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Liste des extraits

Voici un extrait que l'auteur a publié en VO sur Facebook :

Second watch proved uneventful but for the distant hoot of an owl at hunt, and Garth's snoring. Karigan gazed up toward the sky and found Tegan's weather sense profoundly accurate. No clouds obscured the panorama of the heavens, and the stars punctured the velvety dark with sharp clarity. The light of the half moon did little to dimish the appearance of the River of the Gods, the hazy ribbon of celestial light the starmasters believed to be formed by gaseous vapor and concentrations of stars beyond count. How they knew this, she did not understand, except that they had access to the best scopes with which to gaze at the heavens and a head for surmising such things.

The moon priests, of course, had another explanation for the formation, that in fact it was an actual river of light in the domain of the gods to which only the truest of true believers could ascend, a paradise beyond all conception. Her connection to the god of death did not convince her the starmasters were wrong, or that the priests were right. Perhaps, she thought, both were right. Or wrong. She was, in any case, content, in that moment, to simply appreciate the beauty of the night and its ambiant silence before the intrusion of dawn when all that was fraught in the world would awaken abuzz and animate.

She was rewarded with the sight of a falling star whisking across the sky. She smiled, and took it as a sign that it was time to awaken Garth for third watch.

Voici la traduction approximative avec DeepL en VF :

Le deuxième quart s'est déroulé sans incident, mais sans le hululement lointain d'un hibou à la chasse, et sans le ronflement de Garth. Karigan regarda vers le ciel et trouva le sens du temps de Tegan profondément précis. Aucun nuage n'obscurcit le panorama des cieux, et les étoiles perçaient le velouté sombre d'une nette clarté. La lumière de la demi-lune n'a pas fait grand-chose pour diminuer l'apparence du fleuve des dieux, le ruban brumeux de lumière céleste que les maîtres des étoiles croyaient formé par la vapeur gazeuse et les concentrations d'étoiles indomptables. Comment ils le savaient, elle ne comprenait pas, si ce n'est qu'ils avaient accès aux meilleurs instruments pour contempler les cieux et à une tête pour deviner de telles choses.

Les prêtres de la lune, bien sûr, avaient une autre explication pour la formation, qu'en fait c'était un véritable fleuve de lumière dans le domaine des dieux vers lequel seul le plus vrai des vrais croyants pouvait monter, un paradis au-delà de toute conception. Son lien avec le dieu de la mort ne l'a pas convaincue que les maîtres des étoiles avaient tort, ni que les prêtres avaient raison. Peut-être, pensait-elle, les deux avaient raison. Ou tort. Elle se contentait, en tout cas, à ce moment-là, d'apprécier simplement la beauté de la nuit et son silence ambiant avant l'intrusion de l'aube quand tout ce qui était chargé dans le monde s'éveillait et s'animait.

Elle a été récompensée par la vue d'une étoile filante fouettant dans le ciel. Elle sourit et prit cela comme un signe qu'il était temps de réveiller Garth pour sa troisième garde.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator

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Dame Orvale leur avait réservé un somptueux dîner digne d’un roi, tout à fait adapté aux circonstances donc. De nombreux plats s’étaient succédé, soupe, truite fraîche, dinde sauvage, bœuf, légumes du potager, assortis d’une infinité d’accompagnements. La comtesse ne souffrait pas des pénuries qui touchaient certaines régions du royaume.

Zacharie restait de marbre.

— Fastion ?

L’Arme, qui regardait par la porte ce qui se passait dans le couloir, se retourna pour lui répondre :

— Les hommes de la comtesse ont, semble-t-il, attrapé un intrus. Un pillard, peut-être, venu grâce à la magie.

Le colonel posa brutalement son verre et bondit sur ses pieds.

— Larenne, l’avertit Zacharie, ne te précipite pas.

Se dominant pour ne pas courir, elle quitta malgré tout la salle d’un pas décidé pour gagner le petit salon qui se trouvait de l’autre côté du couloir, le roi sur ses talons. Fastion et une seconde Arme, Ellène, les suivirent. Si c’était un pillard, elle lui passerait son sabre au travers du corps. Après l’avoir interrogé, naturellement.

En entrant dans la pièce, elle découvrit deux robustes argousins campés de part et d’autre d’une misérable créature affublée d’une cape sale et grossière, le visage caché par des mèches ternes qui s’échappaient d’une queue-de-cheval. Une chemise déchirée et tachée – Larenne crut discerner du sang – pendait sur un corps famélique aux mains étiques. Elle chancelait, peut-être ivre ou souffrante. Sa pitoyable apparence contrastait avec la robe et la parure élégantes de la femme qui se tenait devant elle tel un juge.

— Si c’est une pillarde, déclara dame Orvale, alors justice sera faite.

Zacharie s’élança soudain vers eux.

— Détachez-la immédiatement !

Larenne le regarda, interloquée.

— Votre Altesse ? dit la comtesse, tout aussi surprise.

— Détachez-la ! rugit-il.

À la stupeur générale, il se mit à genoux devant la prisonnière et la prit par les épaules. Il leva les yeux vers les argousins.

— Coupez ses liens, sombres idiots, et allez quérir un guérisseur !

Les deux hommes manquèrent de trébucher dans leur hâte à lui obéir.

Libérés, les bras de la prisonnière tombèrent mollement le long de son corps et elle s’effondra contre le roi, qui s’empressa de la soutenir.

— Qui est cette personne, Votre Majesté ? s’enquit dame Orvale.

— Cavalière G’ladheon, murmura la prisonnière dans l’épaule de Zacharie. Dois voir le roi…

— Karigan !? s’exclama Larenne.

Zacharie leva son regard vers elle et, d’un seul coup, elle y vit une expression frappante d’inquiétude désespérée. Comment avait-elle pu ne pas reconnaître Karigan, sa propre Cavalière ?

— Elle tenait ceci quand nous l’avons appréhendée, expliqua l’un des argousins en montrant un globe métallique.

S’agirait-il de l’artefact de voyage des pillards de Darrot ? Karigan serait-elle parvenue à le leur subtiliser ? Larenne avait toujours rêvé de mettre la main dessus. Elle le réclama d’un geste et l’argousin le lui remit avec précaution, craignant peut-être que l’objet libère un quelconque maléfice de son propre chef.

Zacharie souleva le corps atone de Karigan et suivit dame Orvale jusqu’à une chambre inoccupée.

— Qui est-ce ? souffla la comtesse à Larenne quand elles entrèrent à sa suite.

— L’un de mes Cavaliers.

— Se montre-t-il toujours aussi fervent pour un simple messager ?

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Faute de connaître son nom, elle l’avait baptisé Potiron.

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Voici un autre extrait publier par l'auteur sur son Facebook pour Noël ;) :

Here is your annual stocking stuffer snippet, from GR7, Winterlight. If you don't like snippets, ignore and scroll on. Happy everything, folks!

***

Laren stood and paced. She had the urge to throttle someone. If only she knew who to hold responsible.

"Before you go about strangling someone," Elgin said, guessing at her thoughts, "maybe you should look at that parcel I brought you."

So occupied by Melry's letter had she been that she had forgotten about it. She took it off her desk and saw her name and address written in Stevic's broad strokes. Hastily she tugged loose the strings that bound it. Whatever it was, it was wrapped in an outer layer of oilskin to keep it dry. She then tore apart a few layers of protective paper, and then a length of muslin, to find silk, deep indigo silk. She caught her breath as she lifted it from its wrappings. It was a scarf of high quality silk shot through with filament-fine silver threads like tiny stars.

Elgin cleared his throat. She'd forgotten he was there. "Something you wanna tell me, Red?"

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