J'ai bien aimé mais il ne se passe rien ? Beaucoup trop court, et pas assez développé à mon goût. Ado, ça ne m'aurait pas intéressé d'acheter le tome 2. J'imagine déjà que les 3 auraient très bien pu faire un seul tome.

Par contre les dessins sont très jolis !

Well... If we read the author's note, we know the end. But if we don't, some people may find this VERY disturbing.

I didn't, and I don't care what other think.

Anyway. It was a good twisted story like Audrey Rush know how to write. The two main characters have deep personnalities, histories and everything is explained. The end becomes more and more surprising, but also disturbing, as we love.

Here, i really like the last chapter. Ii brought something to the story and really ended everything (still leaving an open end)

I like the reveal of Crave, and the fact that it may appears disappointing at first. We are too used to handsome men and everything. It really shoked me and disgusted me at first but, well, it was fun. I liked that.

I think I might read every work of Audrey Rush...

Mon tout premier livre de Noël, romance clichée qui plus est, et je ne suis pas déçue.

On critique tous les téléfilms de noël, mais au fond, on aime tous. C'est un petit plaisir annuel incomparable et puisque certains se risquent même à lire des romances de Noël, j'ai voulu tester.

Tout les clichés y sont : les personnages, l'humour, les péripéties, les coups de pouce du destin... On y retrouve les décors lumineux, les sapins, le froid hivernal et la magie de Noël, qui se présente sous la forme d'un chat, sagement assis sur les genoux d'un père Noël ivrogne mais rempli de gentillesse.

Fin un peu abrupte, mais encore une fois, digne d'un téléfilm de Noël.

Tellement frustrée de la fin.
Pendant tout le livre, nous découvrons l'histoire de Titania comme Nine la decouvre. Tous ces secrets, tout ce passé... L'histoire est très vivante, très rythmées et jusqu'à la fin on se demande "mais pourquoi avoir caché cette vie?" Les révélations ne sont pas incroyables, mais crédibles.
Et jusqu'à la fin, on veut rencontrer cette famille, qui est le trame de départ. La famille arrive dans les dernières pages et... Le livre s'arrête. Je sais qu'on a appris à les connaître à travers le livre, mais on veut les rencontrer. J'ai ressenti cette excitation, comme si j'allais rencontrer une partie inconnue de ma famille. Mais on n'a pas cette interaction entre la famille et Nine. Grosse frustration.

Mais un très beau maniement des temps de conjugaison. C'est à dire qu'on a une histoire, qui raconte une histoire et parfois même dans cette 2eme histoire, on en a une 3eme. Ca nous pousse toujours plus loin dans le passé, mais qu'est-ce que c'est fluide... On rentre vraiment profond dans l'héritage de Titania et on ne reussit pas à en sortir. C'était génial.

Cette histoire se passe en deux temps : début du XVIIIe et de nos jours. On suit deux femmes à travers le temps, liées par une petite fiole sur laquelle est gravée un ours. L'ours de Bear Alley, une impasse où on peut trouver la boutique d'une apothicaire(sse) spécialisée dans les poisons.

Un roman féministe, qui met en lumière quelques problèmes sociétaux des deux époques. Le scénario est simple, crédible et émouvant. Le seul personnage masculin est détestable dés son nom prononcé et on finit par lui souhaiter le même sort que ses compairs du XVIIIe.

Un roman rapide à lire, très bien écrit, avec du suspens et une fin plutôt ouverte. Malgré la bonne note que je lui mettrais, je trouve qu'il manque quelque chose pour le rendre inoubliable. Il me manque un peu de lien avec les personnages, quelque chose de plus fort qui les rassembleraient malgré les siècles qui les séparent. En tout cas, je recommande grandement, c'était une lecture très sympathique.

Il s'agit du 3eme conte interdit que je lis et enfin, j'ai apprécié ma lecture. Ce n'était pas exceptionnel, mais j'ai apprécié. Une vraie enquête assez bien ficelée, des personnages assez travaillés et des trucs bien gores, mais pas trop.

Il y a une vraie backstory pour le personnage principal et les changements de point de vue sont assez utiles. On a pu suivre toute la bande du conte : Clochette, Mouche, Peter Pan, Wendy et ses frères, les enfants perdus... J'y ai vraiment retrouvé tous les éléments clés du conte d'origine, les personnages, les personnalités, les lieux... Tout en rajoutant pas mal de références modernes comme Dracula, Hannibal Lecter, Matrix... Des références qui ne sont pas omniprésentes et qui sont bien amenées.

C'est un conte que je recommande, mais âmes sensibles s'abstenir, car il y a quelques moments un peu disturbing...

Le gros point négatif serait le style d'écriture, avec lequel j'ai eu du mal à accrocher. Dans la deuxième moitié du livre, ça allait mieux. On sent que l'auteur a pris ses marque, qu'il apprécie ce qu'il écrit et qu'il s'imagine bien toutes les scènes. Mais c'est vrai qu'au début, l'écriture n'est pas assez travaillée. J'ai l'impression que l'auteur est débutant, qu'il n'a pas encore trouvé assez de façons de s'exprimer. Il y a trop de phrases à rallonge pour pas grand chose au final... Mais ça donne aussi un côté plutôt accessible à l'histoire. Rien de trop compliqué, ça se lit bien et vite.

Delightful.
Little by little, the main character lets his fantasies come true. After strongly restraining himself, he decides that madness is much better than frustration. We go from a man who preserves the dead to a man who deprives the living.

Petite histoire rapide qui fait suite au mythe de Pygmalion.
Avec le mot de l'autrice on comprend mieux sa démarche et franchement, ça fonctionne très bien.

En quelques pages, Madeline Miller a su donner une version féministe du mythe et surtout, creuser les détails ambigus du mythe de base.

Tout d'abord, je tiens à féliciter notre traductrice français, qui a fait un boulot extraordinaire ! Oui, Madeline Miller a une plume incroyable, mais ceux qui lisent la version française comme moi, ont la chance d'avoir une traduction époustouflante, qui sait nous transmettre les émotions de l'auteur. Peut-être que l'histoire serait moins bien, ou mieux en version originale, mais c'est un énorme 10/10 ici ! Et je continuerai à lire la version française, même si je lis la VO également. Bravo.

Sinon je n'ai pas grand chose à dire étant donné que la plume de l'auteur est incroyable, que le livre parait interminable mais surtout parce qu'on n'a pas envie de le lâcher ! On a envie de le lire, de le terminer, mais aussi de ne jamais s'arrêter. Les personnages sont incroyables et malgré le côté réécriture, on a de vraies connaissances du mythe, de vraies références...

Mais avec ça vient le problème principal : le f*cking TALON, man. Je connais peu de chose du mythe, et j'ai aimé en apprendre plus grâce à ce livre, malgré l'accentuation de la romance avec Patrocle qui n'est pas forcément le sujet principal du mythe. Mais tout ce que je savais de ce mythe, c'était le TALON, bordel. Mais ici, pas de Styx, pas de Talon... Tout avait sûrement pour but de rendre Achille plus humain, mais ça m'a dérangée.

La fin est triste, comme on s'y attend. Et même avec tout les efforts du monde, impossible pour moi de ne pas verser une larme. Madeline Miller ne nous laisse aucun répit. Elle balance des phrases qui me transpercent comme des poignards. Une petite phrase qui me fait vriller à chaque page, qui me rappelle le deuil que je suis en train de vivre.

Malheureusement, elle aurait pu m'avoir, pour de bon. Si seulement, elle avait passé un peu plus de temps sur le dernier chapitre. Détailler un tout petit peu les retrouvailles de nos amants. Elle aurait put nous mettre une sacrée claque si elle avait allongé un peu la fin, en détaillant comme elle sait si bien le faire. Juste quelques phrases, ce n'était pas assez, je suis restée sur ma faim. Une grosse faim.

Male gaze: "les femmes y sont présentées comme des objets sexuels, sont passives et convoitées par les hommes afin de satisfaire leur seul plaisir. Les hommes, en tant que figures patriarcales fortes, sont quant à eux, les moteurs du récit, actifs et narrateurs de l’action." (La ligue)

Voilà une petite définition pour parler des persos féminins dans ce livre. Je pourrais presque simplement dire "écrit par un homme" mais certains ne comprendraient pas. Alors, qu'est-ce qui ne va pas dans ce livre ?

- Les persos féminins sont TOUS décrits d'une façon indescente. Quand nous sommes du pdv de Peter, ça passe... On sait que c'est un pervers, bon. Quand on est du pdv d'Alicia, quel est l'intérêt qu'on sache qu'elle a des petits seins rebondis ? Et puis elles ont des corps "parfaits" qui semblent tous plaire aux hommes : le classique "gros c*l gros seins".

- On passe 20 pages à expliquer que Peter couche avec une fille. 3 fois. Donc soit il s'est drogué, soit il est surhumain pour jouir minimum 2 fois de suite. M'enfin...

- Les scènes d'action sont dignes du MMA. Tout est extraordinaire, Peter est trop un pro qui sait mettre tous ses coups et éviter tous ceux des autres. Il gagne toujours et en sors sans égratignures. D'ailleurs ? Peter est apprécié par les femmes ! Ah bah oui, il a des muscles et des tatouages...

- Peter est tueur en série. C'est son job. Pourtant, à part dire qu'il tue des gens et que ça ne lui fait rien, je ne vois pas en quoi lui donner ce métier est utile à l'histoire. Il va brûler un funérarium juste pour coucher avec la nana qui travaille dedans (puisqu'elle ne pourra pas aller travailler) sur un coup de tête, sans conséquences. Et évidemment, la fille est ok avec ça. (la fille tellement inutile que j'ai oublié son nom).

- Les 2 derniers chapitres dans la torture juste histoire de donner de la "Street Cred" à Peter. Parce qu'en plus d'être super fort, il découpe des gens tranquillement. Et puis juste après, on fait quoi ? On viole une femme ! Allez !

Ce livre est juste un carnet à fantasmes pour l'auteur. Des nanas qui se tripotent sous la douche, le frère qui se permet de triturer les sous-vêtements de sa soeur et d'en faire des commentaires... Une histoire de viols, de la drogue, des nanas en chaleur et à poil... Sérieusement j'ai cringe tout le long de la lecture. Et au final, où est le rapport avec les 3 petits cochons ?

Beaucoup de négatif, peu de positif.
Durant les 100 premières pages, la lecture est assez fluide et suit un rythme de conte. Chaque page retrace plusieurs jours/semaines/mois dans la vie de Yvannah. On la suit de son enfance à l'âge adulte. Dans les premiers temps, rien de bien fou : elle tombe amoureuse, se marie, a des enfants... Une atmosphère angoissante se place petit à petit avec par moments l'apparition du Lutin (qui est finalement plus présent qu'on ne le pense).

Cependant, dés la moitié du livre, nous changeons de décor et nous avons du mal à nous situer dans le temps. Nous passons d'un paysage avec des chevaux, des chalets, les personnages doivent se nourrir grâce à la nature et les animaux environs... Et puis d'un coup, on se retrouve en ville, avec de la technologie et des gens. Ce décalage m'a fait tourner de l'œil et embrouillé le cerveau. Mais si seulement ce n'était que ça !

Les 80 dernières pages sont une torture à lire, ça part dans tous les sens, on ne comprend rien. Il y a trop d'image, trop de comparaison. A chaque phrase, on y met une métaphore. On finit par en oublier ce qui se passe réellement et ça a embrouillé mon imagination. On change de point de vue comme de chemise, sans prévenir, on ne sait pas si les actions se suivent ou se passent en même temps...

Pour une première lecture des contes interdits, je déconseille celui-là. Je m'attendais à une revisite moderne comme les autres, où on parle un peu des vices humains. Rien à voir. C'est bourré de magie, de trucs surnaturels et même si en temps normal j'adore ça, je m'attendais à lire autre chose.

Pour le positif :

La trame et les personnages sont très réalistes. Malgré un manière d'aborder les choses assez soft, l'auteure a réussi à créer une atmosphère angoissante qui ne cesse d'accroitre au fil de la lecture. La dernière partie est remplie de suspens, d'action, de mouvement... Gros étonnement pour les révélations de fin. C'est assez soudain mais nous permet de comprendre pas mal de choses. Ça apporte également une touche dramatique à l'histoire. J'ai eu une petite boule au ventre et les yeux humides.

Mes parties préférées sont celles dans le Carrousel Rouge, où l'ambiance de spectacle, de taverne, de bordel est très bien amenée. Ça donnait un côté très festif et décalé à l'histoire.

Les personnages sont super. La tante qui est une femme indépendante et forte. Tom le balafré charmeur. James le garçon de bonne famille avec de bonnes manières. Le docteur fou, la meilleure amie maitresse de son corps, et Molly, une jeune fille qui aimerait devenir plus et changer le monde. Même si parfois, elle manquait de jugeote, n'oublions pas qu'elle a tout juste 18 ans.

Sans oublier tous les cadavres ou les personnages que l'on rencontre le temps d'une page, qui reviennent tous à un moment donné. Cela donne un aspect spécial au pdv de Molly, comme si tous ces gens n'étaient pas que des corps et effectivement des personnes, avec une vie et une importance.

Pour le négatif :

Pas assez de Kitty. L'histoire se passe tout de même autour de son meurtre, mais je ne me suis pas attachée à elle, et pas assez de souvenirs ou de moments où Molly pensait à elle. À part dire qu'elle pense à elle, il n'y avait pas assez de détails à mon goût, de deuil ou de traumatisme...

Concernant la queue de Kitty, je n'ai rien compris pendant 16 chapitres puisqu'on n'en parle qu'au début et après on attend le chapitre 16 pour en reparler et expliquer ce que c'est. Tout comme les chapitres de fin de partie, que je n'ai compris qu'à la fin. C'est un goût personnel, mais moi je ne supporte pas ne pas comprendre. Laisser du mystère oui, balancer un truc sans détail ou contexte, non.

Et le gros point négatif de la lecture en général, c'est le langage utilisé. Nous sommes à l'époque victorienne et autant dans les descriptions que dans les dialogues, le langage est trop moderne. Ça m'a un peu déconnectée du contexte historique, qui est pourtant important dans ce roman.

Mais ça reste une excellente lecture, addictive, que je recommande. Du suspens, de l'histoire, des femmes qui cassent les codes, des cadavres et un soupçon de romance.

Nul. Nul. Nul.
Comment Audrey Rush a-t-elle pu écrire un presque chef d'oeuvre comme Grave Love et nous sortir une merde pareil ?

Les personnages sont atroces. Ils ne sont même pas chiants, ils sont ATROCES. Tous irritables au possible, le "Echo Killer" est prévisible, aucun suspens, aucun étonnement.

Le perso masculin qui passe d'un psychopathe qui kidnappe Kora à un vieux lover tout pourri et chiant à mourir. La gamine surprotégée qui se transforme en une pick me et les parents pas crédibles du tout.

J'ai pu remarquer l'inspiration du mythe de Hades et Persephone (les fleurs, la maman qui est mal quand Kora disparait, les trois chiens etc...) mais cela ne se prête pas bien à l'histoire. J'ai mis 3 mois à lire ce bouquin psq il m'a coupé l'envie de lire soudainement. Et pourtant, j'ai lu Grave Love en 2 jours.

Donc si vous ne voulez pas perdre votre temps, je vous conseille Grave Love, mais pas celui-ci.

Je suis si déçue de la fin ! Nooon, pourquoi ?? Tout était tellement bien... Je pense que la fin aurait pu donner suite à un tome 2 à part entière. Sinon, j'aurais préféré la fin alternative... Bon... Passons...

La mise en garde de l'auteure est propice. On aborde ici la dépression du point de vue interne et de tout ce que ça peut engendrer : les envies suicidaires, les pensées morbides, les fantasmes tordus... Pour avoir vécu la dépression, je me suis reconnue dans le personnage de Ren. En tous points. Et malgré cette "fiction" où on invente un tueur en série qui veut lui offrir la mort qu'elle désire rend le récit surréaliste et pourtant... Chaque discussion, chaque pensée des personnages est réalistes. Toutes les réactions sont adéquates et surtout, super bien abordées.

De loin, ça s'apparente à de l'horror p•rn mais finalement, c'est bien plus que ça.

Que dire ? Tout est parfait ! C'est devenu mon livre préféré of all time. La plume est parfaite, la connaissance des mythes est parfaite, la façon dont sont amenés les évènements est parfaite...
L'auteure connait son sujet, le maitrise et nous transmet son savoir. Circé est un roman qui ne se lâche pas. J'avais beau faire des pauses pour mes obligations personnelles, je ne le voulais pas et dés que j'en avais l'occasion, je replongeais dedans. Il est addictif, et rien ne m'a ennuyée, pas une seule seconde. Les récits des personnages, les descriptions de paysage, les dialogues... Tout est PARFAIT. Je pensais que j'allais souffrir de 550 pages (en poche) mais au final, on le finit trop rapidement et on en veut encore !

Ce roman est un chef d'oeuvre. Je n'ai pas lu le chant d'achille, duquel je n'ai entendu que du bien et donc j'ai découvert la plume de Madeline Miler à travers Circé. Il me tarde donc de lire son roman le plus populaire. Je sens que ce livre a absorbé une partie de moi-même, que je me suis évadée dedans et que je serai attirée par une ou plusieurs relectures. Un pur moment de bonheur.

Circé est le récit d'une femme comme il y en a aujourd'hui. À travers la mythologie grecque, l'auteure a su mettre en lumière des problèmes sociétaux, mais aussi ce dont on parle peu : la solitude, les amoures qui nous consumment, la grossesse, l'accouchement, la perversité des Dieux, le viol... Tout est fait avec subtilité et sans exagération, bref tout est parfait quoi. Y'a pas d'autres mots.

Wow.
J'ai vu le film étant plus jeune et il m'avait déjà bouleversée. Je n'en gardais que de bons souvenirs et je me suis dit qu'il était temps de lire l'oeuvre originale. Et cette histoire m'a tellement touchée ! On peut la lire de multiples façons. Si vous voulez une romance, vous en avez une. Vous voulez un témoignage de la seconde guerre ? Vous en avez un. Vous voulez un roman philosophique, qui fait réfléchir et vous remettre en question ? Le liseur est un classique aux multiples aspects.

Il y est écrit que beaucoup de classiques se lisent facilement, comme s'ils avaient été écrits aujourd'hui et je trouve que ça lui correspond parfaitement.

Moi, j'y ai vu une romance douce, pleine de sensualité et aucune vulgarité. Il y a un côté toxique à leur relation qui ne fait qu'accroitre notre pitié et notre tendresse à l'égard de Hanna, cette jeune femme qui s'est privée d'une vie tranquille à cause de son analphabétisme et surtout, de la honte qu'elle en ressentait.

Les dernières pages du livre vous poignardent en plein cœur, vous font revoir tout votre jugement et ne vous laissent pas une seule seconde de répis. C'est une fin brutale, qui clot un roman et surtout, une histoire incroyable.

C'est un livre en soit mauvais, mais on passe quand même un bon moment. La lecture se fait bien, l'histoire avance, mais c'est nul.

L'histoire est incohérente du début à la fin. Naomi se retrouve dans une ville inconnue, n'étant que de passage mais au final, en 10 pages, elle se retrouve à vivre là, dans une maison qui ne lui appartient pas, trouve un job sans entretien, personne ne la connait et elle n'a pas postulé et a limite la garde légale de sa nièce en un claquement de doigts.

Les personnages sont clichés à mourir d'ennui : la fille trop parfaite qui va se mettre en danger "innocemment", le meilleur ami gay qui pourrait la pécho, l'ex violent qui veut la récupérer pile quand elle commence à fréquenter le bad boy torturé et pis le frère gentil du badboy... Au moins, ils sont tous riches.

J'ai été choquée d'apprendre que Naomi avait 36 ans ?? Ce n'est dit qu'au milieu de l'histoire et pendant tout ce temps, je pensais qu'elle avait une 20aine d'années. Sa nièce de 11 ans est plus mature qu'elle...

Je ne parle pas de la fin, que j'ai lu de travers. La fin que toute fan de romance redoute : le mariage et les enfants. En quelques mois, le bad boy torturé décide que se marier est la solution alors qu'il a lachement planté la fille quelques jours plus tôt... bref.

Ce que j'ai préféré dans le livre ? Lucian et Sloane. Eux avaient une réelle tension sexuelle et leur histoire m'intéresse trop. Malheureusement, je vais devoir attendre de lire le tome 2 sur Nash, le gentil frère, avant de pouvoir lire celui sur Lucian. En espérant que l'auteure se soit améliorée dans l'écriture parce qu'à part des dialogues, il n'y a pas grand chose à lire...

Nda : Le surnom 'Baby' qui n'a pas été traduit ? Ça rend le surnom ridicule. 'Bébé' sonne beaucoup mieux.

Mauvais plans = mauvais livre.

J'ai sauté tellement de pages, j'ai survolé les dialogues. Impossible de me plonger dedans. Les descriptions étaient quasiment inutiles, lisez seulement les dialogues et vous savez ce qui se passe. Avec la vie que ces enfants ont eu, on s'attend à un développement, à quelque chose. Mais à part quelques flash back inintéressants, rien qui n'apporte à l'histoire.

Les personnages sont atroces. D'un côté on a un garçon qui n'est caractérisé que par le fait qu'il soit "puceau", sans personnalité, sans répondant. Qui se fait écraser par sa soeur qui, de l'autre côté, est trop rentre dedans. Elle se fiche de tout, à 16ans elle croit connaître le monde, vit sans penser aux risques de ses actes. Et d'ailleurs quels sont les risques ? Rien.

L'histoire n'a ni queue ni tête et les répercutions sont illogiques voire inexistantes. Le concept aurait pu être original mais je n'ai vraiment pas aimé. Que ce soit les persos, le scénario ou le dénouement.

Le cadre se trouvant à Las Vegas, on s'attend à être plongé dans cette ville vivante et lumineuse. Mais on a l'impression d'être dans une ville un peu paumée où il n'y a personne... (pour un Las Vegas tel qu'on le connait, c'est vachement pas sécurisé...)

Que dire ? J'ai enchaîné le tome 2 et 3. Celui-ci était encore plus palipitant et encore plus addictif que le président. Cependant, je reste sur mon petit favoris : le tome 1. C'était cool de revoir notre Esther, qui n'a pas changé. L'arrivé de Wolfgang a vraiment ajouté quelque chose (genre un crush pour moi ? Hihi). Tout est complexe mais assez boen ficelé, je me suis moins perdue que dans le tome 2, puisque nous revoyons des têtes connues. Même Magdalena, elle est super !

Le point négatif restera la présence un peu abusive de références. (j'ai vite été agacée au début du livre, il y en avait à toutes les pages. Mais ça a fini par s'arrêter heureusement.) Et autant l'avant-dernier chapitre pouvait apporter quelque chose, autant j'ai lu le dernier chapitre en travers. Il n'apportait rien et dans ma tête, l'histoire était déjà close. C'était comme me forcer à lécher mon assiette après avoir fini mon plat.

Donc en résumé, une très bonne trilogie pleine d'humour, de rebondissements, de personnages charismatiques et charmants. Et enfin, une héroïne attachante et très réaliste. On aime Esther, et je suis un peu triste de ne plus la revoir. Mais hâte de relire cette trilogie et la redécouvrir plus tard !

Comme le premier tome, j'ai adoré ma lecture ! Je ne voulais pas lâcher le livre, c'était très addictif. Au point que je vais enchaîner avec le tome 3. J'avais attendu cette suite avec impatience et je suis contente !

Il y a toujours de l'humour, des personnages fantastiques et attachants. Et bien sûr, on adore Esther ! Drôle, avec de la répartie mais pas toujours sure d'elle, avec ses insécurités et son personnage est cohérent. Elle sait avoir du répondant mais aussi se faire petite dans certaines situations. C'est un personnage très crédible qui apporte beaucoup de réalisme à l'histoire et qui nous permet de nous identifier à elle.

Les points négatifs de ce tome seraient les références trop nombreuses. Au début, je trouvais ça sympa, mais à force de tout comparer, et à balancer des ref comme ça j'en ai eu peur marre...
Et par moments, je ne comprenais pas ce que je lisais. Le livre est pourtant assez simple et accessible, mais parfois j'ai eu l'impression qu'on m'encombrait d'informations et de noms. Je me perdais un peu... C'est pour ça qu'il ne mérite pas mon 10/10, mais j'ai adoré !

Très addictif.

C'était une très bonne lecture. Mais pas non plus extraordinaire. L'histoire est bien, le design du livre est géniale mais je trouve que le fait qu'August plonge dans la folie et surtout sa pyromanie n'a pas été assez poussée.

En revanche, j'ai beaucoup aimé la révélation sur Jack à la fin, qui met comme un point final à l'histoire. C'est brusque et nous aussi, on a envie que toute cette aventure continue, même si c'est malsain. On a bien été plongé dans la tête d'August et on ressent bien cet attachement pour "l'autre monde" et pour Jack.
J'ai également adoré la façon dont leur relation se développait. Même si je n'ai pas compris certaines choses, certains choix et que la chronologie était un peu fouilli fouilla, j'ai aimé ma lecture.

Spoiler(cliquez pour révéler)

Je m'attendais honnêtement à ce que Jack pète un câble ou je ne sais quoi, et que August lui foute le feu. Ou même qu'August se jette dans un feu pour Jack. Bref, c'était pas le "truc de fou" que j'attendais.

Ce roman part d'une bonne idée. Il aborde le sujet de la manipulation dans un couple, du viol et je pense qu'on peut dire que Jason est un pervers narcissique. Il se présente comme un gentil garçon auprès de qui veut bien l'entendre. Il se crée cette facette pour cacher la réalité de son comportement envers ses petites amies.
D'après les remerciements de l'auteur, j'ai l'impression qu'il a ait un gros travail d'investigation et on ressent tout de même cette prise d'information. Ayant connu un pervers narcissique dans ma vie, je le reconnais bien là. Il a bien décrit son comportement.
On ressent également la détresse de Leslie, qui ne s'attache pas beaucoup aux gens et quand elle le fait, c'est avec passion. Elle est tombée dans le piège de Jason et même si elle doit savoir au fond d'elle que quelque chose ne va pas, elle ne peut s'empêcher d'y retourner. Encore une fois, on ressent l'emprise qu'il a sur elle. Il a créé une dépendance en elle.

Les points négatifs sont surtout dans l'écriture et le rythme. Je trouve qu'on ne prend pas assez le temps de s'attacher aux personnages, à se mettre dans la tête de Leslie. Avec du recul, je la comprends, mais quand on lit l'histoire, Leslie nous tape sur le système et elle a l'air complètement stupide. Comme tous les 'red flag' étaient évidents. Mais encore une fois, ça fait peut-être parti de la technique d'approche pour nous, lecteurs, personnes extérieurs, de faire la différence entre ce que nous voyons et ce que Leslie vit. Comme ses amis ou la prof remplaçante, c'est évident qu'elle est dans un truc malsain. Mais pour elle, non. Cependant, moi j'ai eu du mal avec ce point de vue. Si l'auteur voulait nous parler de ce problème à voir la réalité ou à sortir de quelque chose de ce genre, il aurait dû + nous plonger dans le regard et les sentiments de Leslie. Il aurait du prendre son temps et nous inclure dans la relation. Parce que là, dés le début, je me doutais de ce qui allait arriver et ça m'a donné le regard extérieur que je ne recherchais pas.

Donc en globalité, c'est un bon livre. Peut-être plus visé pour les adolescent vis à vis de l'écriture. On sent le travail de recherche derrière mais l'histoire est un peu courte et rapide à mon goût. D'ailleurs, la fin parait un peu surréaliste et bâclée. Comme le reste du livre, c'est très rapide et on n'a pas le temps de s'attacher et de ressentir ce qui se passe réellement... On a encore trop ce regard extérieur. J'aurais aimé vivre le livre plutôt que le lire réellement.

Lecture rapide, qui aborde des sujets importants. J'ai aimé qu'on suive différents personnages, qu'on puisse s'attacher à eux et surtout que l'histoire avançait. On ne reprenait pas les scènes pour en faire plusieurs pov. On avance dans le temps et quand les actions se coupent, ça laisse du suspense. Ça ouvre des questions et les réponses se trouvent un peu plus tard dans les chapitres.

Cependant, je n'ai pas aimé le style d'écriture. C'est beaucoup de phrases courtes, d'actions les unes après les autres. Ça donne un rythme saccadé que je n'apprécie pas vraiment.

Pour le scénario je n'ai pas aimé la révélation de fin qui n'est pas aboutie. L'histoire s'arrête sur un plot twist et je n'aime pas ça. Je ne sais pas s'il y a un tome 2, si non, ça rend la fin stupide. Si oui, je ne le lirai pas. Je ne me suis pas assez plongée dans la fin. Je préfère oublier le dernier chapitre et me dire que l'histoire était bien.

J'ai tellement adoré ce livre ! Il est absurde mais au final, tout a un sens, tout a une logique. Les nouvelles sont toutes liées entre elles et à la fin, tout est expliqué dans une dernière nouvelle. On assiste à la vision de l'auteur sur cette question existencielle du bien et du mal, de Dieu et du Diable. Et ça m'a plu ! Alors que les histoires racontées sont assez comiques et absurdes, la vérité derrière tout ça est super bien ficelée. Quand on arrive à la fin, on a envie de recommencer notre lecture pour avoir un oeil neuf.

Ce livre est parfait pour se détendre, pas trop réfléchir... Et pourtant ! Vous pouvez y regoûter pour en percer les mystères.

Je le redis, mais ce fut une excellente lecture ! J'ai passé un réel bon moment.

C'est vraiment un des pires livres que j'ai lu. Et pourtant, il en faut beaucoup pour que je n'aime pas ma lecture. Le seul point positif, c'est qu'il se lit super vite et facilement, donc j'ai pu m'en débarasser aussi vite.

Tout est mauvais : les personnages, le scénario, l'intrigue et son dénouement, la fin (sachant qu'il doit donner envie de lire le tome 2. J'ai d'ailleurs lu les 5 dernières pages en travers). Je me suis ennuyée, rien n'est cohérent, on ne s'attache pas aux persos et encore moins aux relations. Au bout de 20 pages, alors qu'elle rencontre tout juste le garçon, Violet dort déjà avec lui, marche main dans la main avec... Mais ?? Personne ne fait ça dans la vraie vie. Tout va trop vite, c'est surréaliste et ennuyant.

Elle assiste à pleins de morts, elle se rend compte que son copain est un "mass murderer" mais ça ne dérange pas Violet apparemment. Les évènements du récit et les réactions des personnages n'ont rien de cohérent. Les liens familiaux n'ont ni queue ni tête, impossible à suivre.

Ce sera un très mauvais souvenir pour moi. Mais au moins, je l'ai fini vite.

D'ailleurs, il est trop question de viol dans ce roman, sans que ça soit déclaré comme tel, et c'est très dérangeant. Luke qui aime souler les filles psq elles sont plus faciles et qui fait d'autres allusions. Je ne parlerai pas de la scène de fin qui m'a dégoutée, ça faisait "trop" pour ce que ça en résultait.

J'ai dévoré ma lecture. Je n'ai pas attendu entre les deux tomes, je les ai lus à la suite et je suis triste de ne pas avoir le 3eme tome là tout de suite. Malheureusement il n'est pas sorti en français (pas un problème pour moi je suis bilingue, mais un problème pour ceux qui ne lisent pas l'anglais...)

Déjà le premier tome était original dans le point de vue (celui de Calder) mais là, c'est encore mieux ! On suit Lily, qui est aussi ignorante que nous sur ce qui se passe. On ne sait pas ce qu'il y a entre Calder et son père, ce qui se passe loin d'elle. Pour une fois, nous ne lisons pas un roman centré sur un personnage principal. Tout ce qui arrive, arrive à son père principalement et c'est cool. C'est comme donner de l'importance à des personnages secondaires. C'est ce qui me donne encore plus envie de lire le tome 3, il y a encore trop de mystère et pour une fois, Lily aura droit à son moment. Elle sera l'héroine principale du livre, celle à qui il arrive des choses extraordinaires.