Commentaires de livres faits par Caroline98
Extraits de livres par Caroline98
Commentaires de livres appréciés par Caroline98
Extraits de livres appréciés par Caroline98
— Mon Dieu, ça va être très dur pour lui quand il reviendra de continuer ses petits secrets, j’en saurai bientôt plus que lui sur ses affaires. Les autres ne disent rien, ils sont gênés lorsque je parle ainsi. Ils m’agacent à croire tout ceci impossible, ce n’est pas parce que les deux femmes ont dit non que tout est forcément joué. Il reste les deux hommes du Tribunal à rencontrer. Je ne perds pas espoir.
- Tu sais que je ne peux pas t’en vouloir très longtemps.
- C’est parce que je suis irrésistible, expliqua-t-il d’un air malicieux et totalement prétentieux
Je faisais semblant de ne rien comprendre pour voir s’il arriverait à me parler franchement . C’était à lui de faire tout le travail. Je m’étais toujours montrée sympa avec lui, sauf les fois où il me cherchait vraiment. Dake, en revanche, n’avait fait aucun effort.
- Tu fais exprès d’agir comme une idiote ?
Je me mordillai nerveusement la lèvre. Impossible de jouer la comédie avec lui, et de toute évidence, je n’étais pas assez bonne actrice puisqu’il avait très vite repéré ma tactique.
- Si je te disais qu’après l’épisode de la boîte de nuit, j’avais commencé à être véritablement attirée par toi, tu dirais quoi ?
- Que c’est réciproque.
- Alors, pourquoi t’obstines-tu à être aussi distant ?
- Il semble que tu ais oublié que c’est interdit. Je haussai les épaules. Je n’avais pas oublié
- Tu as vraiment envie d’en discuter maintenant ?
- Discuter de quoi ?
- Notre attirance.
Encore une fois, c’était on ne peut plus clair. Je déglutis, rivai mon regard sur la route et accélérai tandis que le feu passait au vert.
- Notre attirance, fis-je distraite.
- Ce qui s’est passé à l’Apocalypse
—Avant, j’avais une vie normale, murmurai-je, le nez fourré contre son épaule. Je me levai le matin, j’allais travailler. Je réparais quelques voitures, je payais mes factures, et personne ne voulait me tuer. Mon père était mort.
Ma mère vivait à six heures de voiture ; en me débrouillant bien, je pouvais même faire durer le voyage jusqu’à huit ou neuf heures.
—Et tu te chamaillais avec ton voisin de derrière, commenta Adam d’une voix douce
—Je le matais aussi à son insu, approuvai-je. Parce que de- temps en temps, en particulier après une nuit de pleine lune passée à chasser, il oubliait que je pouvais voir dans le noir et courait autour de sa maison, entièrement nu.
Je sentis son épaule tressauter d’un rire silencieux.
—Je n’ai jamais oublié que tu pouvais voir dans le noir, avoua-t-il.
—Oh. (Je réfléchis un instant à cette information.) C’est bien joué. Pas aussi bien joué que ma Golf en voie d’érosion, mais tu marques un point.
Adam était un homme ordonné, du genre à entrer dans une pièce et à redresser les tableaux qui n’étaient pas droits. Pendant des années, j’avais utilisé cette épave comme un instrument de vengeance pour tous les ordres qu’il me contraignait à suivre. Et je devais y obéir non seulement parce qu’il avait de l’autorité, mais aussi parce qu’ils étaient empreints de bon sens.
Quand j’étais vraiment énervée, j’enlevais une ou deux roues, jamais les quatre en même temps, ou laissais une porte ou le coffre ouvert, juste pour l’agacer.
Et lui m’avait rendu la pareille en courant à poil dans la cour de sa maison. Je réfléchis encore un instant avant de lui dire :
— Merci de m’avoir offert un tel spectacle pendant toutes ces années.
— C’était un plaisir, répliqua-t-il d’un ton sérieux. Maintenant que nous sommes mariés, vas-tu enfin faire quelque chose de cette fichue bagnole ? Je ne sais pas, moi, la faire remorquer à un endroit où plus personne n’aura à supporter sa vue
Je pris une grande inspiration, et mes poumons semblèrent fonctionner à merveille une fois disparue la boule d’angoisse due à cette histoire de père qui n’était pas vraiment mon père.
—Je vais y réfléchir, répondis-je. Pourquoi ne pas mettre ça sur ta liste de cadeaux de Noël ?
mon départ. J’ai les clés de l’appartement de Warren. Il m’a assuré que les
draps étaient propres dans la chambre d’ami.
Il s’arrêta devant le van.
— Ça te dérange si je conduis ?
En temps normal, je me serais chamaillée avec lui juste pour
le principe, mais parfois, en particulier lorsque Adam semblait prêt à
exploser, il valait mieux laisser le mâle Alpha en faire à sa guise. Sans un
mot, je me dirigeai vers le côté passager.
Le trajet se déroula sous les limites de vitesse et en
silence. Nous arrivâmes jusqu’à Richland sans croiser un seul feu rouge, puis
la chance nous quitta.
— Adam, remarquai-je gentiment, si tu casses le volant,
il va falloir qu’on termine le chemin à pied.
Il relâcha sa prise sur le volant mais ne me regarda pas. Je
lui mis la main sur la cuisse et la sentis vibrer sous ma paume.
— Si tu veux qu’on arrive jusqu’à chez Warren,
répliqua-t-il d’un ton guttural, je te conseille de surveiller tes mains.
Il y a quelque chose de terriblement excitant dans le fait
de se sentir désirée. Je retirai ma main et pris une brusque
inspiration.
— Adam, murmurai-je.
de Chad. Quand le petit garçon le regarda, il épela le terme en langage des
signes. Chad prit l’air dégoûté.
— Désolée, repris-je, mais
personnellement, j’aimerais beaucoup voir les beaux garçons se balader en
costume moulant avant de mourir.
Stefan se laissa enfin aller et
éclata de rire.
— Il ne faudra pas compter sur
moi, répondit-il. Bon, et qu’est-ce qu’on fait maintenant, Chasseuse de
Spectres ?
— C’est nul, comme nom de
super-héros.
— Scoubidou est déjà pris, je
le crains, répliqua-t-il d’un ton très digne, et il n’y a rien de mieux comme
nom.
— Sérieusement, repris-je, on
va déjà essayer d’aller voir ses parents.
Qui, je l’espérais, dormaient
paisiblement malgré le hurlement de leur fils et les portes qui claquaient,
sans compter notre discussion. En fait, à la réflexion, c’était même étrange
qu’ils ne soient pas sortis de leur chambre en râlant.
— « On » ? Tu
veux que je vienne ? s’étonna Stefan, le sourcil levé.
- Viens on rentre, suggéra Adam. Tout le monde est parti, sauf Jesse qui fait la sieste.
Sa voix rauque et le contact de ses levres sur mon oreille me dirent qu'il avais autre chose qu'une petite sieste a l'esprit.
- J'ai vraiment l'impression d'avoir une chance incroyable ce soir, lui dis-je alors que nous nous dirigions vers la maison.
- Oh? Parce que tu n'es pas morte dans l'accident, la bagarre contre la fae ou celle contre le vampire? demanda-t-il d'un ton ironique.
- ça va, tu m'as assez gueulé dessus à ce propos, l'avertis-je. Tu as atteint le quota maximum. Et en plus ça na rien avoir avec mon sentiment.
peut-être pire, soupira Luc en consultant son téléphone avant e lever les yeux sur moi. Kelley vient de m’envoyai un message.Lacey Sheridan ne va pas tarder.
Autour de moi, tous les vampires se turent, m'observant comme s'ils s'attentaient ma réaction. Je devinais sans peine leur interrogation : " Va t'elle piquer une crise? se mettre a hurler et crier? sortir comme une furie?"
Mes joue s'enflammèrent en constatant que tous le monde me considérait apparemment comme une hystérique.
- J’étais déjà au courant de sa visite.
-Depuis que j’ai un Alien dans le ventre qui a décidé de s’entraîner pour boxer, je réponds finalement au meilleur ami de mon amant. Shri réagit immédiatement, son visage prend une expression ravie, un sourire s’étend sur ses lèvres, ses yeux ont une lueur de joie. Elle a l’air contente pour moi, et je sens déjà un débordement d’affection qui va me mettre mal à l’aise.
— Oh, Madame, vous…
Louis et moi lui jetons un regard intrigué. Lui et moi, nous sommes sur la même longueur d’onde quand il s’agit de me traiter comme la 8e merveille du monde : je déteste ça, et lui aussi. Ce bébé, à mes yeux, bien que je sois consciente de son avenir, je le considère comme n’importe qui. Pas besoin d’en faire des montagnes dès que je prends un kilo. Je suis heureuse de sa future venue, mais qu’on ne me demande pas d’agir comme toutes ces imbéciles. Ce n’est pas moi, ce type de comportement.
— C’est la première fois ? m’interroge-t-elle en tentant de cacher son excitation.