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« — Et toi, pourquoi traductrice ?

— Oh moi, c’est simple. Par paresse…

Il écarquilla les yeux.

— Pardon ?

— Mon père a grandi aux USA. À la maison, on a toujours parlé français et anglais, depuis ma naissance, et de ce fait, je suis bilingue depuis très longtemps.

— Ça ne fait pas tout.

— J’ai une relation particulière avec les mots : je les aime ! Et traduire c’est… traquer le mot juste. J’adore faire ça ! »

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« — Et alors, qu’est-ce que c’était ?

— C’est la question que je me pose. Votre encéphalogramme est normal, votre tension aussi, vous avez l’air tout à fait cohérente, pas de céphalée persistante, pas de troubles de la coordination ni de troubles moteurs. Pour un peu, on pourrait croire qu’il ne vous est rien arrivé. Or ce n’est pas le cas, ou alors vos amis souffrent tous d’hallucinations et c’est eux que je devrais examiner. Vous croyez que je devrais ?

— C’est vous le médecin, répliquai-je en luttant pour ne pas répondre au sourire que je voyais éclairer ses yeux.

— Ça va coûter cher à la sécu… et de toute façon, ils se sont curieusement volatilisés.

— Les amis ne sont plus ce qu’ils étaient…

Il réprima un sourire et glissa son calepin dans sa poche, semblant capituler, ce qui faillit me faire soupirer de soulagement. »

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Ni Nathan ni moi n'avions anticipé ce qui s'était passé cette nuit. Cette facette e lui, tendre et sensuelle, qu'il m'avait cachée si longtemps, avait ouvert la boîte de pandore de mes sentiments. J'étais vraiment passée par toutes les émotions possibles la veille. De quoi me chambouler sérieusement... J'espérais que cela ne changeraitrien entre nous ni dans la tâche qu'il s'était asssignée.

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C’était la deuxième fois que ce truc m’arrivait ! Et c’était franchement perturbant et très pénible à vivre, pendant et après. Mais là, j’avais fini à l’hôpital. Je me voyais mal raconter ce que j’avais ressenti. Qui me croirait ? Comment expliquer une chose pareille sans sembler folle à lier ? Je n’avais pas envie de me retrouver enfermée dans un service psychiatrique à 26 ans, non ! Alors, je feignais de dormir encore, je doutais que le personnel soignant soit dupe plus longtemps. J’étais bien assommée par ce qu’ils m’avaient injecté, mais bon...

La première fois, c’était il y a six mois. J’avais cru à un coup de fatigue. C’est vrai, il arrivait qu’on déraille un peu quand la pression était trop forte, quand on manquait de sommeil et qu’on ne parvenait plus à prendre du recul sur tout ce qu’on avait vécu. Et pour cause ! Même moi, j’avais encore du mal à mettre des mots dessus.

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— Ah, tu es là ? fit Mélanie à Nathan ce soir-là, en le découvrant installé dans le canapé alors qu’elle passait papoter en sortant de son travail.

— Pourquoi c’est interdit ? répondit-il en haussant un sourcil.

Elle ravala sa langue, un peu mal à l’aise.

Nathan m’avait fait une petite place dans sa vie déjà bien remplie. Je l’avais découvert également sous un autre jour : je savais qu’il aimait nous taquiner tous et il était aussi très joueur. Je n’avais rien dit à Mélanie sur nous deux. Elle m’aurait bombardée de questions et, sans réellement savoir pourquoi, j’avais envie de rester discrète sur notre relation. Pour le moment. Sophie et Clément l’avaient de toute évidence devinée, mais n’avaient fait aucun commentaire. Seuls leurs regards parfois complices les trahissaient.

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