Commentaires de livres faits par Cameron10
Extraits de livres par Cameron10
Commentaires de livres appréciés par Cameron10
Extraits de livres appréciés par Cameron10
Ma seconde tentative s'est un peu mieux déroulée puisque j'étais arrivée au moment du scénario où les choses s'accélèrent enfin, le héros gagne en maturité et apprend à maîtriser ses pouvoirs. J'ai été touchée par le sujet du harcèlement qui est, à mon avis, bien traité. J'ai également apprécié tout ce qui concernait l'escouade et je me suis pas mal attachée à Rock et Max. Les révélations sur les onis et compagnie ne m'ont pas spécialement surprise puisque c'est aussi plutôt classique, en revanche j'ai été très surprise par la tournure tragique des événements à un moment donné. C'était culotté et bien joué, néanmoins beaucoup trop abrupt pour que je parvienne à ressentir de l'émotion. Même chose pour la fin, qui était un peu trop rapide à mon goût.
Bien que la toute fin laisse présager une suite intéressante et que ma lecture n'ait pas été une totale déception au final, je ne pense pas me laisser tenter par la suite.
Je me suis attachée aux protagonistes, bien que je n'aie que très peu de choses en commun avec elles, et j'ai apprécié ce jeu trompeur entre fiction et réalité, qui a réussi à me perdre (mais pas dans un mauvais sens). J'ai davantage apprécié ce roman de l'autrice que La Vie rêvée des chaussettes orphelines, qui m'avait laissée mitigée.
Toutefois, je ne me suis pas attachée aux personnages et je n'ai que rarement ressenti la détresse de ces femmes, qui est pourtant le point censé être central. Je n'ai pas non plus été prise dans l'enquête, dont la résolution m'est apparue fade, sans grande révélation ni déception totale.
J'ai été dégoûtée par le nombre de relations toxiques au mètre carré dans cette colocation franchement douteuse, par une scène sexuelle qui m'a choquée (alors que vraiment, il en faut beaucoup pour me choquer !) et encore plus par la toxicité de la relation principale. La seule chose que j'ai aimée dans ce livre, c'est le personnage de Také, très complexe et intéressant (et qui n'a rien à faire avec Aly, franchement). J'ai aussi aimé le fameux épilogue, mais je ne trouve aucun autre point positif à ce roman.
En revanche, j'ai bien aimé Loup et la relation entre les deux garçons, bien qu'elle soit beaucoup beaucoup beaucoup trop slow burn à mon goût. J'aime bien les relations qui prennent le temps de se construire, qui ne sont pas trop rapides pour être crédibles, mais pour le coup en refermant le livre je me suis dit "tout ça pour ça ?"
J'ai aussi trouvé qu'il n'y avait rien de très original dans cette lecture, que du vu et revu, et même si ce n'est pas forcément dérangeant quand le reste est percutant, en l'occurrence, je me suis un peu ennuyée.
L'intrigue était très classique, avec des retournements de situation que j'ai vu arriver à des kilomètres. Mais surtout, j'ai été profondément agacée par toutes les intrigues amoureuses qui tournent autour de l'héroïne, d'autant plus que cette dernière m'a profondément déplu. Je l'ai trouvée égoïste, stupide et butée et je ne compte plus le nombre de fois où elle m'a fait lever les yeux au ciel. En fait, le seul personnage qui m'a plu est Sett, qui apparaît très nuancé et intriguant.
Je me suis quand même accrochée et j'ai bien fait car j'ai fini par changer d'avis sur mon jugement initial. Déjà, le métier de la protagoniste est très bien traité, il y a de véritables connaissances et une véritable réflexion autour de l'écriture et la publication en indépendant. Ensuite, j'ai apprécié la romance qui prend son temps, ne se développe pas trop vite et parvient à ne pas trop tomber dans les scénarios classiques. Une lecture qui m'a donc agréablement surprise bien que l'intrigue ne soit pas particulièrement poussée.
J'ai eu un peu de mal avec le personnage principal, Ari, qui est extrêmement dépressif. Je me suis identifiée à sa solitude à la fois choisie et forcée, à son agacement face au silence de ses parents et à sa quête identitaire. Mais vraiment, ses pensées pas super joyeuses ont été difficiles à supporter par moments. J'ai beaucoup aimé Dante, beaucoup plus optimiste et énergique, qui sait exprimer ses sentiments négatifs pour ne pas broyer du noir en permanence.
C'est surtout dans le dernier tiers du roman que j'ai commencé à vraiment rentrer dans l'histoire, lorsque Ari apprend à s'exprimer et que cela donne lieu à des scènes poignantes, que ce soit avec sa famille ou avec Dante. Je n'ai pas eu de coup de cœur pour autant mais j'ai globalement apprécié ma lecture.
J'ai trouvé que l'autrice brassait beaucoup de vent pour pas grand-chose, je ne compte pas le nombre de scènes décrivant avec moult détails des actions parfaitement inutiles du héros, comme se lever du lit, prendre son repas ou se coucher. Je veux bien entendre que ces scènes remplissent un effet de réel, mais là il y en a tellement que j'ai surtout eu l'impression qu'il fallait gonfler le nombre de mots.
L'intrigue elle-même ne casse pas trois pattes à un canard. J'ai parfois eu le sentiment que l'écrivaine prenait ses lecteurs pour des débiles ("oh la la je me demande d'où peuvent venir ces 54 cartons ? oh mais bien sûr, machin en a parlé la dernière fois, donc après mûre réflexion ça doit probablement venir de lui !"...) Et si je n'ai pas forcément vu venir le dénouement, j'avais vu venir des grosses révélations à des kilomètres : j'avais compris tout ce qui concerne monsieur X au bout de 100 pages, autant dire que je me suis bien ennuyée pendant les 200 pages qui ont suivi.
Enfin, j'ai eu du mal avec Diesel et j'en suis la première surprise puisque j'adore les chats et j'adore les récits qui mettent à l'honneur ces animaux. Mais Diesel m'a paru trop... trop. Il se comporte presque comme un humain, il comprend tout ce que ressentent les gens et surtout il comprend absolument tout ce qu'on lui dit. À ce stade ce n'est plus un chat et ça m'a dérangée.
Une fois passés les premiers moments d'adaptation un peu compliqués, j'ai apprécié les deux héros avec chacun leur caractère bien trempé. Dawsyn incarne la femme forte, guerrière et battante qui n'a absolument pas besoin d'un homme. Ce genre de cliché a tendance à m'agacer mais il ne m'a pas dérangée dans ce livre et Dawsyn reste attachante. J'ai tout de même préféré Ryon, qui est ironiquement un peu plus humain dans sa personnalité, fait preuve de davantage de bienveillance et de tolérance. Le duo fonctionne, tout comme la romance, même si les sentiments deviennent un peu trop forts et trop rapidement à mon goût (trop rapidement à partir du moment où la relation se concrétise, je précise).
Ce qui m'a posé le plus de problème au final, c'est le scénario et l'additivité du récit. J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de longueurs, beaucoup de moments m'ont ennuyée et je n'avais pas spécialement envie de poursuivre ma lecture quand il était l'heure d'arrêter. En outre, toute la partie finale s'est révélée assez frustrante à lire car j'avais vu venir de très loin chaque action et chaque rebondissement (à l'exception de la révélation du roi à Ryon, je l'avoue). J'ai trouvé que tout était trop facile, trop prévisible. En revanche, les deux dernières pages étaient très culottées et je ne les ai absolument pas vu venir, c'est vraiment magistral, mais peut-être pas suffisant pour compenser la déception des 60 pages précédentes.
J'ai surtout été conquise par le comique qui se veut ironique voire satyrique - rien que les noms des personnages et des lieux (par exemple les noms de rues) sont très évocateurs, tout à fait ma came. Cet humour s'attelle à dénoncer les injustices de la société, des dérives de l'administration à la mauvaise fois des citoyens en passant par l'abus de pouvoir des politiques, mais toujours sur un ton plutôt léger que j'ai trouvé très équilibré et maîtrisé.
Côté intrigue, j'avoue ne pas avoir été 100 % emballée par l'enquête, ayant davantage apprécié les interactions entre les personnages ainsi que les événements qui surviennent au fur et à mesure, ainsi que la façon dont les héros gèrent les problèmes. Néanmoins, la fin m'a relativement surprise car même si le personnage m'était venu à l'esprit, mes soupçons n'ont été étayés que tardivement et la décision de l'un des héros m'a prise totalement de court.
En bref, très agréablement surprise par cette découverte inattendue et je ne peux que vous encourager à tenter l'aventure.
En outre, l'auteur ne cesse de vanter les vertus miraculeuses de la lecture rapide comme une pratique qui va révolutionner notre vie. Avec les nombreux « à votre tour », « vous aussi, vous pouvez le faire » et autres exhortations du même genre, j'ai eu l'impression de regarder une pub ou d'assister à un one-man show où l'auteur tente de se constituer un groupe de fidèles. Bref, je ne recommande pas.
J'ai également trouvé le scénario beaucoup trop prévisible et classique ; à quelques exceptions près, j'ai vu venir de loin les divers rebondissements, quelle que soit leur importance (ce qu'il se passe au match notamment est tellement cliché). De manière générale, le récit est un peu trop jeunesse à mon goût, avec une écriture soignée mais fade et des tentatives d'humour qui m'ont à peine arraché un sourire...
La situation des personnages donne également lieu à des réflexions et discussions sur des sujets sociaux ou philosophiques tels que la vision du métier d'acteur pornographique ou les perceptions internes et externes de la beauté et de la maladie. Une conversation entre Gill et Eliaz, notamment, était extrêmement intéressante et touchante, là où d'autres étaient au contraire très loufoques et drôles (tout le passage des expressions alimentaires était hilarant !)
J'avoue avoir eu un petit coup de cœur pour Eliaz, c'est celui avec qui j'ai le plus accroché et auquel je me suis le plus identifiée. S'il paraît distant voir menaçant au premier abord, il a en fait un cœur en or qui cache ses blessures, donne aux autres l'amour qu'il n'a pas reçu et n'hésite pas à prendre son courage à deux mains quand c'est nécessaire. Lévy, à l'inverse, est trop passif et inerte à mon goût mais ça ne m'a pas empêché d'apprécier le lien qui se noue entre ces deux-là.
Gill est aussi sympathique et compréhensive, toujours de bonne humeur et cherche à aider les autres, bien qu'un peu trop volubile pour moi. Elle est un peu moins développée que ses deux amis mais c'est elle qui est à l'origine des fameux "reflets de papier" que j'ai trouvés absolument géniaux. Ils s'accordent bien avec l'écriture douce, fluide et poétique, qui se laisse même aller à quelques exercices de style bien trouvés.
Mon seul véritable bémol concerne la fin qui m'a un peu déçue. Je m'attendais à une révélation qui est teasée pendant tout le roman et finalement non, c'est dommage.
Le scénario n'est pas folichon ; il est assez classique dans l'ensemble, avec tout de même quelques rebondissements (Kat et la toute fin du livre). J'ai davantage apprécié les personnages principaux et leur dynamique : si Merry est un peu fade, Tristabelle est un sacré phénomène et le duo fait des étincelles. Idem pour le jeu du chat et de la souris entre Merry et Blaise qui est plaisant à suivre, tout comme les extraits du journal de Dolorine qui m'ont bien fait rire.
En somme, une très bonne découverte et un moment de lecture très sympathique qui m'a bien évidemment donné envie de lire la suite.
En dehors de ça, l'aspect malsain est plutôt bien traité et travaillé car le récit flirte entre l'obsession pure et le harcèlement d'un côté, et la victimisation de l'héroïne et justification de ses actes d'un autre côté. Le choix de l'adresse directement à la deuxième personne, notamment, est original et fonctionne très bien, tout comme le caractère détestable du personnage masculin.
Le lecteur peut comprendre les réactions de Constance face à un tel goujat égocentrique qui traite les femmes comme des objets jetables ; il est facile de se dire qu'il l'a bien cherché, et en même temps difficile de comprendre comment une telle personne peut susciter ces sentiments.
Le côté négatif de ces deux personnalités malsaines, c'est qu'on ne peut pas vraiment s'attacher aux personnages et donc passer un agréable moment de lecture. C'est une atmosphère sombre et dérangeante tout du long, à l'exception des moments avec Edward qui sont touchants. Le dénouement était malheureusement prévisible le concernant, en revanche je ne m'attendais pas à ça concernant le "couple" principal.
Pour finir, toute l'histoire avec le colocataire était bien trouvée ; je n'ai pas apprécié le personnage lui-même mais la relation était pertinente par rapport à l'intrigue principale et surtout étonnamment ironique bien sûr là encore la fin était attendue. En somme, ce roman est loin d'être un coup et un moment de détente mais il est intéressant et plutôt bien construit.
Si certains comme Faolan restent fidèles à eux-mêmes, d'autres se montrent sous un autre jour et j'ai été extrêmement surprise par le changement de la nouvelle mère, qui m'a beaucoup touchée. Même chose pour les sentiments de Faolan, certes prévisibles mais très mignons et naturels.
Certaines scènes sont aussi très tristes, ce qui est logique puisque les enjeux sont d'une importance vitale et que le dénouement approche à grands pas.
En fait, j'ai trouvé que tout était traité trop rapidement : l'autrice s'attarde rarement sur les ressentis de l'héroïne, c'est souvent "elle ressent ça" puis basta, c'est oublié deux lignes plus loin et il n'y a aucune conséquence. De même, certaines choses sont résolues beaucoup trop rapidement et à grand renfort de facilités scénaristiques (comme la perte du globe qui est censée être déchirante mais bien vite oubliée), là où d'autres événements auraient mérité d'être approfondis au lieu d'être simplement survolés - le couple de Nick par exemple qui pose quand même pas mal de questions mais ne sert apparemment à faire souffrir un autre personnage. Même chose pour des personnages secondaires qui sont introduits tardivement avant de vivre des péripéties dramatiques vingt pages plus loin : comment le lecteur est-il censé être touché si tout va aussi vite ?
Même constat pour la relation centrale de Gia et Arik : tout va beaucoup trop vite et est trop peu crédible. Ils tombent amoureux au tout premier regard et immédiatement ils tiennent l'un à l'autre alors qu'ils ne connaissent pas. J'ai donc eu énormément de mal à apprécier cette romance adolescente qui évolue beaucoup trop rapidement et m'a plus saoulée qu'autre chose - même si je reconnais qu'à certains moments vers la fin il y a bel et bien une complicité entre eux (beaucoup plus logique à ce moment-là de l'histoire !) J'ai été bien plus intriguée par Bastien, qui a du potentiel, mais ne servira malheureusement qu'à introduire un obstacle dans la relation principale.
En outre, l'héroïne m'a prodigieusement agacée et à de nombreuses reprises il m'a semblé que son attitude n'était pas cohérente avec la manière dont l'autrice l'avait présentée de premier abord. D'une timide maladroite et peureuse elle devient d'un coup une guerrière courageuse et la transformation est beaucoup trop brutale pour être crédible ; là encore le récit aurait gagné à se montrer progressif et plus nuancé. En fait, les seules choses que j'ai aimée chez Gia c'est son attitude par rapport à Faith, qui était très touchante, ainsi que ses visions qui m'ont réellement intéressée (contrairement au reste de l'histoire). Après, peut-être que mon antipathie vient en partie de l'écriture, trop scolaire à mon goût, et de la traduction étrange qui emploie le passé composé au lieu du passé simple, instaurant ainsi d'emblée une distance entre le lecteur et la narration.
L'histoire ne vaut pas mieux : les deux héros se sont rencontrés une fois deux ans plus tôt et ont eu un coup de foudre impossible à oublier, si bien que lorsqu'ils se revoient ils se lancent dans une relation passionnelle où tout va beaucoup beaucoup beaucoup trop vite. D'autant plus qu'au début j'ai eu l'impression de lire un roman porno, puisque le récit ne s'attarde pas du tout sur la discussion des héros lors de leurs retrouvailles (et qui dure apparemment des heures) mais consacre énormément de texte à décrire leurs coucheries...
Heureusement que les choses se calment un peu ensuite et que sur quelques passages, la complicité du couple devient évidente. C'est d'ailleurs la seule chose qui m'a plu dans cette lecture, car les piques qu'ils se lancent me parlent beaucoup et ont réussi à me faire rire. En revanche, si le côté hot redescend, l'avancée de la relation ne ralentit pas du tout et j'ai été dérangée par certaines réactions de l'héroïne qui m'ont semblé malsaines voire toxiques (lorsque Bapt doit partir en urgence notamment).
Enfin, l'intrigue avec Julien ne m'a pas du tout convaincue ; j'ai trouvé ça mélodramatique et absolument pas nécessaire. Et comme le tome suivant se concentre là-dessus, cela me fait une raison supplémentaire de ne pas poursuivre.
J'ai été particulièrement touchée par Cosette et la force de ses sentiments pour son défunt époux. Son deuil est poignant sans tomber dans le mélodramatique, tout comme la romance qui est agréable mais reste très discrète, sans jamais prendre le pas sur le reste (c'est même l'inverse). Vicky m'a moins parlé car je ne me suis pas du tout identifiée à elle. Quant à Elliott, j'ai compati à sa douleur vis-à-vis de son père, en revanche je n'ai pas du tout aimé la révélation en queue de poisson qui tombe comme un cheveu sur la soupe et n'apporte strictement rien à l'histoire (au contraire, mon appréciation en pâtit un peu).
L'histoire d'Ino et Sakura m'a bien gonflée (apparemment la seule utilité des filles, c'est de tomber amoureuses), cependant j'ai apprécié de voir un début de transformation chez cette dernière et j'espère qu'elle poursuivra sur cette lancée - en se détachant de Sasuke par exemple.
En revanche, les chapitres post-affrontement m'ont un peu moins intéressée car le soufflé retombe un peu et Naruto redevient insupportable. Pour autant, la rivalité avec Sasuke me fait bien rire et je suis curieuse de voir ce que va donner l'examen. Enfin, je suis curieuse d'en apprendre plus sur Gaara, qui promet d'être un personnage intéressant.
J'ai apprécié l'ensemble des personnages, qui apportent tous quelque chose à au récit, mais ma préférence est allée à Hugo, que j'ai tout simplement adoré. Il n'est pas parfait, heureusement - chaque personnage est profondément humain, avec ses qualités et ses défauts. J'ai été un peu moins convaincue par la relation principale ; même si j'ai aimé le slow burn, j'ai trouvé qu'il n'y avait pas spécialement d'alchimie entre eux. J'ai davantage apprécié la relation entre Wallace et le grand-père, qui m'a beaucoup fait rire.
L'intrigue n'est pas folichonne, comme souvent avec cet auteur dont la force réside dans les personnages et leurs relations plutôt que dans le scénario. Toutefois, c'était assez original de mettre en scène ce salon de thé entre les royaumes de la vie et de la mort. J'ai aussi été intriguée et très touchée par Cameron et son histoire. Quant à la fin, elle était attendue mais globalement satisfaisante.