Commentaires de livres faits par CassieBooks
Extraits de livres par CassieBooks
Commentaires de livres appréciés par CassieBooks
Extraits de livres appréciés par CassieBooks
-Un peu mon neveu ! renchérit mamie. Elle part après-demain en Angleterre s'envoyer en l'air avec un julot qu'elle connaît à peine .
- Je te rappelle que j'ai une maîtrise de psycho.
Ces mots étaient à peine sortis de la bouche de Rose qu'elle s'imagina tournoyant comme une ballerine dans la cuisine, vêtue du tablier à carreaux bleus et blancs de sa mère, feuilletant le Livre de recettes des Bliss, tamisant la farine, faisant fondre du chocolat et y ajoutant les larmes d'une jeune fille au coeur brisé, une fiole contenant le dernier souffle d'un homme bon, ou une pincée de poudre amère concoctée avec la cendre des feux de camp de l'été.
Une poignée = une demi-tasse
Une flamme = 13 degrés Celsius
Une chanson = 4 minutes
Une cupule = une cuillère à café
Une noix = une cuillère à soupe
- Qui achèterait un produit sans savoir ce que c'est ?
tu les tiens à la main. Oh, sois bonne pour moi,
pendant que je me sais encore à l'été de ma vie, car
c'est à peine si mes lèvres tremblantes laissent
passer un souffle capable de faire retentir de ton
éloge la trompette d'argent, tant je suis courbé devant
ton mystère, tant je suis ployé, brisé sur la
terrible roue de l'amour, et je n'ai plus d'espoir,
plus le coeur de chanter. Pourtant je ne me soucie
point quel désastre le temps peut amener, si tu me
permets de m'agenouiller dans ton temple.
- C'est juste un ramassis de jeunes cons. Tôt ou tard, leur curiosité malsaine se reportera sur un autre objet...
- Tu ne comprends pas : je suis un monstre! Jamais je n'aurais dû survivre. Ou alors, je devrais être comme ces héroïnes tragiques que peint ma conne de mère...
- Je n'ai qu'un seul genre de femme, répliqua-t-il. Eva Lauren Tramell."
- Je ne suis pas du müesli.
Vous êtes-vous jamais demandé où trouver un collège qui dresserait votre fils ? Pas un de ces endroits ramollis d'aujourd'hui, mais un établissement qui croit encore à la discipline ? et vous est-il jamais venu à l'idée que, de nos jours, la plupart des enfants ne savent même pas épeler le mot discipline... ?
Permettez-nous de vous présenter Groosham Grange. Comme l'indique la brochure ci-jointe, nous sommes un pensionnat et nous offrons un environnement unique à des enfants âgés de douze à seize ans, qui se sont montrés réfractaires aux méthodes modernes d'enseignement.
Groosham Grange est situé sur une île privée, au large de la côte du Norfolk. Aucun service régulier de ferry ne dessert l'île, il n'y a donc pas de congés fixes. En réalité, les élèves n'ont droit qu'à un seul jour de vacances par an. Les parents ne sont jamais invités à l'école, sauf en cas de circonstances exceptionnelles, et seulement s'ils savent nager.
Je suis certain que votre fils profitera pleinement des excellentes méthodes de Groosham Grange et du niveau élevé d'études. J'attends avec impatience de vos nouvelles dans la prochaine demi-heure.
Sincèrement vôtre.
John Kilgraw,
directeur adjoint."
- Elle a ses bricoles, dit Enid. Chaque mois pareil.
- Même pas vrai ! Je ne les ai pas. Menteuse. Et voleuse de portable !
- Menteuse toi-même ! Je ne sais pas comment ton portable a atterri sous le panier d'Ingrid et Roberto !
- Parce que tu l'y as mis !
- A propos, fit Geneviève au fond du fauteuil (déplacé expressément dans la cuisine afin de mirer Basile confectionnant son couscous), qui a fini le dernier paquet de Lulu Ultra Mince et oublié d'en racheter ?
Personne ne répondit, bien sûr.
- Je demande ça pour qu'on ne rachète pas le modèle avec les ailettes. J'aime pas avec les ailettes.
- Moi non plus, dit Bettina. Ça colle aux poils et ça fait mal.
- Inspire-toi du cerveau de Bettina.
- Abrutie, grogna Bettina.
- Goûte ça, ordonna Charlie.
Sans cesser de lire, Hortense inclina la tête en ouvrant son bec. Charlie y versa un peu de la mixture.
- Soit c'est dur comme du caramel, soupira-t-elle. Soit c'est mou comme, euh...
- ... du caramel mou ?
[...]
- Trop de sucre. Trop ferme. Pas assez cuit. Peut mieux faire.
« La forêt est un juge sévère. Elle donne à chacun ce qu’il mérite. Nous devons savoir l’écouter, et nous battre bec et ongles pour notre proie. A présent, tout était clair. J’étais censé le secourir. C’était ça mon épreuve. Je n’étais pas venu dans la forêt pour tuer, j’étais venu pour sauver. »