois tomes aux éditions J'ai lu.

♦ « Faut-il lire Stephen King ? Faut-il s'engouffrer dans Ça ? Non, cent mille fois non ! Et un million de fois oui ! Entrer dans le premier feuillet garantit de n'en laisser échapper aucun et le mot « Fin » amène un soupir de regret. »

Christiane Lesparre, Magazine littéraire

The story follows the exploits of seven children as they are terrorized by an eponymous being, which exploits the fears and phobias of its victims in order to disguise itself while hunting its prey. "It" primarily appears in the form of a clown in order to attract its preferred prey of young children. The novel is told through narratives alternating between two time periods, and is largely told in the third-person omniscient mode. It deals with themes which would eventually become King staples: the power of memory, childhood trauma, and the ugliness lurking behind a façade of traditional small-town values.