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« Une fois, j’ai fait mon café tellement fort qu’il a réussi à m’ouvrir un pot de confiture »

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Alors elle s'approcha du lampadaire et commença à s'en servir pour faire un strip-tease.

Quand elle leur montra brièvement Pico- toujours niché dans son soutien-gorge quand même- je me pliai en deux si violemment que je me cognais le front au volant. Pas grave j'étais sur le point de mourir de rire, de toute façon.

J'en pleurais, à tel point que j'avais du mal à voir ce qu'elle faisait. Elle allait m'en vouloir de ne pas m'esquiver tout de suite, mais je ne pouvais pas rater ça.

Elle arracha un de ses foulards- serpillières et le fit tourner comme un lasso avant de le lancer, puis elle souleva l'ourlet de sa robe de chambre pour révéler une élégante cheville, qu'elle fit ensuite passer autour du lampadaire tout en envoyant un baiser aux deux agents.

Ils étaient complètement captivés. Moi aussi.

Je me dépêchai de lancer la caméra de mon téléphone malgré les larmes qui brouillaient la vue quand, soudain, on frappa de nouveau à ma vitre. Je recouvrai mon sérieux.

-Tu peux m'expliquer ce que fabrique ma femme ?

Avant que j'aie pu lui répondre, Cookie donna un jolie coup de hanche et se claqua la fesse. Je m'écroulai de rire et faillis tomber de mon siège, secouée de hoquets.

-Il faut que tu la filmes! haletai-je

Je me redressai, et au même moment elle fit un tour de lampadaire tout en me jetant un regard courroucé par-dessus son épaule. C'st alors qu'elle vit son mari. Elle se figea, et je compris que, si je ne filais pas tout de suite, je risquais de me faire coincer.

Sans un mot, j'enclenchais la marche arrière et me faufilai dans la ruelle qui menait à Silver Street. Obie resta planté là, perplexe et probablement marqué à jamais.

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"Vous avez le droit de garder le silence.

Tout ce que vous direz pourra être retenu contre vous.

Vous avez le droit de faire appel à un avocat"

Vous ne trouvez pas que ça ferait de beaux vœux de mariage?

VERITE VRAIE

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« What did you have in mind?”

“First things first. We need to kidnap and torture Osh.”

“I’m good with that.”

“Do you have torture supplies?” I asked, hopeful.

“Not on me, but there’s a twenty-four-hour Walmart nearby. Any particular reason we have to torture him?”

“Not especially. Torture just pairs really well with kidnapping. As you know, I don’t like to do things halfway. Also, I’m worried he’ll be a little too happy to oblige. »

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— Qu'est-ce que tu as donné comme excuse à l'oncle Bob ?

Je sortie la clé de tous les secrets de Misery - et de ses portières.

— Je lui ai raconté qu'on allait au cinéma.

Je me mordis la lèvre.

— Et il y a cru ?

— Bien sûr ! Il m'a même dit : "Préviens ma nièce que, si tu te fais arrêter à cause d'elle, je l'enverrai dans une cellule pour le restant de ces jours. "

— Ah oui, il y a cru. Génial.

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C'est bizarre l'amour. Un jour on aime une personne et le lendemain, on lui court après avec un fusil.

MEME

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« Il était une fois une contrée lointaine, un royaume sur lequel ne brillaient que sept « étoiles. La préférée du peuple était la première étoile car, bien que plus petite que toutes les autres, c’était elle qui brillait le plus fort et qui était la plus généreuse. Les autres étoiles étaient jalouses d’elle et de l’amour que lui vouaient les habitants du royaume. Elles décidèrent donc de la punir et provoquèrent des tremblements de terre, des inondations et des éruptions volcaniques. La première étoile eut le cœur brisé, mais que pouvait-elle faire, elle qui était si petite ? Coûte que coûte, elle se promit de sauver son peuple chéri. 

Sept étoiles veillaient sur un ancien « royaume, mais la première d’entre elles était la préférée du peuple. Les six autres, jalouses, lui jouaient de mauvais tours. Elles savaient que la première, sincèrement dévouée à son royaume et à ses habitants, ferait tout pour les protéger.

Les six méchantes commencèrent donc à semer la panique dans le pays à coups de violentes tempêtes ou en faisant trembler la terre et rugir les volcans. Les victimes se comptaient par milliers, et les étoiles devenaient de plus en plus mauvaises. 

 Un jour, la première leur lança un avertissement, leur interdisant de causer du tort à son peuple. Elles se moquèrent de la pauvrette et la bousculèrent si fort qu’elles l’éjectèrent de son orbite et provoquèrent par là même encore plus de catastrophes.

Quand, après une lutte acharnée, la première regagna son orbite, elle vit que des centaines de milliers d’innocents avaient péri. Une colère terrible s’empara d’elle. Elle menaça de tuer les six méchantes, mais elles rirent de plus belle. 

 — Tu ne peux pas tuer les étoiles, dirent-elles. Les étoiles ne meurent jamais.

— Ah, vous croyez ? lança-t-elle. Regardez-moi bien. Je vais vous dévorer. Je vais vous avaler comme l’océan avale la mer.

Elles se moquèrent tant et plus, alors la première mangea l’une d’elles.

Les cinq qui restaient, choquées, se dispersèrent pour aller se cacher aux confins de l’univers, mais la première étoile était folle de rage qu’elles aient causé tant de morts. Elle s’élança à leur poursuite et en retrouva une. Elles se livrèrent une terrible bataille, qui fit enfler les marées et ployer les montagnes, mais la première l’emporta et tint parole. Elle mangea une deuxième étoile.

En apprenant la nouvelle, les quatre survivantes décidèrent de rassembler leurs forces et, bientôt, ne furent plus que deux. Puis, craignant que cela ne suffise pas, elles fusionnèrent de nouveau.

Cette fois, ce furent elles qui donnèrent la chasse, et la plus petite des étoiles dut faire face à ce monstre gigantesque ; mais sa colère ne connaissait plus de bornes. Elles s’affrontèrent pendant quarante jours et quarante nuits, jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’une étoile dans le ciel : la première.

Forte de sa victoire, elle fut surnommée la Mangeuse d’étoiles. Encore à ce jour, elle protège la vie. Elle prête sa lumière à ceux qui en ont besoin mais inflige son terrible appétit à ceux qui la défient. 

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« Si je survis à cette semaine, j’aimerais que ma camisole de force soit rose à paillettes, s’il vous plaît. »

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« — Pourquoi aurais-je menti sur un sujet aussi trivial ?

Je sursautai et regardai dans le rétroviseur. Reyes – ou, plus probablement, Rey’azikeen – se trouvait sur la banquette arrière, vautré comme un ado rebelle au fond de la classe. Les genoux écartés, les mains sur les cuisses, la mine renfrognée, il soutenait mon regard. L’énergie qu’il dégageait faisait briller ses iris.

— Tu le connais, ce nom, dis-je sur un ton presque accusateur. Le nom du prêtre.

— Oui, répliqua-t-il avec un petit sourire, comme s’il cherchait à me narguer.

Il réussit. J’en salivais presque.

— Tu veux bien me le dire ?

— Peut-être, si tu me dis où se trouve ce que je cherche.

— Reyes, j’ignore de quoi tu parles. J’ai besoin de plus d’informations. Si je découvre ce que c’est, je t’aiderai à le trouver, je te le promets.

 Il se détourna avec un sourire agacé.

— Je n’ai pas plus d’informations.

— OK, fis-je, étonnée. Alors dis-moi ce que tu as.

— Je dois trouver les cendres, les braises. C’est tout ce que je sais.

— Les cendres du pendentif ? Celui dans lequel je t’ai envoyé ?

— Pourquoi est-ce que j’aurais besoin de ça ? rétorqua-t-il.

— Si tu ne sais pas ce que tu cherches, alors pourquoi est-ce que tu le cherches ? »

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« Alors il me prit dans ses bras.

— Ça, souffla-t-il une fraction de seconde avant de m’embrasser.

Je me figeai, choquée, pendant ce qui me parut durer une heure. Les lèvres de Garrett étaient chaudes contre les miennes, douces, délicieuses.

Je compris où il voulait en venir et m’appuyai légèrement contre son torse tout en renversant la tête en arrière. J’ouvris la bouche, ce qui surprit Garrett, à en juger par son petit sursaut. 

 Il se ressaisit vite, cependant, et je sentis sa langue contre la mienne, taquine exploratrice, lente et sensuelle.

En même temps, pour que son plan fonctionne, il fallait qu’il soit convaincant.

Le vent s’enragea soudain et s’immisça entre nous, comme s’il voulait nous séparer. Je passai un bras autour du cou de Garrett mais gardai l’autre main sur sa taille, essentiellement parce que je voulais qu’il ait accès à son fusil en cas de besoin.

— Là ! cria Osh pour couvrir le rugissement de la tempête. »

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