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Extrait ajouté par Sonia-16 2017-03-31T22:10:51+02:00

C'est surtout quand mes yeux se ferment qu'ils voient le mieux, car tout le jour ils tombent sur des choses différentes; mais, quand je dors, ils te contemplent en rêve.

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Extrait ajouté par CroqueusedeB 2015-04-27T16:14:43+02:00

"Tu le regardes, Non je le regarde pas" entre Clara et Kay ^^

— Christian se fait du souci à ton sujet, dit-elle. Je le vois. Lui aussi a perdu sa mère quand il était jeune. C’est l’une des premières choses que nous avons partagées ensemble.

— Je sais, dis-je d’un air suffisant.

Sous-entendu : il me l’a dit aussi.

Elle hoche la tête.

— Tu devrais y aller mollo avec lui. Il mérite d’être heureux.

— Il n’est pas mon petit…

— Tu le regardes, dit-elle. Tu es peut-être toute câline avec ton copain, mais tu le regardes.

— Je ne le regarde pas.

Elle lève les yeux au ciel. Après un moment elle dit :

— Il m’a quittée pour toi, tu sais.

Je la fixe des yeux : un daim paralysé par les phares d’une voiture.

Un court instant, elle pince les lèvres comme pour supprimer un sourire.

— Il ne m’a pas dit ça, bien sûr. Il m’a servi une foule de raisons creuses en disant qu’il voulait être honnête avec moi et mes besoins et en agissant comme s’il me faisait une faveur. Pas que je ne l’ai pas vu venir. Il se comportait étrangement depuis un certain temps. Il n’était pas lui-même. Et j’ai vu que tu le regardais et qu’il te regardait.

— Il ne me regardait pas, protesté-je.

Elle prend un air moqueur.

— Comme tu veux.

— Christian et moi, nous sommes des amis, essayé-je d’expliquer. J’ai un copain.

— Peut-être bien, dit Kay en haussant ses épaules dénudées, mais tu le regardes quand même.

Mon visage est sans doute de la couleur des tomates

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Extrait ajouté par Celia_P 2016-08-17T15:37:02+02:00

« Je balance le blanc dans la machine et je verse un peu d’eau de Javel. Je me sens si lourde et si terrifiée que j’ai envie de hurler, de remplir le silence de cette maison en faisant du bruit. Cette tristesse n’est pas celle d’une autre personne, ni celle de l’Aile Noire, mais la mienne. Je la provoque moi-même.

Je vais à ma chambre pour tenter de faire mes devoirs, et je suis triste.

Je parle avec Wendy au téléphone, et je suis triste. Elle est tout excitée par l’université et me décrit les dortoirs à WSU, comme ce sera merveilleux, et je suis triste. Je m’efforce de l’imiter, de faire comme si j’étais excitée, moi aussi, mais je ne sens que de la tristesse.

Triste, triste, triste. »

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Extrait ajouté par Celia_P 2016-08-17T15:36:08+02:00

« — Qu’est-ce que c’est ?

Je n’ai jamais vu ce bracelet à son poignet.

— Tu devras le porter au cimetière.

J’examine les breloques, qui me paraissent plutôt ordinaires. Un cœur. Un cheval. Une paire de pierres qui me semblent fausses. Un poisson.

— Il m’a appartenu, il y a longtemps, dit-elle. Maintenant, il est à toi.

J’avale.

— Tu veux me dire que tu seras toujours avec moi ? C’est bien ce que les gens disent, non ? Tu seras dans mon cœur, un truc comme ça ?

— Tu fais partie de moi, répond-elle. Et je fais partie de toi. Alors, oui, je serai avec toi.

— Mais pas de manière à pouvoir converser ensemble, hein ?

Elle pose sa main sur la mienne. Elle me semble si légère, plus légère qu’une main normale, sa peau tel le plus doux des papiers fins. Comme si elle pouvait être emportée par le vent. 

 — Toi et moi sommes liées d’une manière que rien sur Terre ni au ciel, ni même l’enfer, ne peut briser. Si tu veux me parler, parle-moi. Je t’entendrai. Je ne serai peut-être pas capable de répondre, du moins pas d’une façon opportune…

— Parce qu’un jour équivaut à un millier d’années…

Elle sourit d’un air satisfait.

— Évidemment. Mais je te le jure. Je t’enverrai mon amour à chaque instant.

— Comment ? dis-je, incapable de faire taire les larmes dans ma voix.

— Dans la gloire, répond-elle. C’est là que nous nous retrouverons. Dans la lumière.

Voilà que je pleure encore. Elle passe ses bras autour de moi et pose un baiser sur ma tête.

— Ma fille chérie. Tu comprends tant de choses. Tu as une si grande sensibilité. Mais tu seras heureuse, ma chérie. Tu brilleras. »

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Extrait ajouté par Celia_P 2016-08-17T15:35:32+02:00

« — Ma mère me manque, dis-je, la gorge nouée.

Les bras de Christian se resserrent autour de moi. Je pose ma tête sur son épaule et je pleure, pleure et pleure. Mon corps est secoué de sanglots. Je laisse libre cours à une sorte de festival du sanglot pas très joli, j’imagine, avec le nez qui coule, les yeux tout gonflés et le visage en entier qui se transforme en une zone marécageuse rosâtre, mais je m’en fous. Christian me tient et je pleure. Ma souffrance se déverse sur son t-shirt et je deviens plus légère. Cette fois, c’est un vide agréable et je serais sans doute assez légère pour m’envoler si je le voulais. »

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Extrait ajouté par cherigoine 2015-06-29T03:19:07+02:00

— Viens-tu juste de dire que j’ai raison ? dis-je du ton le plus solennel dont je suis capable.

-oui et alors ?

— Rien. Je voulais simplement le noter, au cas où je ne l’entendrais plus jamais.

Elle tourne légèrement la tête et arbore un sourire.

— Ouais, tu devrais faire ça puisqu’il est peu probable que tu aies à nouveau raison un jour.

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Extrait ajouté par Joany13 2015-05-29T14:55:09+02:00

- Oh, à peu près 60 ans.

- Soixante ans.

Me voici partie, Clara le perroquet. Je devrais être sur l'épaule d'un pirate.

p.313

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Extrait ajouté par CroqueusedeB 2015-04-27T18:20:01+02:00

— Moi aussi, j’ai vu cet endroit dans ma vision.

Ce qui met fin à ma fuite sauvage, lâche (comment peut-il me trouver brave ?) vers le sentier. Je me retourne. Il est toujours là, près de la tombe de sa mère, les mains dans les poches de son jean, à me regarder avec une telle chaleur dans les yeux qu’un frisson s’immisce en moi, de ma tête jusqu’à mes orteils.

— Tu as une nouvelle vision, toi aussi ? demandé-je.

— C’est précisément ici.

Il marche vers moi avec de longs pas déterminés.

— Cet instant. Je le vois depuis des semaines et c’est tout de suite qu’il arrive.

Il s’arrête devant moi.

— C’est ici que je t’embrasse, dit-il.

Et c’est à ce moment, sous les pins qui se balancent, les trembles frissonnants d’Aspen Hill, sous le soleil déclinant de ce jour de fin de printemps, avec les oiseaux chantant au-dessus de nos têtes, les traces de larmes séchant sur mon visage et le doux parfum de rose dans l’air que Christian Prescott m’embrasse pour la première fois. Il m’attire à lui.

Jamais je n’oublierai, même si je me rends jusqu’au bout de mes 120 années, le goût qu’il a. Cela ne ressemble à rien. C’est juste Christian, un peu sucré et beaucoup d’épices. Et actuellement, cela m’apparaît absolument bon. Son feu et le mien s’unissent et c’est meilleur que n’importe quel incendie de forêt, plus chaud que la partie la plus brûlante d’une flamme. Les murs que j’ai tentés d’ériger entre nous s’effondrent. Son cœur bat fort sous ma paume. Il ne mentait pas. C’est sa vision, son rêve qui devient réalité, et tout se passe exactement comme il l’avait imaginé. En mieux. Je suis plus que ce qu’il aurait pu espérer ou rêver. Sa fille mystérieuse. La fille qu’il était destiné à trouver.

Et maintenant, je lui appartiens comme il m’a toujours appartenu.

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Extrait ajouté par CroqueusedeB 2015-04-27T16:21:05+02:00

" Avant de déménager ici, je n’avais jamais vécu d’histoire de triangle amoureux. Vous savez, dans les films, les romans d’amour ou peu importe, où il y a une fille dont tous les gars sont fous, même si vous ne voyez rien de spécial en elle. Mais, oh, deux gars se l’arrachent. Et elle, elle se demande : oh mon Dieu, comment choisir ? William est si sensible ; il me comprend ; il me fait tourner la tête, oh misère, blablabla, mais comment me passer de Rafe et de sa belle insouciance et puis de son amour ténébreux juste un peu possessif ? À vomir. Tellement irréaliste, ai-je toujours pensé.

Je me suis fait jouer un tour, je suppose."

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Extrait ajouté par bellajessica 2014-08-09T04:13:16+02:00

Elle hoche la tête, sourit à nouveau, mais la tristesse ne s’efface pas tout à fait de son visage.

— Je ne m’attends pas à ce que cela te plaise. Sinon, tu ne serais pas ma fille.

Je devrais lui parler du rêve, je crois. Pour voir si elle pense que c’est important, si c’est plus qu’un rêve. Si c’est une vision. De ma mission qui se poursuit possiblement.

Mais juste à cet instant, Jeffrey passe la porte en criant, bien sûr : « Qu’est-ce qu’on mange ? » puisque la nourriture obsède son esprit. Maman lui répond, puis s’affaire à nous préparer un repas. Sa capacité de décrocher subitement m’étonne. De nous donner l’impression que nous sommes des enfants normaux qui reviennent à la maison après le premier jour d’école. Pas de mission divine prévue pour nous, pas d’anges déchus qui nous pourchassent, pas de cauchemars. Maman est comme n’importe quelle autre mère.

Après le dîner, je vole au Lazy Dog pour voir Tucker.

Il est surpris lorsque je cogne à sa fenêtre.

— Salut, mon beau, lui dis-je. Je peux entrer ?

— Absolument, dit-il avant de m’embrasser et de rouler rapidement sur son lit pour aller fermer la porte.

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