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Tu sais ce qu'on dit le Diable est dans les détails.

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- Ma chère Faucheuse, dit Vlad, toujours hilare. Ne viendrais-tu pas de te rincer l'oeil sur nos...

- Non ! l'interrompis-je en me dirigeant précipitamment vers l'escalier. Je suis fatiguée et je n'ai pas recouvré tous mes esprits, et... et puis merde, je vais prendre une douche. Enfin, pas une douche froide, parce que je n'en ai pas besoin... (bon Dieu, je ne faisais qu'empirer les choses) parce que j'ai déjà froid, et j'ai très envie d'être chaude. Euh, d'avoir chaud, je veux dire. Oh, ferme-la, tu veux !

[...]

- Bones, dis-je dès qu'il décrocha. Je sais qu'on s'est vus ce matin, mais bon sang, ce que tu peux me manquer...

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Timmie me lâcha et adressa un sourire malicieux à Bones.

- Vous ne me menacez pas de m'arracher les bijoux de famille pour ce que je viens de faire ?

Bones haussa un sourcil.

- Pas pour le moment.

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[...]j'aurais désormais une tâche de plus à accomplir : trouver un psychiatre mort-vivant capable de soigner une goule traumatisée, et lui faire apprendre le langage des signes.

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Mencheres. Le Maître associé de la lignée de Bones, son grand père, un vampire d'une puissance inconcevable, et celui de nos alliés qui me déconcertait le plus, m'avait immobilisée par télékinésie pour permettre à Bones de satisfaire mes ardeurs sexuelles sur le trajet qui me menait à une cellule de confinement pour vampire ? Sainte Marie, mère de Dieu, par pitié, faites que tout cela ne soit qu'une hallucination auditive !

— Trouve-moi une lame en argent, parvins-je à articuler. Je vais me tuer.

— Ne t'inquiète pas, il nous a tourné le dos pendant tout le vol, répondit Bones sans s'émouvoir. Outre le fait qu'il savait que tu aurais été gênée, Kira n'aurait pas franchement apprécié qu'il regarde.

— Kira était là elle aussi?

Bon sang, je la connaissais à peine ! Et elle avait été assise à une ou deux rangées de nous pendant tout ce cirque ? Si j'avais encore été humaine, je me serais évanouie d'humiliation.

— Je t'avais avertie qu'il valait mieux que tu ignores les détails, répondit Bones avec un regard éloquent.

— Je ne mettrai plus jamais ta parole en doute.

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« — Non. Ce qui serait stupide, ce serait de tester le fonctionnement de sa meilleure arme pendant la bataille, et pas avant.

— Il y a des jours où tu me tapes vraiment sur les nerfs, Tepes, rétorquai-je sèchement.

— Et il y a des jours où je me demande comment tu as réussi à survivre si longtemps, riposta-t-il. Tu n'auras jamais de meilleure occasion de tester tes capacités. Comme Bones n'est pas là, ton plus gros souci s'envole, et tu peux risquer ma vie, parce que c'est un danger que j'accepte d'affronter. Les amis sont rares, mais pas irremplaçables. Maintenant, entrons dans le cimetière et commençons. Avant que Mencheres appelle et nous inflige l'une de ses assommantes leçons de morale.

Le visage de Vlad était resté dur comme du granit pendant la première moitié de son discours, mais il esquissa un sourire presque espiègle à cette dernière phrase. J'étais folle de rage après son commentaire dédaigneux sur mes capacités de survie, mais j'étais également désarçonnée par la nonchalance avec laquelle il envisageait ma réaction face à sa mort, et même amusée de constater combien un Maître vampire de plus de six cents ans pouvait encore se comporter comme «  un sale mioche cherchant à tromper la vigilance de sa nounou.

—Tu es l'une des personnes les plus étranges que j'aie jamais rencontrées, et vu les drôles d'oiseaux que je côtoie, ce n'est pas un mince exploit, parvins-je à dire en secouant la tête.

Il m'adressa un sourire effronté.

— Si ce n'est qu'aujourd'hui que tu t'en rends compte, Catherine, c'est que tu es encore plus attardée que je le pensais.

—Tu es vraiment d'une insolence sans bornes, Drac, répondis-je en riant malgré moi.

— Et toi, tu cherches à gagner du temps. Sors de la voiture et en piste. »

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" - Je n'arrive pas à y croire, s'émerveilla-t-il. Tu n'as absolument pas changé, à part, euh, que tu ne t'habillais pas comme ça avant, ajouta-t-il en contemplant ma tenue avec des yeux ronds.

Il fit mine de vouloir me serrer dans ses bras, mais se ravisa en voyant l'homme qui s'approchait de moi à grand pas.

- Vous ! éclata Timmie en pâlissant à vue d'oeil. Bon Dieu, Cathy, tu es toujours avec lui ?

Je me retins de rire face au ton désapprobateur de sa voix.

- Ouais. Et je l'ai même épousé.

Le sourire que Bones adressa à Timmie parvint à avoir l'air agressif, même s'il ne montra pas une canine.

- Elle est très appétissante, j'en conviens, mais si tu continues à cultiver ce genre de pensées, je t'émasculerai pour de bon cette fois-ci."

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" - Salut, Timmie, dis-je à voix basse.

Il leva vivement la tête, et je découvris un visage mal rasé, avec de fines rides aux coins des yeux et de la bouche. Il ne ressemblait plus vraiment au garçon maigrichon qui avait été mon voisin sept ans auparavant, à l'époque où j'étais étudiante le jour et chasseuse de vampires la nuit. Outre sa barbe de trois jours, les quelques années en plus et ses cheveux plus longs, il s'était également étoffé physiquement.

Il a mûri, mais ça lui va bien.

- Comment savez ... ? demanda-t-il.

Puis sa voix se brisa et il écarquilla les yeux.

- Cathy ? balbutia-t-il.

Il me regarda de la tête aux pieds, et son expression de surprise se transforma en un sourire qui lui illumina tout le visage.

- Cathy ! Je savais bien que tu n'étais pas morte !"

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Fabian ---> Vlad

- Tu n'as aucune idée de ce que c'est d'exister entre deux mondes, dit-il en s'approchant du vampire au lieu de s'en éloigner. Nous ne sommes ni vivants, ni morts. Il faut des années pour accepter que, contrairement à quatre-vingt-dix-neuf pour cent des personnes qui décèdent, nous restons coincés sur ce plan. Pour admettre que le travail de toute une vie à été réduit à néant, et qu'il n'en reste plus que la coquille vide des souvenirs. Il faut des années pour se remettre du fait que malgré tout ses efforts, il est impossible de communiquer avec ceux qu'on aime, parce qu'à part les fous, les médiums, les morts vivants et les autres fantômes, personne ne peut vous voir. Des années pour accepter - même si vous n'en comprenez pas la raison - que vampires et goules vous traitent comme de la vermine, alors qu'ils ne sont pas plus humains que vous.

Fabian avança encore, et son doigt disparut dans la poitrine de Vlad.

-Je mets au défi les plus forts d'entre vous de dire qu'ils ont vaincu les mêmes difficultés que celles que mon peuple a dû surmonter. Alors réfléchis à deux fois avant de critiquer la valeur d'un fantôme, ou de juger les plus jeunes d'entre nous, qui deviendront un jour plus résistants que n'importe quel être de chair et de sang !

Une fois la tirade de Fabian terminée, un silence surpris se fit dans la pièce. J'avais envie à la fois de me confondre en excuses et d'applaudir, mais j'étais encore sous le choc après avoir vu mon ami, d'ordinaire si doux, déverser un tombereau de provocations sur l'un des vampires les plus intimidants au monde. Jamais plus je ne sous estimerais la force de caractère des fantômes, ou je ne douterais de leur détermination. Ils n'étaient peut être plus incarnés, mais cela ne signifiait pas pour autant qu'ils manqueraient de courage.

Mes camarades étaient tout aussi interloqués que moi. Dave était littéralement bouche bée, et Mencheres enveloppa Fabian d'un regard qui disait clairement qu'il le considérait sous un tout autre jour. Quand à Vlad, son dédain blasé avait cédé la place à un intérêt non dissimulé alors qu'il regardait le doigt à moitié enfoncé dans sa poitrine.

( page 265 - 266 )

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Mais en toute franchise, même si je ne lui en avais plus voulu du tout, Mencheres m'aurait tout de même intimidée. Bones l'appelait « Grand-père » parce qu'il avait transformé le vampire qui avait à son tour changé Bones, mais d'apparence, le vampire égyptien semblait entrer dans la vingtaine. Et dans son cas, les apparences se révélaient trompeuses. Mencheres avait vu naître et s'effondrer la plupart des civilisations humaines, et ses capacités étaient franchement effrayantes. J'en savais quelque chose : j'en avais brièvement hérité après avoir bu son sang pour aider mes amis lors d'une bataille. Il m'avait fallu une semaine pour me remettre de la surcharge de puissance qu'avait subie mon corps. De mon point de vue, donc, la méfiance était de rigueur.

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