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De retour, après vingt-sept années, dans leur petite ville de Derry, les membres du « Club des ratés » (ainsi se nommaient-ils eux-mêmes sur les bancs de l'école) doivent affronter leurs plus terrifiants souvenirs, brutalement ressurgis.
Ça : nul ne sait nommer autrement la chose inconnue qui semble devoir se réveiller cycliquement dans les entrailles de la ville, pour semer la mort et l'épouvante. Roman de l'enfance, tableau saisissant de la vie américaine, cette oeuvre ambitieuse est une parabole du Mal enfoui, refoulé, et de la violence de ses réapparitions. C'est enfin, et surtout, une des plus grandes oeuvres de Stephen King, un festival de terreur.
Peut-être que ces histoires de bons ou mauvais amis, cela n'exsite pas; peut-être n'y a t-il que des amis, un point c'est tout, c'est-à-dire des gens qui sont à vos côtés quand ça va mal et qui vous aident à ne pas vous sentir trop seul. Peut-être vaut-il toujours la peine d'avoir peur pour eux, d'espérer pour eux, de vivre pour eux. Peut-être aussi vaut-il la peine de mourir pour eux, s'il faut en venir là. Bons amis, mauvais amis, non. Rien que des personnes avec lesquelles on a envie de se trouver; des personnes qui bâtissent leur demeure dans votre coeur. (p188)
La qualité d'écriture de King est toujours irréprochable, les descriptions sont saisissantes quoique par moment un peu trainantes mais cela contribue à faire durer le suspens. Les personnages sont toujours aussi bien aboutis et portent vraiment l'histoire à bras le corps. Cependant j'ai été déçue du dénouement de l'histoire, de l'explication de Ça et de tout ce qui se passe dans son antre. Je n'ai pas réussi à adhérer aux explications fournies alors qu'il y en aurait eu d'autres bien plus satisfaisantes à mon goût. L'histoire a donc perdu de sa crédibilité à partir de la moitié de l'ouvrage à peu près de ce deuxième tome. Bien que j'ai pu faire de nombreuses métaphores pour divers événements qui m'ont laissés perplexes; ces "justifications" m'ont laissé un goût amer dans la bouche. Certains passages restent de vrais mystères mais peut-être est-ce parce que maintenant j'ai grandie et que je suis une adulte aux pays des enfants...
King est un expert dans l'art de susciter la peur. Il excelle à décrire cette émotion, ses manifestations physiques et psychologiques. Il parvient à instaurer un sentiment d'angoisse dans les situations les plus inattendues. Son talent lui permet de donner vie à une statue, à un oiseau géant ou à des voix s'échappant d'un évier, sans jamais basculer dans le ridicule. Chez King, même les scènes les plus invraisemblables semblent plausibles, pouvant transformer de simples pompons oranges en source d'insomnie.
Le récit est incroyable. J'ai eu du mal a quitter les 7 "ratés" ainsi que l'histoire et les habitants de Derry dans son ensemble. Comme si on y était. La nature de ça et de "l'autre" est très interessant (les choses qui se déroule car ça doit l'être ainsi, mener tel des marionnettes par quelques chose d'indéfinissables). Stephen King a un talent pour écrire incroyable. Très long mais si contente de l'avoir lu. LA note de 8/10 du premier livre s'explique car il ne s'agit pas du texte intégrale qui ne m'a pas permis de noter le chef d'oeuvre dans on intégralité.
"Ça" est un classique très populaire qui a marqué toute une génération, et c'était un incontournable que je voulais absolument lire.
Je m'attendais à ce que le tome 1 raconte l'histoire des enfants confrontés à "Ça", et le tome 2 les adultes luttant contre "Ça". Cependant, les deux tomes se déroulent 27 ans après le meurtre de George, le petit frère de Bill. Le retour de leurs souvenirs crée des flashbacks tout au long des deux livres.
J'ai préféré la première partie lorsque les personnages étaient enfants, à l'exception du passage dans les égouts entre Beverly et les garçons, que j'ai trouvé tout simplement inadmissible. Cette scène m'a profondément horrifié. Le côté un peu magique/fantastique de la fin m'a également un peu moins plu, que j'ai trouvé très longue.
En ce qui concerne l'horreur et les frissons, Stephen King a réussi à me donner la chair de poule, même si parfois c'était plus du dégoût que de la peur.
Dans l'ensemble, c'est un très bon livre. J'apprécie énormément la plume de King, et j'ai hâte de lire d'autres livres de cet auteur.
Un petit mot sur les adaptations cinématographiques de cette histoire : étant trop jeune à l'époque de la première version, je n'ai pas été franchement impressionnée par la version qui est sortie il y a 2-3 ans. Les mots apportent plus d'imagination et d'émotion !
Curieusement je n'avais jamais lu cet ouvrage de Stephen King alors qu'il date d'une trentaine d'années et que j'en ai lu bien d'autres depuis..J'y ai retrouvé ses thèmes favoris : la lutte du bien contre le mal, l'incarnation des terreurs d'enfance etc...mais j'ai finalement été contente d'en avoir lu d'autres avant celui-ci. Bien que maitrisant déjà parfaitement description de l'horreur lorsqu'il l'a écrit, j'ai trouvé le style un tantinet lourd par rapport à ce qu'il a écrit ultérieurement . D'autre part , on a changé d'époque et un passage en particulier m'a heurtée et n'aurait probablement pas été accepté tel quel par l'éditeur à notre époqueSpoiler(cliquez pour révéler)La première expérience sexuelle initiatique de tous les garçons avec la très jeune Beverly..
Je ne voulais pas faire une réaction à chaud après le Tome 2 de ça . Au risque de me répéter je l'ai trouvé magistral comme le premier. Dieu que cela fait du bien quand l'auteur nous rend addicte de cette façon, surtout que dans ce tome c'est le plat de résistance qu'on entame directement.
Le suspens est toujours haletant, la peur est à son point culminant, et l'on se pose aussi tellement de questions.
Par contre j'ai vraiment vraiment été dérangé par une scène de Spoiler(cliquez pour révéler)sexe impliquant de très jeunes enfants , j'étais vraiment mal à l'aise.
La fin est magnifique, elle est perplexe certes mais elle pousse à réflexion.
J'ai davantage aimé ce deuxième tome que le premier. J'ai beaucoup apprécié le côté passé/présent. J'ai apprécié les scènes d'horreurs et les personnages principaux. J'ai également appréciés que les personnages secondaires jouent un rôle également. Par contre la scène de sexe avec les enfants J'ai trouvé ça particulièrement gênant et pas nécessaire au final... bonne duologie !
Le Club des Ratés s’est réuni à Derry vingt-sept ans après leur premier face à face avec Ça, afin de le détruire une fois pour toute. L’affrontement semble imminent, mais la créature n’a pas l’intention de se laisser vaincre et sollicite l’aide de Henry Bowers, le vieil ennemi des Ratés.
Quand je dis « l’affrontement semble imminent », il faut comprendre par là que c’est aussi long que le premier tome, avec toujours autant de détails inutiles, et aussi peu d’action. Ce n’est qu’à la toute fin que passé et présent se rejoignent, de manière pas toujours très claire, et que l’on assiste simultanément aux deux affrontements entre les Ratés et Ça.
Affrontements beaucoup trop faciles à mon goût. Sérieusement, tout ça pour ça ?! C’est aussi rapide et expéditif que les mille et quelques pages précédentes sont interminables. Et surtout, c’était bien la peine de s’attarder autant sur la fronde, les billes d’argent, les visions provoquées par la fumée, Henry Bowers…
D’ailleurs, parlons de Henry Bowers, ou plutôt de la façon dont les Ratés se « préparent » à leur ultime combat contre Ça. Pourquoi ils se séparent, nom d’une Porsche ? Ils n’ont jamais vu un film d’horreur ? Ils ne savent pas que c’est la pire chose à faire ? Apparemment pas. Allez vous reposer, et on se voit demain, hein ! Enfin, si personne ne nous a tués d’ici là, mais je ne vois pas pourquoi ça se produirait, ce n’est pas comme si on s’était tous donné rendez-vous pour buter une entité qui veut également notre peau et qui vient de semer le chaos lors de nos retrouvailles !
M’enfin, c’est leur problème, pas le mien. Comme je le disais dans ma chronique du premier tome, je n’ai ressenti ni crainte ni empathie pour les Ratés. D’une part parce que le découpage du livre spoile absolument TOUT le face à face qu’ils ont eu enfants avec Ça bien avant qu’il ne survienne, et de l’autre parce que ma seule hâte était d’en finir.
Cette duologie est une déception à tous les égards. Même ce qui aurait pu être intéressant retombe comme un soufflet. Le Club des Ratés, notamment. Je m’attendais à ce que tous les enfants soient complémentaires, qu’ils fassent vraiment front commun, mais en fait non. Au mieux connaissent-ils une heure de gloire individuelle (et j’éviterai de m’attarder sur celle de Beverly, il aurait mieux valu, je pense, qu’elle continue à manier la fronde…), mais jamais une réelle cohésion aux moments les plus importants.
On m’a recommandé d’autres livres de Stephen King, et peut-être sont-ils meilleurs que Ça, mais je n’ai pas l’intention de le découvrir. Achever ce deuxième tome aura été mon unique effort avec cet auteur. Je passe mon tour pour le reste !
Résumé
De retour, après vingt-sept années, dans leur petite ville de Derry, les membres du « Club des ratés » (ainsi se nommaient-ils eux-mêmes sur les bancs de l'école) doivent affronter leurs plus terrifiants souvenirs, brutalement ressurgis.
Ça : nul ne sait nommer autrement la chose inconnue qui semble devoir se réveiller cycliquement dans les entrailles de la ville, pour semer la mort et l'épouvante. Roman de l'enfance, tableau saisissant de la vie américaine, cette oeuvre ambitieuse est une parabole du Mal enfoui, refoulé, et de la violence de ses réapparitions. C'est enfin, et surtout, une des plus grandes oeuvres de Stephen King, un festival de terreur.
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