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Pour Lucas Kent sa nouvelle captive est une insupportable contradiction: docile mais défiante, vulnérable mais forte. Il doit dévoiler ses secrets, mais y parvenir pourrait tout mettre en péril.
Son obsession pourrait la détruire.
Elle est déterminée à s'enfuir.
Pour Yulia Tzakova son geôlier est à la fois l'homme de ses rêves et celui de ses cauchemars: tendre un instant, cruel immédiatement après. Elle ne peut se soumettre à lui mais lui résister pourrait lui être funeste.
Je me suis abandonné à mon désir pour un homme qui me détruit.
J'ignore pourquoi Luca ne l'a pas encore fait pourquoi je suis dans son lit au lieu d'être suspendu et torturé dans un hangar brisé et ensanglanté. La situation ou je suis n'est pas celle à laquelle je m'attendais quand les hommes d' Esguerra m'ont conduite ici hier et que j'ai réalisé que l'homme dont je croyais avoir causé la mort était encore en vie.
J'ai décidé de lui attribuer la liste d'or, alors que pour le tome 1 je l'ai mis dans la liste argent. Dans ce deuxième tome, on attend avec impatience le jour où Yulia rejoindra Lucas.
On hâte de savoir comment va se passer la cohabitation, ce qu'ils se diront, comment ils réagiront. Est-ce que Yulia va-t-elle tout révéler ? Est-ce que Lucas va être tendre ou un horrible geôlier ?
J'ai plus aimé ce deuxième tome. J'adore le fait que ce soit des personnages qui nous pas eu certes des vies parfaites, toutes bien rangées et envieuses. C'est tout le contraire. Les secrets du passé sont présents, ce qui donne un très bon suspens ! Les émotions sont présentes, mon dieu je suis passée par énormément de sentiments contradictoires : désir, tristesse, haine, amour, soulagement, affolement.
De plus, même si je n'ai pas lu le tome avec Nora et Julian (apparemment c'est très hard...) j'aime avoir un suivi de leurs histoires. :)
J'ai eu peur à un moment, quand Lucas Spoiler(cliquez pour révéler) lui fait revivre son viol pour avoir des informations. Quand elle a couché avec lui et qu'elle était partante après ce qu'il lui a fait. J'ai failli arrêter la lecture à ce moment là, car c'était trop surréaliste et complètement absurde. Bien que Lucas lui plaise énormément, ce qu'il a fait est horrible. Même emprisonnée, Yulia nous a montré que malgré qu'elle soit sa captive elle n'en était pas moins elle-même. Du coup quand le lendemain, elle a décidé de lui faire payer, j'étais contente. Parce que je trouve que ça se rapproche plus de la réalité et plus d'un comportement aussi normal que possible dans le contexte. Quand elle s'échappe, je me dis enfin et tant mieux. Mais j'ai hâte de savoir la suite
Si au départ on est complètement captivé par l’histoire de la prisonnière, on vient vite à être dérangé par les violences incessantes, la privation et la captivité…. C’est à tout le moins une histoire qui nous chamboule…
Je reste curieux de lire la suite, mais beaucoup moins que lors de la fin du premier tome, sans doute que l’on a atteint les limites de ce qui peut être « appréciable » comme description et intensité dans le domaine pour ma part…
L'histoire piétine et l'action est limitée... : manger, aller aux toilettes, prendre une douche, baiser... ce qui, ok, doit peut-être être le quotidien d'une prisonnière de dark romance, mais ça m'a vite ennuyé... Heureusement à la fin Yulia arrive à prendre la fuite. Le T3 me rend donc curieuse ;)
Dans ce deuxième tome de la série "Capture-moi", nous retrouvons nos deux héros, Lucas Kent, l’homme de confiance et le second de Julian Esguerra, un trafiquant d’armes notoire et Yulia Tzakova, une espionne ukrainienne, sa prisonnière.
On est complètement captivé par l’histoire de la prisonnière tout en venant très vite à être dérangé par les violences incessantes qu’elle subit, les privations qu’elle doit endurer et sa captivité.
À présent, on rentre dans le vif du sujet.
On en apprend un peu plus sur Yulia et on découvre que sa vie n'a pas été des plus faciles mais des zones d'ombre subsistent toutefois.
Yulia est à la fois docile et rebelle, vulnérable et forte.
Chacun essaie de manipuler l’autre sans jamais vouloir baisser la garde…
On aborde ici le "syndrome de Lima", l’inverse du "syndrome de Stockholm", lorsque la captive s’éprend de son geôlier.
Le "syndrome de Lima" est un phénomène psychologique. Il se base sur une trop forte sympathie et une trop grande capacité à se mettre à la place de la prisonnière de la part du ravisseur. Il peut finir par un sentiment amoureux. La prisonnière n’est plus traitée comme telle mais comme une invitée. Il essaie de nouer des relations avec elle. Le développement des sentiments amoureux pour la prisonnière peut mener rapidement à l’obsession. Le geôlier commence à se préoccuper de sa victime, il cherche à la rassurer, lui donne à manger, à boire et finit par être aux petits soins pour elle. Par sympathie ou pour protéger la prisonnière, le ravisseur peut être amené à la libérer.
J’étais ravie que l’histoire prenne cette direction. Je ne connaissais pas du tout cette pathologie. Je trouve que les événements sont très bien mis en scène tout en s’imbriquant parfaitement les uns dans les autres et entrent parfaitement dans le "moule" du syndrome de Lima.
Yulia représente pour Lucas sa faiblesse, son obsession…
Tantôt, il a envie de la briser, de la forcer à reconnaître qu’elle a besoin de lui, tantôt il veut l’envelopper dans un cocon et faire en sorte que rien de mal ne lui arrive…
La relation entre Yulia et Lucas a débuté par une attraction sexuelle intense de part et d’autre pour conduire à une vengeance à assouvir et elle prend finalement une tout autre tournure.
Alors que Yulia est entre les mains de Lucas depuis moins de vingt-quatre heures, les plans qu’il avait la concernant se sont évanouis en fumée. Depuis deux mois, il est incapable de penser à autre chose qu’à elle. L’intensité de son désir et les sentiments gênants qui l’accompagnent continuent à l’aveugler. Il veut prendre soin d’elle et assurer sa sécurité au lieu de lui faire du mal. Il a abandonné l’idée de se venger sur elle, il se concentre sur les véritables responsables : les membres de l’agence qui lui ont donné cette mission.
Yulia est sienne. Entre eux, cela va au-delà de la logique, de la raison. Il veut se l’attacher, la lier à lui si étroitement qu’elle ne pourra jamais le quitter.
À travers les mots, Anna Zaires nous fait ressentir le lien quasi viscéral qui unit nos deux héros.
Un parfait mélange de passion, d’érotisme, de suspense et d’émotions...
J’ai été prise par le rythme du récit. On assiste en quelque sorte à un huis clos entre le geôlier et sa prisonnière… Et c’est captivant de les voir mettre tout en œuvre pour tenter de maîtriser leurs actes, leurs pensées et leurs sentiments…
On ne souhaite plus qu’une seule chose, savoir comment tout cela va se terminer…
Ce deuxième tome se plonge dans les choses sérieuses. Si parfois les scènes charnelles sont parfois trop nombreuses, l'alchimie entre Lucas et Yulia donne malgré tout envie de continuer.
Yulia est une héroïne forte, intelligente, qui en dépit de son attachement pour Lucas va résister et songer avant tout à son frère, qu'elle cherche à extirper de l'Organisation pour qui elle travaille.
Certains quiproquos sont un peu gros, mais ces petits défauts ne gâchent pas la lecture du roman.
Si au départ on est complètement captivé par l’histoire de la prisonnière, on vient vite à être dérangé par les violences incessantes, la privation et la captivité…. C’est à tout le moins une histoire qui nous chamboule… Je reste curieuse de lire la suite, mais beaucoup moins que lors de la fin du premier tome, sans doute que l’on a atteint les limites de ce qui peut être « appréciable » comme description et intensité dans le domaine pour ma part…
Résumé
Il est déterminé à briser son silence.
Pour Lucas Kent sa nouvelle captive est une insupportable contradiction: docile mais défiante, vulnérable mais forte. Il doit dévoiler ses secrets, mais y parvenir pourrait tout mettre en péril.
Son obsession pourrait la détruire.
Elle est déterminée à s'enfuir.
Pour Yulia Tzakova son geôlier est à la fois l'homme de ses rêves et celui de ses cauchemars: tendre un instant, cruel immédiatement après. Elle ne peut se soumettre à lui mais lui résister pourrait lui être funeste.
Un moment de faiblesse pourrait lui être fatal.
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