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- [...] Si vous n'arriviez pas à recoller les morceaux, tu crois que tu sortirais avec moi?

J'étais en train de mettre mes chaussures, mais je m'arrêtai net en entendant sa proposition. Je ne l'avais pas vus venir, celle-là.

-[...] ... en un sens c'est un peut comme si on sortait déjà ensemble, conclut-il d'une voix résolue. Qu'en penses-tu?

Que si Bones t'avait entendu, tu viendrais de signer ton arrêt de mort.

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— Ah, un mail, et de bonnes nouvelles. Transfert bancaire effectué, cent mille dollars. Je ne sais pas qui Charlie avait contrarié, mais il avait tiré le mauvais numéro. Je vais lui dire où se trouve le corps pour confirmation, et Hennessey ne tardera pas à en entendre parler. Ça fait aussi vingt mille dollars pour toi, Chaton, et tu n’as même pas eu à l’embrasser.

— Je ne veux pas de cet argent.

Ma réponse avait été immédiate. Je n’avais même pas eu à

réfléchir. Malgré les protestations cupides d’une partie de mon cerveau.

Il m’observa avec curiosité.

— Pourquoi? Tu l’as gagné. Je t’avais dit que cela faisait partie de notre accord, même si je ne t’en ai pas parlé dès le début. C’est quoi, le problème ?

En soupirant, j’essayai de mettre des mots sur le maelström d’émotions et de pensées qui tourbillonnaient dans ma tête.

— Parce que ce ne serait pas juste. C’était une chose de prendre l’argent quand on ne couchait pas ensemble, mais je n’ai pas envie d’avoir l’impression d’être une fille entretenue. Je ne veux pas être à la fois ta copine et ton employée. Franchement, c’est à toi de voir. Si tu me paies, je ne coucherai plus avec toi. Garde l’argent et on continue comme avant.Bones éclata de rire et s’approcha de l’endroit où j’étais assise.

— Et tu te demandes pourquoi je t’aime ? Quand on y réfléchit bien, c’est toi qui me paies pour que je couche avec toi, parce que si je ne le fais pas, je te dois vingt pour cent sur chaque contrat. Bon Dieu, Chaton, à cause de toi je me prostitue de nouveau !

— Ce... ce n’est pas... merde, tu sais bien ce que je veux dire !

De toute évidence, je n’avais pas vu les choses sous cet angle.

J’essayai de me dégager, mais ses bras se firent durs comme l’acier.

Ses yeux étaient encore rieurs, mais j’y lisais aussi clairement autre chose. Ses pupilles marron foncé commencèrent à se teinter de vert.

— Tu ne vas nulle part. J’ai vingt mille dollars à gagner, et je vais m’y mettre tout de suite

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- On n'a pas rompus; répondis-je aussitôt, plus à mon intention qu'à la sienne. On... on prend un peu de recul pour évaluer la situation, et... réfléchir à notre relation, parce que... je l'ai enfermé dans un placard! éclat-je, honteuse.

Timmi écarquilla les yeux

- Il y est toujours?

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—Tu es gelé !

— T’as encore piqué toutes les couvertures

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Je tendis la main vers le sol alors que je me baissais pour passer sous l'une des excroissances du plafond, et ramassai discrètement ce que je trouvai par terre. L'inconnu se dirigeait maintenant vers moi, sans faire aucun bruit.Serrant mes doigts autour de mon arme de fortune, je tournai au coin suivant et vis l'intrus.

C'était un homme de grande taille, avec des cheveux noirs en épi, et il se tenait à six mètres environ de moi. Il s'approcha en souriant, un peu trop sûr de sa supériorité.

-Une aussi jolie rousse, ca ne peut être que Cat.

C'était le nom que j'avais donné à Hennessey. Ce devait être l'un de ses sbires, et il avait réussi à trouver Bones. Je priai pour qu'il ne soit pas trop tard et qu'il ne l'ait pas déjà tué.

Je lui souris froidement.

-Alors je te plais? Et ça, t'en penses quoi ?

Sur ces mots, je lui lançait dans les yeux les cailloux que j'avais ramassés avec toute la force dont j'étais capable. Je serais que le coup ne serait pas mortel,mais j'espérais l'immobiliser pendant quelques secondes.

(...)

Je grimpais alors sur son dos pour faire usage de mon poids et je l'enserrai avec mes cuisses de toutes mes forces.Tandis que je lui cognais la tête contre le sol,je maudis sa puissance. C'était un maître vampire, sans aucun doute. Après tout,s'il avait été un débutant, c'est Bones qui m'aurait accueillie,pas lui.

-Arrête ça! Arrête! hurla-t-il.

Sans tenir compte de ses protestations, je redoublais d'efforts pour le maîtriser.

-Ou est Bones? Ou est-il?

-Bon Dieu,il a dit qu'il arrivait !

(...)

-Charles, dit Bones distinctivement, je serais curieux de savoir ce qu'elle faisait sur ton dos.

(...)

-Crois-moi, mon pote, je n'ai jamais pris aussi peu de plaisir à avoir une femme sur moi.A peine lui avais-je dis bonjour que ce démon en jupon m'a aveuglé en me lançant des cailloux dans les yeux. Ensuite elle a joyeusement tenté de me fendre le crâne avant de me menacer de m'enpaler avec une arme en argent si je bougeait le petit doigt! Moi qui ne suis pas venu en Amérique depuis quelques années, j'ai l'impression que l'accueil n 'est plus ce qu'il était !

Bones roula des yeux et lui tapa sur l'épaule.

-Je suis heureux de te voir sur pied , Charles, et la seule raison pour laquelle elle ne t'a pas tué, c'est qu'elle n'avait pas d'arme en argent sur elle.Sinon,elle t'aurait planté son pieu dans le coeur directement.

Elle a un peu tendance à tuer les gens avant même de faire les présentations.

-Tu exagères ! protestai-je.

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Il disait souvent que les victimes avaient moitié moins de droits que les accusés.

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Il fallait compter trois heures de route. Bones utilisa le GPS de son téléphone portable pour connaître l’itinéraire exact. Il adorait la technologie moderne. Nous fîmes le dernier kilomètre à pied. Nous avions garé la voiture de Tony sur le parking d’un supermarché et nous avions emmené notre prisonnier avec nous. Bones le menaçait à l’aide du poignard, un rictus malveillant sur les lèvres ; au moindre couinement, il l’enverrait ad patres. Alors que nous approchions, je vis que Lola vivait elle aussi dans un immeuble, quoique bien plus huppé que le mien ou celui de Charlie. Il était déjà 5 heures du matin, et qu’est-ce que je faisais ? Je rôdais de nouveau autour d’un immeuble.

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Sur ces mots, je lui lançai dans les yeux les cailloux que j’avais ramassés avec toute la force dont j’étais capable. Je savais que le coup ne serait pas mortel, mais j’espérais l’immobiliser pendant quelques secondes. Sa tête partit en arrière et je bondis sur lui, saisissant ma chance tant qu’il était aveuglé. Il chancela et nous tombâmes tous les deux par terre. Je saisis immédiatement sa tête et lui écrasai le visage contre le sol tout en lui jetant de nouveaux cailloux dans les yeux. Il se débattait avec une telle énergie que je faillis lâcher prise. Je grimpai alors sur son dos pour faire usage de mon poids et je l’enserrai avec mes cuisses de toutes mes forces.

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Je l’observai tandis qu’il s’affairait dans sa petite cuisine. Timmie mesurait un peu moins d’un mètre quatre-vingts, soit quelques centimètres seulement de plus que moi. Il avait les cheveux blonds et les yeux sombres. Il portait des lunettes et sa carrure chétive laissait encore deviner l’adolescent maigrichon qu’il était encore tout récemment. Pour le moment, mon radar interne n’avait rien repéré de menaçant en lui. Mais jusqu’ici, chaque fois que quelqu’un m’avait témoigné de la gentillesse, c’était pour des raisons beaucoup plus sombres. Danny, pour un petit coup d’un soir.

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— Pourquoi ta mère déteste-t-elle autant les étrangers ?

Comment lui dire la vérité ?

— Euh... tu te rappelles quand je t’ai dit qu’on avait un truc en commun parce que ni toi ni moi n’avions connu notre père ? Eh bien, mon histoire est un peu plus compliquée que la tienne. Mon père était... anglais. Il a violé ma mère lors de leur premier rendez-vous, et depuis... elle déteste les Anglais. Tu sais que mon copain est anglais, et moi je suis... à demi anglaise, ce qui a toujours ennuyé ma mère. Si elle apprend que je sors avec un Anglais, elle pensera que je l’ai trahie et que je suis devenue... une étrangère.

Timmie baissa le son de la télévision. Il eut un moment d’hésitation, puis il redressa les épaules.

— Cathy... c’est l’explication la plus stupide que j’aie jamais entendue.

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