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Liste des extraits
"Et Darran le vengeur, qui s'enivrait de sang,
Répandait les cadavres, fautifs ou innocents,
Il poursuivait ses femmes, volées à son hameau,
Massacrant bêtes et hommes, jusque dans les berceaux.
Et Darran à la hache, le guerrier fou de rage, croyait voir ses femmes dans le moindre village."
Source : Babelio
Afficher en entier- Les soldats, c'est un peu comme les homards, n'est-ce pas ? Il y a cette fichue carapace à briser, avant d'y goûter...
Afficher en entier"- Le père a autorité sur le fils, comme le baron sur ses gens. Si on laisse les fils se rebeller contre leurs pères, qui sait ce qui adviendra de cette baronnie ?"
source : Babelio
Afficher en entier"Breena ? La sorcière qui vivait dans une cabane des marais ? Je m'étais imaginé une vieille folle couverte de verrues, avec des bottes sales et des cheveux gris en épis, et je me retrouvais face à une vraie princesse de palais. Un peu défraîchie, peut-être, mais une princesse quand même."
source : Babelio
Afficher en entier"- Alors, dernière ville ? Dernière bataille ?
- Il n'y a jamais de dernière bataille."
source : Babelio
Afficher en entier"Oublie les leçons de morale, les livres de religion, les prêcheurs de bien et de mal. Ta liberté et ton libre arbitre t’appartiennent."
source : Babelio
Afficher en entier"C'est ainsi que naissent les plus belles légendes. Sans artifice. Juste avec un petit grain de hasard."
source : Babelio
Afficher en entier"Si tu veux connaître la face cachée d'un homme, interroge celui qui vivait dans son ombre."
source : Babelio
Afficher en entierLe Grand Kàn m'en est témoin, je ne sais écrire qu'une seule chose : la vérité ! Peut-être pas celle des faits, mais au moins celle du coeur et de l'âme d'un témoin. Je ne veux rien ajouter d'autre, pas une virgule, pas même l'ombre d'une nuance personnelle ! Je ne suis pas un tricheur, jeune fille, je suis un artiste !
Afficher en entier« En tous cas, découvrir la capitale du Bas-Royaume m’a fait comprendre que je n’étais pas faite pour la ville. Les odeurs nauséabondes, les gens qui hurlent pour se parler, qui vous bousculent, qui courent dans tous les sens, ça me rendait malade. Et cette foule qui vous écrase, qui vous englue, comme une boue dans laquelle on s’enfonce… »
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