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— Une rivière souterraine ! expliquai-je. Elle traverse une terre couverte de végétation, et donc éclairée par les rayons du soleil ! Aucune grotte sous terre ne peut produire de vie végétale, même ressemblant de loin à l’arbuste que cette rivière nous a apporté. Au-delà de ces falaises, s’étendent des terres fertiles où coule de l’eau potable. Peut-être y a-t-il même de la vie

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Nous étions déjà très près du rivage, mais je donnais des ordres pour que la proue fut dirigée droit vers la côte. Nous reprenions nos recherches, goûtant l’eau constamment, afin de nous assurer que nous ne sortions pas du courant potable. Un léger vent soufflait au large et il y avait peu de brisants ; aussi notre approche se poursuivait-elle sans que nous ne touchions jamais le fond

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Ce détail me fit songer que jusqu’ici, nous n’avions vu ni arbres ni forêts. De plus, rien sur le corps ne laissait penser que celui à, qui il appartenait avait eu une expérience maritime quelconque. C’était le cadavre d’une race primitive d’homme ou d’espèce évoluée d’animal. J’en déduisais donc qu’il s’agissait d’un indigène de Caprona, qu’il habitait quelque part dans les terres, était tombé ou avait été poussé du haut d’une falaise.

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On dirait un homme, dit-il en me passant les jumelles. Je prenais mon temps pour observer la chose et aurais juré qu’il s’agissait d’une forme humaine. Miss La Rue se trouvait avec nous sur le pont. Je me retournais et lui demandais de descendre, ce qu’elle fit sans mot dire. Me voyant ôter mes vêtements, Prince me lança un regard étonné : en Angleterre, il avait l’habitude de nager avec moi et il n’avait apparemment pas oublié cet exercice

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Mais les métaphores, mêmes poétiques, n’ont jamais étanché la soif d’une gorge sèche. Pour apprécier le romantisme des paysages de Caprona à, leur juste valeur, il nous fallait à boire. Nous progressions vers le rivage, en sondant sans arrêt devant nous. Mais nous avions beau avancer vers l’île, les eaux restaient toujours aussi profondes et la ligne côtière aussi indentée par ses formidables falaises

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Cette nuit-là, le vent nous amena de nombreux nuages noirs. Ce temps plutôt rude persista plusieurs jours. Nous ignorions quel cap nous maintenions et il nous était impossible de le connaître avec précision, sachant que Benson avait saboté le sextant. Nous voguions donc à l’aveuglette jusqu’à la réapparition du soleil. Nous pensions nous trouver quelque part au large du Pérou. Le vent, qui avait jusque là soufflé de l’est tourna au sud. La température s’en ressentit : il faisait froid. — Le Pérou ! siffla Olson. Où donc avez-vous été pêcher qu’il y a des icebergs au large du Pérou ? — Des icebergs ! Icebergs, mon œil ! s’exclama un des anglais. Vous savez qu’ils ne descendent pas plus bas que le quatorzième parallèle, dans ces eaux. — Dans ce cas, nous sommes au sud du quatorzième, mon garçon, répliqua Olson

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Je l’ai fait tout seul, parce que je vous hais, vous et tous les autres. J’ai été mis à la porte de votre usine de Santa Monica et expulsé de Californie. Je suis devenu un agent allemand — non pas parce que je les aime ; en fait, je les déteste — mais pour faire du tort aux Américains, que je hais encore davantage. J’ai saboté les appareils radio, endommagé le chrono et le sextant, conçu un procédé pour faire varier le compas à ma guise. J’ai dit à Wilson que j’avais surpris la fille à parler avec Von Schoenvorts et ai fait gober à ce pauvre imbécile que lui aussi l’avait vue. Je suis désolé. Désolé que mes plans aient échoué. Je vous hais

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L’expectative était encore plus pesante que ce que j’avais enduré en attendant la mort. Enfin, le pont principal réapparut et derrière moi, l’écoutille du kiosque s’ouvrit. Le visage inquiet de Bradley se décrispa quand il m’aperçut. — Vous pouvez remercier Dieu, me dit-il, en se penchant pour me hisser dans la tourelle. J’étais engourdi par le froid et n’aurais sûrement pas tenu longtemps sans la chaleur de l’intérieur du bâtiment et le réconfortant verre de brandy que Bradley me fit boire. Ce breuvage m’arracha presque la gorge : il vous aurait ravigoté un mort

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J’observais l’ascension des flots jusqu’à ce que le petit pont où je me trouvais fut recouvert. Je remontais alors la coupée, vers le sommet du kiosque. A la manière dont le bâtiment s’enfonçait, je savais que seul Benson manœuvrait et qu’il laissait les ballasts se remplir, sans utiliser les gouvernails de plongée. Le bruit des machines cessa et fut bientôt remplacé par la vibration des moteurs électriques. Le niveau de l’eau était à mi-hauteur du kiosque ! Il me restait peut-être encore cinq minutes de sursis. J’essayais de décider de ce que je ferais après avoir été balayé par les flots. Nagerais-je jusqu’à l’épuisement ou abandonnerais-je la lutte en plongeant de moi-même

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Ce paragraphe d’introduction s’achève et si vous, lecteurs, possédez la même imagination folâtre que moi, vous serez certainement désireux de connaître la suite de l’histoire. C’est pourquoi je vous la livre intégralement, à l’exception de quelques détails ou citations difficiles à retenir. Je disparais pour laisser place nette au héros. Dans deux minutes, vous m’aurez oublié

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