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- Tu es déjà montée dans une limousine ? demande Wes en me regardant d'un air amusé
La réponse est non, bien évidemment, mais je refuse de le lui dire
- Bien sûr, je dis en ouvrant la portière
Wes met sa main sur sa bouche en riant et je grimace, ne comprenant pas la blague
- Alors pourquoi tu veux monter à l'avant ? demande-t-il en désignant la porte que je viens d'ouvrir
Je regarde à l'intérieur et je vois le volant du conducteur. Lorsque je me redresse, je réalise qu'un homme en uniforme de chauffeur tient la portière arrière ouverte.
- Je le savais , je voulais simplement demander au chauffeur où nous allons, dis-je en me sentant rougir
- Mais bien sûr, dit-il en posant une main sur le creux de mes reins pour m'accompagner.
Afficher en entierJe ne suis pas une demoiselle en détresse et il n'est pas mon chevalier en armure. Les contes de fées n'existent pas, surtout pour les nanas de Las Vegas avec un bagage émotionnel aussi lourd que le mien.
Afficher en entier« Être avec toi, passer du temps à tes côtés, m’a transformée. Pour le mieux, je crois. À présent, j’ai l’impression que je peux endurer cette année tout en apprenant quelque chose. Je vais sauver mon père, certes, mais je vais me sauver également. »
Afficher en entier"- T'embaucher est la meilleure décision que j'ai prise de toute ma vie, dit-il avant de souffler sur ma chair humide. - Prouve-le! Je rétorque en soulevant mon bassin. Et c'est ce qu'il a fait - encore et encore."
Afficher en entierJe ne vais jamais goûter à sa bouche, apparemment. Or je le veux... plus que tout. Je commence à perdre patience, mais il est hors de question que je fasse le premier pas.
Afficher en entier– Ça devrait t’aller. Tu mesures quoi – à peu près un mètre quatre - vingt - cinq ? Et tu pèses soixante - trois kilos ? – Un mètre quatre - vingts, et … ta mère ne t’a jamais dit qu’on ne demandait pas son poids à une femme ? – Hélas, non, répond Amil en secouant la tête et en riant. – Eh bien, elle a failli à sa mission alors, dis-je sur un ton sarcastique. C’est impoli, et les femmes détestent ça. Tu es marié ? Il secoue la tête. – Tu as une copine ? Il secoue de nouveau la tête. – C’est bien ce qui me semblait. Je n’ai plus rien à dire, je conclus en frappant dans mes mains comme si je venais de prouver la théorie de la relativité d’Einstein.
Afficher en entierJe ne vais jamais goûter à sa bouche, apparemment. Or je le veux… plus que tout. Je commence à
perdre patience, mais il est hors de question que je fasse le premier pas.
Wes couvre sa bouche pour cacher son sourire.
– Plus tard, chérie. On a toute la nuit, promet-il.
– Ouais ouais, des promesses, toujours des promesses, je dis en feignant de bâiller.
Je bois une gorgée de mon thé – désormais tiède – tandis qu’il secoue la tête, le regard pétillant de malice.
– Si c’est un défi, j’accepte, déclare-t-il.
Afficher en entier- Où étaient tes parents ?
- Mon parent , je corrige .
Il me regarde du coin de l'oeil avec le regard le plus triste au monde.
-Ma mère était danseuse à Las Vegas et elle à quitté mon père quand j'avais dix ans . Maddy n'avait que cinq ans .
-Elle n'est jamais revenue ? demande Wes sans quitter la route des yeux .
- Non .Et à cause de ça mon père s'est mis à boire. Beaucoup et à parier -encore plus .
Il prend ma main et la porte à ses lèvres pour l'embrasser.
- C'est pour ça que tu fait ce que tu fais ?
Je pourrais mentir et lui sortir une excuse pourrie, mais ça gâcherait l'honnêteté qui s'est installée entre nous et grâce à laquelle la situation fonctionne aussi bien . Au lieu de répondre, je me contente de hocher la tête.
Afficher en entier"...
- Non, mais ... protège ton coeur, ma poupée. Ce métier n'est pas pour tout le monde et tu as déjà beaucoup souffert pour quelqu'un de si jeune. Prend le temps de t'amuser, de te détendre, et goûte à tout ce que la vie peut t'offrir. C'est sans doute la seule occasion de le faire ... "
Afficher en entierSans réfléchir, je sors de ma chambre. La maison est plongée dans l’obscurité. Dans le salon, je me dirige vers un couloir que je n’avais pas remarqué et au bout duquel se trouve une grande porte en bois. J’y colle mon oreille et j’entends le son d’une télévision. Je frappe à la porte sans l’avoir véritablement décidé.
– Entre, dit Wes. (…)
Wes est assis dans son lit et ne dit rien. Les flammes de la cheminée dansent sur son torse nu, vacillant sur les collines et les vallées de son abdomen musclé. Ses pecs divins me font saliver. Bon sang, ce type est une œuvre d’art. (…)
Plutôt que de retourner dans ma chambre et de faire semblant de m’être perdue, comme je devrais sans doute le faire, je passe mes mains dans ma nuque et défais ma robe. Elle tombe au sol en un mouvement fluide, formant une flaque de soie violette. Wes ne bouge pas. Je dégage mes cheveux pour les passer dans mon dos. Je suis parfaitement immobile, nue devant lui, en string de dentelle noire et en talons aiguilles.
– Viens ici, ordonne Wes d’une voix grave. J’avance lentement vers lui et je m’arrête à un demi-mètre de son lit, sentant le feu réchauffer mon corps. Cependant, c’est le regard de Wes qui est brûlant.
– Tourne-toi, dit-il. Je lui obéis en silence et lui tourne le dos, lui arrachant un grognement. (…)
Il empoigne fermement un sein, et sa bouche se promène lentement sur mon cou. Il pince à peine mon téton que je gémis.
– Chérie, il faut qu’on établisse les règles de base, tout d’abord, grogne-t-il avant de me mordre l’épaule.
– Les règles de base ? je bégaie. Je suis trop envoûtée par ce que font ses doigts pour comprendre ce qu’il dit.
– Règle numéro un : nous allons baiser comme des lapins, dit-il en pinçant de nouveau mes tétons.
– C’est une règle ? je demande en haletant et en reculant pour frotter mes fesses à son érection.
– Règle numéro deux : si nous sommes ensemble ainsi, il n’y a que toi et moi. Nous sommes exclusifs pendant un mois.
Je me mords la lèvre et je me concentre sur le mouvement de mon bassin contre son sexe.
– D’accord.. (…)
– Règle numéro trois : nous ne dormons jamais dans le même lit. Il ne faut pas se tromper sur la nature de cette relation. Je t’apprécie beaucoup, Mia, et je ne veux pas te faire de mal. Tu dois comprendre que je ne suis pas en mesure de t’offrir une relation amoureuse. Tu m’entends ?
Sa main descend lentement sur mon ventre, et bientôt elle est là, là où je veux tant la sentir.
– Putain, oui, j’ai compris ! je m’exclame en avançant mon bassin contre son doigt.
Et c’est vrai, j’ai compris. Nous voulons la même chose : de l’amitié et du plaisir physique. Wes rit doucement dans mon cou et son souffle me donne la chair de poule. Soudain, il me retourne, s’agenouille et baisse mon string. (…)
– Règle numéro quatre : nous ne tomberons pas amoureux…
– C’est peut-être impossible, je réponds alors qu’il s’agenouille entre mes jambes. Je suis à deux doigts de jouir…
– Je te demande pardon ? demande-t-il sèchement. Je saisis ses cheveux et je me relève en m’appuyant sur un coude.
– Détends-toi, Wes, c’est de ta langue que je suis amoureuse. Maintenant, lèche-moi pour que je puisse jouir et que je te renvoie l’ascenseur.
Son sourire est si sexy que c’est tout juste si je n’ai pas un orgasme sur-le-champ.
– T’embaucher est la meilleure décision que j’ai prise de toute ma vie, dit-il avant de souffler sur ma chair humide
– Prouve-le ! je rétorque en soulevant mon bassin.
Et c’est ce qu’il fait – encore et encore.
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