Commentaires

Je l'ai principalement lu pour ma culture. Il est rapide et facile à lire.

Le personnage de Carmen est intéressant : elle est libre et elle le restera.

Spoiler(cliquez pour révéler)C'est peut-être ma vision moderne des choses, mais je n'ai vraiment pas aimé tout le côté avec José qui veut Carmen sous excuse qu'elle ne l'aime plus. Cette partie-là laisse un goût amer dans la lecture.

Pour être honnête, je l'ai lu pour me dire que ça y est, je l'avais lu. J'ai sauté des lignes, lu en diagonal simplement pour l'avoir terminé. Clairement, ça ne me marquera pas.

J’aime beaucoup Carmen, œuvre que j’ai découverte à l’âge de douze ans. J’ai lu et relu rigoureusement ce livre de Prosper Merimée, au moins trente ou quarante fois ! Mais plus que l’œuvre, c’est la femme que je lisais. Carmen est féminine et aussi, je crois, féministe. En tout cas, elle est immensément libre et indépendante !

Deux nouvelles de Prosper Mérimée (Carmen et Les âmes du purgatoire) qui nous emmènent avec passion en Espagne. L'auteur fait éclater son génie : son écriture efficace, pleine de poésie, d'humour et d'allant. Un véritable chef-d'oeuvre !

Je suis perplexe sur ce livre. A la foi j’aime beaucoup l’écriture très enjolivé des siècles précédent et le but pédagogique notamment sur l’Espagne et les Bohémiens m’a fait pensé à Jules Vernes que j’aime pour ces détails là. Cependant le texte est truffé de sexisme et de racisme envers les bohémiens justifié et normalisé par le point de vue masculin et “de bonne société” de l’auteur et du narrateur José. Carmen est manipulatrice bien entendu, mais c’est une femme fière et libre qui refuse de ce faire diriger, Spoiler(cliquez pour révéler)et pour cela Don José la tue. C’est un féminicide, n’y plus ni moins. De plus les note et réflexion totalement arbitraire de l’auteur au sujet des bohémiens et notamment des femmes bohémiennes sont mélangé avec des éléments factuels et sa position d’instructeur rend le mélange légitime. En effet décrire les femme bohémiennes de laiderons, de supportrice de Satan, de femme volage et voleuse n’est pas un fait indiscutable et avéré et n'est pas à mélanger avec la construction linguistique du romani par exemple. Malgré tout c'est un bon texte pour en apprendre plus sur la culture espagnoles des années 1800 et les discriminations que viv.aient les bohémien.nes.

Carmen, une femme qui tomba amoureuse de la liberté au point de tout sacrifié pour elle.

Un combat, une manipulation et un espoir de liberté.

Même si je m'attendais à autre chose, finalement ... il y avait ce que quelques choses qui me fit apprécié la lecture plus que je ne l'aurais cru aux premiers abords. Garder le contrôle jusqu'à la fin, non ?

Quand on découvre ce « Carmen » de Prosper Mérimée, on est définitivement convaincu que c’est « Carmen », l’opéra fameux de Bizet qui a sorti ce livre de l’oubli. Car, à mon sens, ce Carmen ne vaut ni par sa longueur ni par son écriture.

Pourtant le premier et le deuxième chapitre étaient plein de promesses. Je me perdis dans le troisième et ne compris pas l’intérêt du quatrième à connotation anthropologique.

Un livre bâti sur un fantasme ! Mais n’est pas le propre du fantasme d’être non-dit et de libérer l’imagination !

Carmen, un prénom de femme, symbole de liberté et de nos femmes fatales d’aujourd’hui.

Carmen, une histoire aux parfums espagnols, de bohémienne…

Carmen, histoire éternelle de la femme meneuse d’hommes aveuglés par leur amour. Elle les mène par le bout de leur nez, en fait amant, roumi, contrebandier, meurtrier suivant son bon vouloir  ; les autres sont les victime !

Carmen est ainsi devenu un mythe au même titre que Don Juan, Roméo et Juliette. On en a fait des opéras, des films, des pièces de théâtre qui font le tour du monde avec partout le même écho dans le cœur des hommes, celui de nos propres histoires et de nos sentiments pour la femme que l’on aime.

« Si tu ne m’aimes pas, je t’aime » Qui n’a pas sacrifier, tout endurer, tout fait par amour malgré les avertissements mille foi répétés « Si tu m’aimes, prends garde à toi ».

Une nouvelle agréable à lire. Lu pour enrichir ma culture générale… sans plus d’exaltation !

Très bonne histoire de passion et de crimes. L'écriture est belle et le récit se lit très bien!

Je ne m'attendais absolument pas à autant aimer ce drame passionnel !

Pendant ma lecture de cette nouvelle, j'ai tout autant été séduite par cette femme qui revendique sa liberté que par la narration.

Carmen est une représentation de la femme forte, connaissant une fin tragique, qui m'a complétement conquise !