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Un mensonge passe bien mieux quand il est enrobé de tout un tas de vérités.
Afficher en entierEntre la théorie et la pratique, il y avait un monde de subtilités. Ne serait-ce que le simple fait que, par essence, l’homme était un animal égocentrique, jaloux de son confort, mais aussi envieux de celui des autres.
Afficher en entierL’esprit ne s’élève que dans l’adversité. Aucune guerre ne peut se gagner sans comprendre son ennemi.
Afficher en entierQuoi qu’en dise l’adage, l’habit fait le moine. Habillez-vous comme les membres du jury et il leur sera difficile de vous juger autrement que comme l’un des leurs. Les préjugés ont la vie dure, même dans le cadre solennel d’un jury.
Afficher en entierÀ quoi bon vivre, si tout n’est que souffrance ? Pourquoi sommes-nous là ? Depuis la nuit des temps, les êtres humains sont en proie à toutes sortes de tourments, misère, famine, épidémie, asservissement, humiliation... Cela ne s’arrêtera donc jamais !
Afficher en entierUne famille est faite pour s’éparpiller. Les enfants doivent vivre leur vie, chacun de leur côté.
Afficher en entierLa force des grands hommes et de savoir utiliser les qualités de leurs ennemis.
Afficher en entierJe viens de recevoir un mail de votre capitaine me priant d’en informer les élèves avant que les médias ne s’emparent de l’affaire.Bonne initiative, reconnut Nelson, qui jaugea son interlocutrice. La cinquantaine largement dépassée, elle n’avait pas perdu les attraits de sa beauté slave. Aucun accent. Fille de réfugiés d’URSS à n’en point douter.– Si vous voulez bien me suivre.Ils se rendirent au troisième en écoutant avec attention les commentaires de leur guide sur les diverses œuvres qui se trouvaient sur leur passage, et s’enfermèrent dans le bureau de la directrice.– Asseyez-vous, je vous en prie, dit Taschernisch tandis qu’elle prenait elle-même place dans son fauteuil
Afficher en entierPossible, je vais prévenir Moore et Freeman qu’ils apportent son ordinateur aux CSI. Par la même occasion, ça pourra être intéressant de regarder dans sa boîte mail. Un artiste jaloux qui l’aurait menacé ? supputa Nelson.Pas idiot, pensa Rivera. Les artistes étaient vis-à-vis de leurs œuvres comme des amoureux transis envers leurs conquêtes. Et comme eux, ils étaient capables du pire quand ils se sentaient trahis.– Une piste à suivre. Tu les appelles ?Nelson sortit son portable et composa le numéro des experts.Quelques minutes plus tard, Rivera se garait sur le parking de l’université de Cornish. Un bâtiment carré de quatre étages en plein centre de Seattle.– On ne peut pas le rater, remarqua Nelson
Afficher en entierOui, enfin non. Il a cassé il y a quinze jours. Enfin, je crois qu’il s’est fait larguer. Elle s’appelle Lana.Il reparle de son ami au présent. Définitivement innocent, se dit Rivera en laissant Nelson poursuivre l’interrogatoire.– Tu la connaissais ?Un pâle sourire éclaira le visage de Clive.– Ouais, une vraie beauté. Brandon a le don pour sortir avec les plus belles filles de Cornish. Elle fait de la danse, une fille très gracieuse, très gentille, fit Clive, avant d’enchaîner d’un ton plus marqué : Pas du tout le genre à venir tuer son ex.Cela restait à prouver. Toutefois, Nelson continua à ponctuer le récit du jeune homme de hochements de tête attentifs.– Excuse-moi de te poser cette question, mais est-ce que tu as une idée de qui pouvait en vouloir à Brandon
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