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Diamant

Ce livre est tout simplement indescriptible. Dans les musées, les cours d'histoires et dans la vie, on oublie souvant à quel point la vie dans les futures pays de l'Est lors de la seconde guerre mondiale était tout aussi difficile que la vie pour les juifs dans les pays d'Europe de l'Ouest face au Allemands! Déporté comme Lina et sa famille, maltraité, souvent bléssé aussi bien physiquement que moralement... Les goulags sont tout aussi atroce que les camps de concentrations, et le fait que dans cette histoire, l'une des partie se passe en hiver, avec le froid, la faim, la mort, la peur ... donne une dimension horrifique à l'histoire

Pourtant, le personnage principale, lina, grâce à son courage, à sa force, grâce à la manière dont l'auteure nous décrit ses joies, ses peines, ses doutes, son histoire d'amour et ses espoirs, n'est que plus attachante, et arrive à donner une certaines douceur à l'histoire qui fait que ce livre n'est pas "trop" brutal.

Ce livre est un hymne à la vie et rend hommage à toutes les personnes décédées lors de leurs déportations, ou qui en s'en étant sortie, sont resté marquée à vie!

J'ai juste trouvé dommage que le livre ne soit pas plus long, Qu'on ne découvre pas le jour où Lina et son frère peuvent rentrer chez eux, où Lina retrouve Andrius, où il arrive pour la première fois depuis des années en Lituanie... Bref Qu'on ne découvre pas dans ce livre, tous les instant heureux qui lui aurait donné un charme plus doyux encore et un espoir plus poignant!

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Commentaire ajouté par Happy 2011-10-30T11:07:36+01:00
Argent

Lina Vilkas a quinze ans, lorsqu’en 1941, pour des raisons qu’elle ignore totalement, elle est déportée ainsi que sa famille. Commence alors pour Lina et un nombre ahurissant d’autres, un véritable enfer. Après un voyage dans les wagons à bestiaux, beaucoup ont perdus leur dignité, mais le pire reste à venir.

Brimades et injustices sont monnaies courantes. Les conditions de vies, elles, sont désastreuses. Mais Lina, son frère et leur mère font preuve d’une combattivité à toutes épreuves. Ainsi qu’Andrius, un garçon du même âge que Lina, qui ne fléchit pas. Au camp, ils ne sont pas les seuls.

Commence alors le récit d’une liberté volée…

Poignant. C’est le mot juste. Le fait que ce récit soit en partie une fiction ne change rien à sa crédibilité. Et au contraire, ajoute une dimension plus douce à cette histoire. Car, tout y est tellement violent.

C’est donc avec un certain soulagement que l’on lit les retours en arrière dans la vie de Lina. On se rend compte que, malgré le fait que ces passages soient plus « relaxants » comparés au reste, il y a toujours une tension palpable. En plus, ces flash-back permettent de comprendre certains aspects de l’histoire… et vice versa.

Je parlais de tension à un moment. Le climat ambiant est totalement glaçant compte tenu du sujet. Être déporté en Sibérie, vous imaginez ? Il y a de quoi frissonner.

Comme il faut un peu de douceur dans ce monde brute, tout n’est pas tout noir ou tout blanc (quoiqu’en Sibérie… promis, plus de jeu de mots). Les « méchants » ne le sont pas tellement et les « gentils » non plus.

Donc, il y a le côté histoire « d’amour » entre Andrius et Lina. On en vient à cette question que la jeune fille elle-même s’était posée : si elle n’avait pas été déportée, aurait-elle été vers quelqu’un comme Andrius ? Nous ne le saurons jamais et là n’est pas l’important d’ailleurs.

Après ces deux personnages, j’en oublie les autres. La mère et le frère de Lina, notamment. Une mère si courageuse et exemplaire. Néanmoins, je me suis découvert une grande sympathie pour Jonas, le frère de Lina, d’à peine dix ans, qui a dû grandir si vite…

Un aspect de ce livre est l’art. Oui, quel est le rapport, me direz-vous. Lina tente entre autres de rentrer en contact avec son père (déporté dans un autre camp) par le biais de ses dessins que l’on s’imagine sans difficulté. Ou encore, la passion de Lina pour les tableaux de Munch.

Bref, un livre pour ne pas oublier, ça remet les pendules à l’heure. A lire pour ceux de 14/15 ans (et les autres aussi), cela apporte une autre dimension aux cours d’histoire sur la Seconde Guerre Mondiale. On oublie souvent les Goulags, qui n’étaient pas mieux que les affreux camps allemands. Et ça, il ne faut surtout pas.

La playlist, pour ceux qui aiment lire en musique : 42 et Violet Hill de Coldplay, ainsi que Ny Batteri de Sigur Rós (groupe islandais).

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Commentaire ajouté par Najea 2015-11-18T15:35:34+01:00
Diamant

Déjà, la couverture.

Rien que la couverture.

Simple et belle.

Ta main qui se rapproche du livre inexorablement.

Tu le saisis.

Tu lis le résumé.

Ils mettent bien que c'est "à partir de quatorze ans".

Tu en as à peine onze.

Tant pis.

T'en as bien lu, des livres sur la deuxième guerre mondiale.

Tu l'ajoute à la pile de livres que tu veux emprunter.

Quelques jours plus tard, tu t'ennuies.

Ta pile de livres empruntés s'est déjà bien amenuisée.

Tu saisis "Ce qu'il n'ont pas pu nous prendre".

Et tu le dévores.

Hypnotisée.

Tu pleures de douleur.

Tu ne pleures pas souvent, pourtant.

Mais là tes larmes coulent.

L'écriture, et la violence des mots te transporte.

Tu en ressort changée.

A jamais.

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Diamant

Ce qu'ils n'ont pas pu nous prendre, ou comment passer la nuit a lire. Ce livre est juste exceptionnel. L'auteur a un grand talent, c'est certain. C'est un livre qui parle de ce que coûte sa propre survie, du courage, de la solidarité dans la pire atrocité humaine, d'amour là ou on ne prévoit aucune place pour cela.

Ce livre n'a pas vocation a faire rire, tout comme il n'a, au final, pas vocation à faire haïr les soviétiques. Il nous apprend le pardon pour des choses qui ne devraient pas être pardonnées. Il nous apprend a ne pas oublier les horreurs que les hommes ont pu perpetrées afin de ne pas refaire les mêmes erreurs. Il nous confronte a la mort, à l'horreur, a la volonté de survivre des déportés, a la perte d'humanité voulue par les tyrans. Il parle de combativité, de la lutte pour la survie.

Grace a ce livre, nous voyons éclairé un point de l'histoire qui reste encore dans l'ombre aujourd'hui: l'Estonie, la Lituanie et la Lettonie ont également subi de grandes pertes. Leurs habitants ont été envoyé sans ménagement dans des camps de travail, dans des goulags, dans des conditions que personne n'enviera jamais. Ils ont été condamnés a des travaux forcés en Sibérie, uniquement parce qu'ils opposaient des actes de résistance face aux officiers de l'URSS, pour ce qu'ils pensaient juste, pour protégeaient leur humanité et celle des autres.

Je ne sais que ressentir face a tout cela. J'ai l'impression de ne plus pouvoir lire un livre de nouveau, parce qu'apres celui la, je suis certaine d’être toujours décue de mes prochaines lectures. La résistance était exemplaire, et jamais nous ne devons oublié ceux qui ont perdu leur liberté au profit de la notre. Jamais nous ne devons oublier que cela pourrait recommencer, et que nous devrons être prêt a notre tour à sacrifier notre vie pour réparer les injustices commises.

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Commentaire ajouté par Annami 2012-03-11T16:14:32+01:00
Diamant

Wouaw!

Je ne trouve pas d'autre mot...

Ce livre m'a soufflé , c'est juste une petite perle.Un de ses livre qui vous touche et vous fait pleurer pour quelque chose de beau de tristement vrai.

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Argent

ce livre est poignant. Le récit est très dur comment décrire les horreurs vécut par cette famille russe déporté dans des goulags. le froid la faim. en peut voir dans ce livre jusqu’où l'être humain peut aller dans l'horreur. A lire à tout prix

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Commentaire ajouté par Prilla 2013-05-22T14:09:00+02:00
Diamant

http://prilla-in-booksland.skyrock.com/3163525088-Ce-qu-ils-n-ont-pas-pu-nous-prendre-de-Ruta-Sepetys.html

Je viens de finir ma lecture et je suis complètement déboussolée. J'ai fermé le livre et il m'a fallu au moins cinq minutes pour comprendre ce qu'il venait de se passer. J'ai même du mal à écrire ce que je ressens après une lecture aussi intense. Ce qu'ils n'ont pas pu nous prendre est un vrai coup de cœur. Il m'était impossible de lâcher ce livre.L'auteure a vraiment réussis à nous transmettre les émotions des personnages. Pour une fois, un livre qui parle de la seconde guerre mondiale n'est pas fixé sur la vie d'une personne juive sous le régime d'Hitler, mais sur les Lituaniens déportés à cause de Staline, une chose dont on ne parle pas beaucoup.

L'histoire commence la nuit où Lina, sa mère ,Elena, et son petit frère, Jonas, sont cherchés par le NKVD pour aller on ne sait trop où au début du livre. Tous se passe très vite, Lina et Jonas ne comprennent pas ce qu'il se passe. Ils savent juste qu'ils doivent faire leurs bagages en 20 minutes. Leurs bagages finit, ils sont transportés à l'arrière d'un camion où il rencontre d'autres personnes dans la même situation qu'eux : un avocat, un professeur, une libraire, une jeune femme qui vient d'accoucher.

Tous les personnages sont variés et ne se ressemblent pas. Lina fait preuve d'un grand courage et devient de plus en plus forte au fil des jours passé dans le camp de travail de l'Altaï ou encore à Trofimovsk. Pourtant, elle reste douce envers les personnes qu'elle aime le plus, comme son frère, sa mère, ou Andrius.

Jonas est un petit garçon que j'ai vraiment adoré. Il est tellement mignon et naïf que je l'aurais bien pris dans mes bras à chaque fois qu'il en avait besoin.

Lina rencontre Andrius dans le train qui les emmène au camp de travail de l'Atltaï. Leur histoire d'amour est très mignonne, même si elle ne décolle pas beaucoup. Je les ai trouvé très mignon ensemble, mais je l'avoue, j'aurais aimé que cette histoire soit plus développée. Andrius est une personne protectrice, douce et attentionnée. Il aime aussi beaucoup Jonas, ce dernier le prenant pour exemple.

Le livre porte aussi sur l'art. En effet, Lina a un don pour le dessin et avait été acceptée dans une école d'art avant d'être déportée. Elle passe beaucoup de temps a dessiner le monde comme elle voit à la façon de Munch, son modèle. Elle dessine sur tout ce qu'elle trouve et j'ai beaucoup aimé cela. Elle dessine pour que son père les retrouve, elle, sa mère et son frère.

Tout au long du livre, on peut découvrir des moments que Lina a vécu dans le passé avec sa cousine, Joana, ou alors ses parents, ce qui nous permet de mieux connaitre notre héroïne. On découvre l'origine de sa passion pour le dessin, par exemple.

Il n'y a que très peu de rebondissements, mais tout est tellement intense que quoi qu'il se passait, j'avais une boule dans le ventre. Je me demandais toujours ce qu'il arriverai à tel ou tel personne, les raisons de son comportement. L'écriture fluide nous transporte dès les première lignes dans l'univers de cette horrible guerre qui a tué des millions d'innocents.

La fin est loin de ce à quoi je m'attendais, mais elle est largement meilleure. Elle nous porte à réfléchir sur les conséquences des déportements, et on peut s'imaginer librement ce qui est arrivé à Lina, Jonas, Andrius et les autres personnages qui les ont accompagné lors de ces longues et atroces années.

En bref, Ce qu'ils n'ont pas pu nous prendre est un livre à lire au plus vite si ce n'est pas encore fait. Je comprend mieux maintenant pourquoi ce livre est décrit comme "un classique dans de nombreux pays", et il mérite largement ce titre. On ne s'attache pas forcément aux personnages et l'histoire d'amour n'est pas très présente, mais l'histoire de Lina nous donne du courage, de la force et nous pousse à réfléchir. Je pense qu'il faut tout de même être préparé psychologiquement avant de lire ce livre, car on ne ressort pas indemne de notre lecture. On en sort bouleversé.

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Commentaire ajouté par Piaf11 2013-05-25T10:07:34+02:00
Diamant

Ce livre est un chef d'œuvre ! Pour moi la fin est très bien, comme elle est très courte, elle permet d'inventer ce qui n'est pas écrit, de laisser libre court à notre imagination. Je ne peux pas imaginer le livre se finir autrement.

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Diamant

Que de courage pour ces gens de Lituanie. J'ai tremblé pour eux j'ai pleuré avec eux, j'ai ri aussi quelques fois car les moments de joie étaient assez rare. Ces gens resteront à jamais graver dans mon cœur.

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Diamant

Avant de lire ce livre je n' avait que vaguement entendu parler des déportations soviétiques. Et quelle "initiation" à ces horreurs. Ce livre témoignent de choses tellement horribles et pourtant il est tout simplement beau. Il n'est pas idéaliste ou défaitiste, simplement réaliste.

On suit une petite fille, ou plutôt une jeune fille qui grandit au fil de l'histoire mais qui au début du récit est déjà mature sans être une adulte, c'est un point de vue très intéressant qui, dans un sens, rend les faits encore plus horribles.

Les autres personnages tel qu'Elena la mère de Lina ou encore "Le Chauve" sont tout aussi attachant à leur manière.

Le plus étonnant est quand même Kretzky, Nikolaï de son prénom, que l'on fait d'abord passé pour le méchant, mais qui a l'inverse d'I. ( oui j'ai oublié son nom complet, et alors ? xD) s'avère n'être pas si méchant que ça.

Une dernière question rest sans réponse à la fin : Spoiler(cliquez pour révéler)Qu'est-il arrivé au père ?

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