Descrip­tions

(Traduction personnelle de la description et donc approximative)

Evangeline a passé son adolescence dans l'obscurité. Ses parents adoptifs ont l'aptitude émotionnelle des robots et ses camarades reconnaissent à peine son existence. À l'aube de dix-huit ans et se sentant comme un paria social, elle est désespérée de se connecter avec quelqu'un. N'importe qui. Quand Evangeline répond à Sofie après avoir trébuché littéralement renversant par la même occasion ​​son café, elle croit qu'elle a trouvé cet connexion. Prête à faire n'importe quoi pour la garder, elle accepte un emploi comme assistante de Sofie et laisse tout tomber pour aller à Manhattan, où elle est poussée dans un monde de luxe de Prada, des diamants et des trésoreries illimitées. Avec une telle générosité et de bonté, il est facile pour Evangeline de laisser passer certaines bizarreries. . . comme le comportement erratique et parfois violent de Sofie, et ses chiens de garde monstrueux. Elle est même prête à rejeter ses rêves vifs de meurtres contre la mafia du style, de belles personnes sans-abri vivant dans des grottes, et de démons aux yeux blancs qui la hantent chaque nuit comme des créations de son imagination, surtout quand l'une de ces fictions est le magnifique Caden. Alors quand elle se réveille avec des traces de morsures sur le cou, le conte de fées se transforme rapidement en cauchemar. Elle dénoue lentement le mystère entourant Sofie et ses amis, ainsi que la réalité des morsures et de ses «rêves». Ce qu'elle découvre est beaucoup plus mystérieux et terrible que tout ce qu'elle aurait pu imaginer. Dans un monde où tout le monde a une raison de mentir pour des fins personnelles, Evangeline doit décider quelle tromperie est moins susceptible de la faire tuer.

Evangeline has spent her teenage years in obscurity. Her foster parents have the emotional aptitude of robots and her classmates barely acknowledge her existence. About to turn eighteen and feeling like a social pariah, she is desperate to connect with someone. Anyone.

When Evangeline meets Sofie after literally stumbling upon her café, she believes she’s found that connection. Willing to do anything to keep it, she accepts a job as Sofie’s assistant and drops everything to fly to Manhattan, where she is thrust into a luxurious world of Prada, diamonds, and limitless cash.

With such generosity and kindness, it’s easy for Evangeline to dismiss certain oddities . . . like Sofie’s erratic and sometimes violent behavior, and the monstrous guard dogs. She’s even willing to dismiss her vivid dreams of mob-style murders, beautiful homeless people living in caves, and white-eyed demons that haunt her each night as figments of her imagination—especially when one of those figments is the gorgeous Caden. When she wakes up with bite marks on her neck, the fairy tale quickly turns into a nightmare. She slowly unravels the mystery surrounding Sofie and friends, and the reality of the bites and the “dreams.” What she discovers is far more mysterious and terrible than anything she could have imagined.

In a world where everyone has motive to lie for personal gain, Evangeline must decide which deception is least likely to get her killed