Commentaires de livres faits par caro0603
Extraits de livres par caro0603
Commentaires de livres appréciés par caro0603
Extraits de livres appréciés par caro0603
Tu as vu cette envie en moi qui n’a pas de nom.
Tu es parti. Il y a le ciel et il y a les arbres.
Il y a les chiens et il y a les oiseaux
Il y a les eaux de cette terre et elles
Attendent. J’entends ta voix : Plonge !
Tu m’as appris à nager dans les eaux tumultueuse…
Avant de me laisser couler à pic ici. »
Laisser les autres entrer en soi, les laisser découvrir son pays, c'est la clé du bonheur.
C’est notre seule mission.
Quiconque trouve le courage d’écouter la voix qui s’élève en lui saura ce qui compte vraiment, et il comprendra que l’univers lui accorde bien plus d’importance qu’il ne pouvait l’imaginer.
P. 135
P. 94
« Une seule âme résidant en deux corps »
P. 94
Il en résulte que le bonheur ne saurait être qu’une forme de contemplation. »
P. 45
P. 33
P. 14
Il suffit d’ouvrir les yeux de l’intelligence et du cœur pour les découvrir.
P. 12
- Saint-Augustin
P. 671
P. 589
P. 561
P. 544
Cette phrase, que son aînée lui avait souvent répétée par le passé, Véronika la comprenait enfin. Elle laissait toujours les moindres méchancetés, les plus petites difficultés qu’elle rencontrait la transpercer, l’éviscérer…en un mot, l’affaiblir. Et pour quelle bénéfice , au juste ? Absolument aucun. La prochaine fois qu’on s’aviserait de la taillader, la jeune fille comptait bien se mettre à cracher des flammes plutôt que de saigner.
P. 517
Mais je peux pas aussi décider de changer les règles du jeu.
P. 489
P. 59
Brille dès maintenant, petit brasier, la nuit s’en vient.
Brille dès maintenant, petit brasier, élève-toi,
Brille dès maintenant, petit brasier et, dès demain,
Un grand brasier, tu deviendras. »
Comptine pyraéenne
P. 334
Le bonheur et le malheur sont à l’intérieur de nous. Le paradis et l’enfer n’existent qu’en nous. »
P. 127
Pour vivre de grandes joies, il faut prendre le risque de traverser les grandes peines. »
P. 125
P. 120
Car notre esprit a autant besoin de silence que notre corps a besoin d’air. »
P. 112