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Liste des extraits

- Pourquoi vous les avez laissés entrer?

- Peut être parce qu'elles sont soudain apparues sur le balcon et se sont glissées à travers les charmes de protection?

a suggéré Fred, jetant un coup d'œil par dessus le rebord de la table, ce qui lui a valu un regard assassin de Marco

- Ou simplement parce qu'on ne dit pas à une bande de dirigeantes de coven d'aller se faire foutre! a répliqué Marco

- Si elle n'ont pas rendez-vous, si, ai-je déclarer avec gravité.

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Chapitre premier

— T'as grandi.

La petite voix provenait de la gamine encore plus petite qui se tenait dans le couloir. On la distinguait mal, elle scintillait dans la nuit comme les rayons de lune qui la traversaient, et des traînées de fantômes floues et entrelacées la masquaient tels des graffitis. J'ai un peu relâché la nuque.

Avant de la contracter de nouveau quand une voix puissante m'a appelée depuis une pièce voisine :

— Cassie ?

Je me suis retenue de bondir... mais de peu. Les mouvements brusques risquaient d'effrayer la petite fantôme, je n'avais pas besoin de ça.

— Reste là, lui ai-je chuchoté avec un sourire rassurant.

— Quoi ? s'est enquis la voix, encore plus fortement.

J'ai regardé derrière moi et j'ai vu apparaître dans l'entrebâillement d'une porte de bureau le crâne blanc échevelé de mon complice, Jonas Marsden. Avec ses cheveux fous, ses joues roses et ses lunettes en cul de bouteille, il ressemblait à un Einstein sous acide. En dépit des apparences, il méritait sa position de chef du monde magique. Jonas dirigeait le puissant Cercle d'argent, la plus grande organisation d'utilisateurs de magie au monde.

Mais les grands mages n'en restaient pas moins humains, et l'ego de Jonas supportait mal de vieillir. Il avait ainsi refusé de porter un appareil auditif, prétendant que nous parlions trop bas. Malheureusement, on ne pouvait pas dire la même chose de lui.

— Inutile de chuchoter, a-t-il beuglé. Je vous assure que le bouclier va tenir le coup.

— Ça n'engage que vous.

Il faisait référence au sort d'insonorisation qu'il avait projeté pour éviter que l'on nous entende dans le reste de la maison. C'était plutôt nécessaire, car nous progressions en terrain miné. Cela dit, je pouvais dire la même chose de toute ma vie ces derniers temps.

Je m'appelle Cassie Palmer et je suis la Pythie nouvellement intronisée, autrement dit la voyante en chef sur Terre. Ça en jette, mais ce n'est pas si impressionnant que ça en réalité; jusqu'à présent j'ai surtout convoyé des personnes loufoques à travers le temps, en risquant de me faire tuer au passage. En ce moment même, je me trouvais quelques décennies dans le passé, en train de dévaliser mon ancien maître vampire avec un gars qui donnait un coup de vieux aux looks excentriques... donc c'était une journée plutôt ordinaire.

Toutefois mes nerfs étaient d'un autre avis.

C'était peut-être pourquoi le miroir moucheté suspendu au-dessus de l'âtre me renvoyait l'image de courtes boucles blondes qui semblaient avoir été triturées par des doigts nerveux, d'un visage pâle qui faisait violemment ressortir mes taches de rousseur et d'yeux bleus écarquillés et ébahis. De même que l'image d'un tee-shirt proclamant « Les gentilles filles ne se font jamais prendre ».

Espérons-le, ai-je songé fiévreusement.

Heureusement, en matière de cours vampiriques, celle-ci était assez laxiste puisqu'elle était dirigée par un type qui avait été l'équivalent Renaissance d'un péquenaud. Mais Tony respectait une règle immuable: personne ne devait louper le dîner. Je me demandais bien pourquoi, car les vampires n'ont pas besoin de manger... du moins, des aliments. La plupart d'entre eux ne le font d'ailleurs pas puisque tous les vampires sous le niveau de maître – l'étalon-or chez eux - ont des papilles gustatives défaillantes.

C'était peut-être une tradition, une chose qu'il faisait de son vivant et à laquelle il s'accrochait dans la mort. Ou peut-être que, comme à son habitude, il se comportait en imbécile égoïste et souhaitait simplement savourer son repas en compagnie de personnes qui, pour la plupart, en étaient incapables. Qu'importe, cela signifiait que Jonas et moi disposions sans doute d'une heure devant nous.

A condition que le sortilège ne nous fasse pas faux bond.

Jonas n'avait pas trop l'air de se tracasser.

— On pourrait danser une gigue en sabots qu'on ne nous entendrait pas, a-t-il fanfaronné.

— Par contre, ils pourraient percevoir les réverbérations...

— Au milieu de tout ça ?

De la main, il a indiqué les lames du parquet datant de l'Indépendance qui craquaient, la pluie qui martelait les fenêtres vieilles de plusieurs siècles, et la foudre qui déchirait le ciel par intermittence et projetait des ombres sur les murs d'origine en plâtre. Tony habitait un manoir ancien dans la campagne pennsylvanienne, habituellement aussi pittoresque qu'une carte postale.

Sauf pour l'instant.

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Nouvel extrait

-Vous venez de nous teleporter , m'a-t-il accusée.

_Évidemment!iAi- je repondu fébrilement. Qu est-ce que j etais censée faire?Rester sur place et me laisser embrocher?

-Vous etes une pythie.

Je l ai devisagé.

-Non, sans blague!

-Ou une novice qui se fait passer pour une pythie!

-Oh!pi...Myra est morte, lui ai je rappellé.

(...)

-Il y a d autres novices , m a rappellé pritkin en se rapprochant encore, les yeux plissé sur moi.

J ai frissonné. Mais pas accause de ses paroles. Parce que le contact de mes fesses nue clntre la fenetre climatisée venait de me propager la chaire de poule a tout le corp.

Du moin c est se dont je me suis convaincue.

J ai essayée de reculer , mais j etais coincée.j etait deja plaqué contre cette fichue fenêtre . La sensationdu froid lisse d un coté et de la chaleur torride de l autre etait perturbante...

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