Cesare, Tome 5

Les dessins sont toujours aussi beaux, nous continuons dans l'histoire de Cesare. J'ai peut être un peu moins apprécié ce tome pour sa bataille.

Il y a de moins en moins de choses à dire au fur et à mesure de l'avancée. J'en reste sur mon avis des précédents tomes : ce manga est tout simplement magnifique, à la fois au niveau de l'écriture, de l'histoire, du scénario, de la richesse historique et des dessins.

Je poursuis la lecture dans cette plongée historique avec plaisir.

Un tome plein d'action où l'on redécouvre un Cesare têtu et fier. Sa relation avec Miguel est encore approfondie, nous montrant que s'il ne s'agit pas d'amitié, ce n'est pas pour autant une relation maître-serviteur normale et cela humanise encore plus les deux personnage. J'aime beaucoup aussi la complicité qui se concrétise entre Cesare et Angelo.

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La saga Cesare se poursuit avec un cinquième tome riche en action. L’escapade que le jeune Borgia effectue en compagnie d’Angelo se conclut par une confrontation avec l’assassin envoyé pour le tuer. Il en réchappe en partie grâce à l’intervention de Miguel, et la vie reprend ensuite son cours à l’université de Pise, où les étudiants doivent se livrer à une simulation de bataille.

Si l’Histoire avec un grand H est quelque peu mise entre parenthèses dans ce tome, les personnages et les relations qu’ils entretiennent sont au cœur de l’intrigue. On retrouve bien évidemment le trio principal, composé d’Angelo, Cesare et Miguel, mais pas seulement, puisque les Français font également leur retour.

Le caractère d’Angelo évolue progressivement, ce qui est sans doute dû à l’influence de Miguel. Fini le garçon qui se confondait en excuses dès qu’il ouvrait la bouche dans les premiers chapitres. Il commence à prendre conscience des manipulations de Cesare, mais surtout, il ose s’opposer à lui. Il cesse peu à peu d’être un pion et s’incruste lentement dans le décor du cercle des Espagnols.

Pour la première fois aussi, on prend conscience de la pression qui repose sur les épaules de Miguel. En tant que bras droit de Cesare, il est de son devoir de le garder en vie, et serait le principal responsable s’il venait à mourir, alors que ce dernier ne lui simplifie pas la tâche.

Cesare dévoile néanmoins tous ses talents de stratège dans ce tome, que ce soit en tendant un piège à l’assassin ou sur le champ de bataille de l’université, face aux Français dont il est la cible. On le découvre à la fois séducteur et orgueilleux, mais surtout, on distingue l’immense chef de guerre qu’il deviendra par la suite. Il n’hésite pas à oser des stratégies complexes et de prime abord vouées à l’échec, alors qu’elles finissent par payer.

Les dessins sont peut-être un ton en dessous par rapport à d’habitude pour les scènes de combat à cheval, légèrement plus difficiles à suivre qu’à l’accoutumée, sans parler des personnages qui, coiffés d’un haume, ne se distinguent plus aussi aisément les uns des autres, mais le tout n’en demeure pas moins très beau et très agréable à l’œil.

Que dire de plus que je n’ai déjà évoqué à propos de Cesare ? C’est un manga sublime, avec un scénario prenant, des personnages grandioses... Je me répète sûrement d’une critique à l’autre, mais si vous ne vous êtes pas encore lancé dans la lecture, foncez !

Franchement, regardez moi juste cette couverture de manga... Un chef d'œuvre, on aurait presque envie de l'encadrer!! ;)

C'est le cinquième tome de cette série et je les dévore à une vitesse faramineuse. Attention car la lecture de cette série entraîne un vrai problème psychologique, avant j'étais admirative envers Cesare Borgia, maintenant c'est clairement mon personnage d'inspiration, avec d'autres figures aussi réfléchie que lui.

Une histoire qui est dans la parfaite lignée des premiers et qui nous promet encore beaucoup beaucoup de rebondissement dans un univers calculateur et millimètré...

Dans ce tome, l'auteur poursuit son intrigue en nous montrant qu'elle est également capable de nous offrir quelques scènes d'actions époustouflantes et très parlantes. les personnages continuent à avancer leurs pions. Cesare montre un nouveau visage, tout comme Angelo. L'auteur parvient à nous montrer la psychologie des personnages et à nous faire ressentir leurs sentiments. L'intrigue se complexifie et si les luttes de pouvoir pour le Vatican semble un peu éloignées, celles pour l'université sont en pleine lumière et se développent. J'aime beaucoup, à la fois l'histoire du tome et le fait que les éléments faisant partie de l'intrigue fil rouge s'emboitent petit à petit.

Bref, tout est parfaitement minuté et calculé. Vraiment du grand art. Cinq tomes et la série est toujours aussi passionnante et intéressante ! La suite donc !

Je suis d'accord! toujours aussi intéressant!

toujours aussi mystérieux, intéressant, addictif. Les dessins sont ceux de bande-dessinée. L'histoire est complète.

Toujours aussi excellente!