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Certains d'entre eux, avant de s'échouer dans ce no man's land, avaient tenté d'isoler leur ancienne habitation avec des composés spéciaux ou de porter un casque intégral fabriqué avec une résine censée protéger le cerveau des rayonnements invisibles. Ils avaient tout essayé, pourvu que les martèlements cessent. Mais aucun de ces subterfuges ne fonctionnait. De toutes les études menées par l'OMS sur l'hyper-électrosensibilité, nulle n'avait permis de mettre les ondes en cause. Il n'existait pas de thérapie, quasiment pas de recherches, et même se réfugier dans les rares zones blanches de France ne résolvait pas le problème : le gouvernement ayant décrété le "zéro ZB", des antennes-relais s'élevaient jusqu'aux endroits les plus reculés du pays et les réseaux satellitaires grignotaient chaque mètre carré de territoire jusque là épargné. Un enfer pour ces laissés-pour-compte, à bout de force et sans solution, qu'on appelait les "naufragés des ondes".
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