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Extrait ajouté par Mysteriame 2010-08-20T19:58:23+02:00

Quelqu'un devait s'amuser avec le bouton de la sono, car le volume était de plus en plus fort. Agressée par le remix d'un tube de Barbra Streisand, je croisais les jambes, fermai les yeux et m'agrippai nerveusement aux accoudoirs de la chaise. Encore quelques semaines, pensai-je. Quelques semaines, et je ne serai plus la.

A cet instant précis, quelqu'un percuta ma chaise. Mon coude heurta violemment le mur, juste a l'endroit ou ça fait mal, et un décharge électrique me traversa le bras.

Ce fut la goute de trop. J'étais énervée. Très énervée. C'est curieux comme il suffit parfois s'une simple bousculade pour vous rendre fou furieux.

- Bordel ! criai-je, prête a dévisser la tête du vendeur stupide qui se permettait ce genre de familiarités avec moi.

Mon coude vibrait toujours et j'avais des ondes de chaleur dans le cou. Très mauvais signe.

En tournant la tête, je vis que ce n'était pas un vendeur, mais un type de mon age, les cheveux noirs et bouclés, vêtu d'un t-shirt orange vif. Et cet abruti SOURIAIT.

- Salut ! s'exclama-t-il d'une voix enjouée. Ça va ?

- C'est quoi, ton problème ? je rugis en me frottant le coude.

- Mon problème ?

- Tu m'as envoyé dans le mur, connard !

Il cligna des yeux.

- Mon Dieu, quel langage...

Je le dévisageai. Toi, mon pote, tu ne tombes vraiment pas le bon jour...

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Extrait ajouté par srei-lerp 2013-05-18T18:40:48+02:00

-Bordel! criai-je,prete a devisser la tete du vendeur stupide qui se permettait ce genre de familiarites avec moi.

Mon coude vibrait toujours et j'avais des ondes de chaleur dans le cou. Tres mauvais signe.

En tournant la tete,je vis que ce n'etait pas un vendeur,mais un type de mon age,les cheveux noirs et boucles,vetu d'un t-shirt orange vif. Et cet abruiti SOURIAIT.

-Salut! s'exclama-t-il d'une voix enjouee. Ca va?

-C'est quoi,ton probleme? je rugis en me frottant le coude.

-Mon probleme?

-Tu m'as envoye dans le mur,connard!

Il cligna des yeux.

-Mon Dieu,quel langage...

Je le devisageai. Toi,mon pote,tu ne tombes vraiment pas le bon jour...

-En fait,reprit-il,comme si on etait en train de discuter meteo ou politique internationale,je t'ai vue dans le hall. J'etais a cote du presentoir de pneus...

Mon regard devait etre charge comme une mitrailleuse. Mais il continua.

-Et alors,tout a coup,j'ai pense qu'on avait quelque chose en commun. Une sorte de chimmie naturelle,si tu veux. Et j'ai senti qu'il allait nous arriver quelque chose de fou. A tous les deux. Qu'on etait faits l'un pour l'autre,d'une certaine facon.

-Tout ca a cote du presentoir de pneus?

-Tu ne l'as pas senti?

-Non. Par contre,j'ai bien senti que tu m'envoyais dans le mur,retorquai-je,tres froide.

Il se pencha vers moi et ajouta,a voix basse:

-Ca,c'est un accident. Une maladresse. Regrettable. J'etais trop presse de te parler.

Je continuai a le regarder. La sono diffusait maintenant une version sautillante du jingle de Roger Davis Autos.

-Degage,dis-je.

Il sourit,puis se passa la main dans les cheveux. La sono poussa un crescendo,puis le haut-parleur explosa,proche du court-circuit. On leva tous les deux la tete.

-Tu sais quoi?

Il designa l'enceinte,qui craqua encore plus fort,puis siffla avant de reprendre le theme principal a plein volume.

-A partir de maintenant,et pour toujours...

Il designa a nouveau l'enceinte.

-Ce sera NOTRE chanson!

-Non,mais je reve...

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Extrait ajouté par chrysti 2012-01-19T16:48:07+01:00

-Je te ramène une fois, déclarai-je d'une voix sévère. Pas uune de plus. Et si tu fais la moindre tâche dans ma voiture, je te vire. Et sans ralentir, en plus.

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Extrait ajouté par Kameinu 2014-05-11T16:41:16+02:00

"On se retrouva tout à coup dans le noir le plus total. Toutes les lampes s'étaient éteintes, le frigo avait cessé de vrombir et le froufrou de la machine à laver s'était arrêté aussi. La seule lumière provenait de la véranda du voisin.

-Hé! cria Jean-Michel du salon, où il était occupé, comme tous les soirs à la même heure à regarder La roue de la fortune. J'avais presque résolu l'énigme!

-Tai-toi! Rétorqua Lucas, qui se leva et actionna à plusieurs reprises l'interrupteur.

Clic, clac, clic.

-Ca doit être un fusible.

-C'est toute la maison, répliqua Damien.

-Et alors?

-Ca serait pas le cas si c'était un fusible.

Il prit le briquet qui se trouvait sur la table et l'alluma.

-Ca dois être une panne de courant Tout le réseau a dû sauter.

-Ah, fit Lucas en se rasseyant.

On entendit un crash dans le salon. Jean-Michel essayait de se frayer un passage dans le noir. Ce n'était certes pas mon problème, mais je ne pus m'empêcher de remarquer.

-Mm, il y a de la lumière chez les voisins...

Damien s'adossa à sa chaise et jeta un regard par la fenêtre.

-Tiens donc. Voilà qui est in-té-ressant.

Lucas se mit à éplucher une nouvelle clémentine tandis que Jean-Michel apparaissait sur le seuil de la porte. Sa peau blanche paraissait encore plus claire dans l'obscurité.

-Les lumières ne marchent plus, déclara-t-il, au cas ou on aurait été aveugles.

-Merci, Einstein, grommela Lucas.

-C'est un court-circuit, décréta Damien. L'installation ne doit pas être aux normes.

Jean-Michel s'affala sur le canapé. plus personne ne disait rien. Je compris alors qu'ils ne prenaient pas vraiment la chose au sérieux.

-Vous êtes sur d'avoir payé la facture?

-La facture? Répéta Damien.

-La facture d'électricité.

Silence. Puis Lucas s'exclama:

-Merde, cette connerie de facture!

-Mais on l'a payée, protesta Jean-Michel. Elle était sur la commode, je l'ai vue hier.

Damien se tourna vers lui:

-Tu l'as vue, ou on l'a payée?

-Les deux, non?

[...]

-Est-ce que c'est ça?

Je plissai les yeux pour essayer de lire.

-Non, dis-je lentement, ça, c'est une lettre qui vous informe que si vous ne payez pas la facture avant...voyons...hier, ils vont couper l'électricité.

-Ouah! s'exclama Jean-Michel, comment on a pu laisser passer ça?

Je la retournai. Des coupons de réduction pour pizzas étaient collés au dos de la feuille: le premier était arraché et les autres légèrement tachés de gras.

-Aucune idée.

-Hier, remarque Lucas, pensif. Ouah, ça veut dire qu'ils nous ont donné une demi-journée de plus. C'est vachement généreux..."

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Extrait ajouté par anonyme 2012-10-30T18:45:29+01:00

-Tenir les gens à distance et se priver d'amour ça ne rend pas fort. Au contraire. Parce que c'est de la peur.

-Peur de quoi?

-De prendre un risque. Le risque que des choses arrivent, le risque de se laisser emporter... Mais le risque c'est la vie. Refuser d'essayer, par peur, c'est du gaspillage. D'accord j'ai fait des erreurs,beaucoup même, mais je n'ai pas de regrets. Parce qu'au moins, je ne suis pas restée sur le bord de la route à me demander ce que vivre veut dire.

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Extrait ajouté par Little 2012-05-20T14:41:48+02:00

Assise sur mon lit, j'écoutais cette chanson, écrite pour moi par un homme qui ne me connaissait pas, chantée par celui qui me connaissait le mieux.

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Extrait ajouté par chrysti 2012-01-11T13:34:07+01:00

Cette chanson-là n'a que quelques rimes, quelques accords

Tu te sens tranquille dans cette chambre

Ou que tu ailles, je t'abandonnerai

Mais cette chansons-là continue à jamais ....

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Extrait ajouté par Pamie 2011-10-15T01:28:05+02:00

L'amour est absolument imprévisible. On fréquente parfois quelqu'un pendant des années et puis boum! On le voit soudain sous un autre jour. Et parfois, c'est dés le premier rendez-vous, dés les premières secondes. C'est ça qui rend les choses formidables !

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Extrait ajouté par Pamie 2011-10-15T01:28:05+02:00

Aimer quelqu'un, c'est avoir besoin de lui. C'est supporter ses défauts parce que d'une certaine manière, ils vous complètent.

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Extrait ajouté par Pamie 2011-10-15T01:28:05+02:00

En refusant de jouer, on se condamnait à ne jamais savoir.

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