Je t'aime, Mel.
J'ai si mal de t'aimer, car j'ai si peur de te perdre.
Je t'offre ma vie, prends-la.
Et si tu me juges digne à la recevoir, offre-moi la tienne en retour.
L'avenir est devant nous.
Nous serons la plage, nos coeurs une floraison.
Ensemble, nos vies deviendront un nouvel horizon.

25 décembre 2008.
— Tu réalises que tu as passé la soirée de Noël à
envoyer des SMS ?
— Oui, et alors?
— «Et alors»?
— Ma mère semblait ravie. Où est le problème?
— C’est Noël, non?
— Parce qu’il y a une loi qui interdit d’envoyer des
SMS le jour de Noël?

De ma cachette, je crus que cet énorme Viking allait trucider Traquenard en une seconde, d'un bon coup de hache... Je devais faire quelque chose !
Je tentais de sauter d'un bond agile du drakkar, mais je glissai et me cognai le museau sur le bois patiné de son flanc, en me mordant la langue ! Je me relevai et parvins à rejoindre la plage en titubant, mais je me piquai le pied sur un morceau de coquillage, je dérapai sur un tas d'algues visqueuses, m'envolai en un double saut périlleux en vrille et retombai sur mes pieds exactement entre Traquenard et le monumental Viking !
Je fis appel à tout mon courage et ânonnai :
- Agne gnà ! Gnagnattez gna gnon gnougnin ! (Je voulais dire : "Halte là, n'abattez pas mon cousin", mais j'avais la langue enflée !)

C’était en plein été, un matin de canicule… J’avais tout essayé pour me rafraîchir quand Patty Spring débarque à l’improviste dans mon bureau et me supplie de partir en voyage avec elle. Je n’arrivais pas y croire : un voyage romantique avec mon amie Patty ? Évidemment, les choses ne se sont pas tout à fait passées comme je l’avais imaginé…

Euh, la seul chose dont j'ai encore peur, ce sont les CHATS...
Après tout, je suis une souris !

Chers amis rongeurs,
Permettez-moi de me présenter : mon nom est Stilton, Geronimo Stilton !
Je dirige L'Echo du rongeur, le journal le plus célèbre de l'île des Souris !
J'ai une nouvelle histoire à vous raconter.
Une histoire mystérieuse qui parle d'amitié, de traditions, de courage et mêmede fantômes !
Aussi donc, tout a commencé comme cela, exactement comme cela...Ce matin-là, je prenais mon petit déjeuner à la cuisine. Tout en trempant mes biscuits préférés dans une tasse de thé fumante , j'allumai la télévision pour entendre les dernières nouvelles ...et j'écarquillai les yeux.

Tout en l'écoutant, je me disais que cet art martial m'avait fait du bien, à moi aussi, parce que j'avais réussi à vaincre toutes mes peurs et ma timidité ! Grâce à cette nouvelle expérience, j'avais appris que n'importe qui, s'il le veut, peut faire n'importe quoi ! Il suffit de s'appliquer et d'avoir beaucoup, beaucoup de volonté.

Nous parlions tous une langue différente, mais nous nous comprenions très bien quand même ! Je l'avais toujours su, mais j'en avais à présent la confirmation: le sport unit les gens !

Voilà le secret du bonheur : c'est à nous, à nous seulement, de décider si nous sommes malheureux ou heureux... si nous devons nous plaindre ou nous amuser... si nous devons être optimistes ou pessimistes... si nous devons voir le côté positif ou le côté négatif de tout ce qui nous arrive.

Ah, vous avez bien raison, c'est un nigaud...une vraie tête de reblochon, oui en effet ...

Je sais que tu t'es inscrit à un cours pour vaincre ta timidité - et elle brandit un dépliant de l'école "On naît timide, on devient dégourdi".

Traquenard grommela :
Euh, bon, il faut que je le relâche, non ?
Grunzy épousseta son gilet et ajusta ses lunettes
sur son museau.
-Savez vous que vous avez de la
poigne, souriceau ? murmura-t-il en se
massant le cou.

Un stoïcien eût souri de me voir assis à dîner au milieu de ma petite famille. Là régnait ma Majesté le Prince et Seigneur de toute l'ïle: j'avais droit de vie et de mort sur tous mes sujets; je pouvais les pendre, les vider, leur donner et leur reprendre leur liberté. Points de rebelles parmi mes peuples!
Seul, ainsi qu'un roi, je dînais entouré de mes courtisans! Poll, comme s'il eût été mon favori, avait seul la permission de me parler.

C’est alors que je devais avoir le bon sens de revenir à Hull et de rentrer chez nous ; j’aurais été heureux, et mon père, emblème de la parabole de notre Sauveur, eût même tué le veau gras pour moi ; car, ayant appris que le vaisseau sur lequel j’étais avait fait naufrage dans la rade d’Yarmouth, il fut longtemps avant d’avoir l’assurance que je n’étais pas mort.

Mon radeau était alors assez fort pour porter un poids raisonnable ; il ne s’agissait plus que de voir de quoi je le chargerais, et comment je préserverais ce chargement du ressac de la mer ; j’eus bientôt pris ma détermination. D’abord, je mis tous les bordages et toutes les planches que je pus atteindre ; puis, ayant bien songé à ce dont j’avais le plus besoin, je pris premièrement trois coffres de matelots, que j’avais forcés et vidés, et je les descendis sur mon radeau. Le premier je le remplis de provisions, savoir : du pain, du riz, trois fromages de Hollande, cinq pièces de viande de chèvre séchée, dont l’équipage faisait sa principale nourriture, et un petit reste de blé d’Europe mis à part pour quelques poules que nous avions embarquées et qui avaient été tuées.

Pendant que nous attendions les bagages (cela dura plus d'une heure) j'allais au W.C..... mais mon passeport tomba dans les toilettes. Je ne vous raconte pas ce que je dus faire pour le récupérer.

- Gloubbb, frrrr, gnuccc... balbutiai-je. Ma langue faisait des noeuds ! Euh, mon Stilton est nom, enfin mon Geronimo est Stilton, je veux dire mon nom est Geronimo Stilton !

Par mille mimolettes de Noel !!!

- Vous pouvez parler moins fort ? tonna une voix du fond de la caverne. Y en a qui essaient de dormir sur leur trésor !
Une énorme tête de dragon apparut en clignant des yeux.

- Il doit être grand et beau !
- L'apparence, ce n'est pas si important, affirma Randalf.
- Et s'il est riche ?
- L'argent ne fait pas tout.
- Et s'il est musclé ?
- Les muscles ne peuvent rien contre l'intelligence, baron.
- Et si... et s'il avait le plus beau et le plus grand casque à cornes du Marais qui pue ?
- Aaaaaaaah, là, évidemment, convint Randalf. Mais ce n'est pas une raison pour faire une bêtise.

- Mais ma soeur ne va pas aimer les ogres et les dragons....
- En tout cas, elle a l'air de bien aimer les barbares, remarqua Randalf avec un petit sourire.

Quel genre de baron Cornu êtes-vous pour faire des rideaux en doudou d'ogre ?

Je suis enfin libre. Nous allons pouvoir vivre notre amour au grand jour et cultiver des champs entiers de betteraves.

- C'est typique ! riait la dragonne. Vous, les super-guerriers, vous ne pensez qu'à tuer et vous tirez tout de suite les conclusions.

- J'ai composé une chanson sur Gorzil.
Écoute :
Voici Gorzil, un dragon avide et rapace,

Fuyez ou il vous grille sur place !
Gorzil crache un nuage de fumée à chaque roi,
Et des éclairs jaillissent de ses naseaux...
Où se cache donc le héros vif et agile
Qui trouvera son talon d'Achille ?

- Que me vaut votre visite en ces lieux ? Serait-ce un devoir qui nécessite plusieurs heures de recherche dans la bibliothèque ? demanda-t-il, plein d'espoir.
- Non, répondit Wiglaf, ce n'est pas pour les cours.
- Oh, Ciel ! un enfant qui lit pour le plaisir !
Frère Dave porta la main à son cœur. Il avait l'air ravi.