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— Raconte-moi ta journée et je t’en apprendrai de belles sur le sens de l’humour complètement tordu de Nisia, proposa-t-elle.

— Tu arrives trop tard, hbeebti. J’ai appris à mes dépens les penchants de Nisia à seulement trois cents ans, lorsqu’elle m’a annoncé d’un ton solennel que j’avais quelque chose dans le dos, une excroissance bénigne mais que je conserverais à vie. J’ai passé plusieurs jours à me tordre dans tous les sens pour essayer de la trouver.

Elena s’arrêta, une part de tarte à moitié dans la bouche, les yeux écarquillés.

— Qu’est-ce que c’était ?

— Tu as la même excroissance.

Elena se retourna instinctivement avant de grogner.

— Les ailes ? Elle s’est payé ta tronche comme ça ? Mon Dieu, elle est diabolique.

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Prenant une autre inspiration, tout en essayant de ne pas remarquer le picotement électrique sur son visage, Elena triangula la source de l'odeur à une cabine précise. Elle venait juste de commencer à marcher dans cette direction quand l'électricité disparue.

Les oiseaux cessèrent de chanter.

L'air gela.

Et la terre trembla sous ses pieds.

Elle s'arrêta. Un son inconnu la fit lever les yeux. Les étourneaux tournoyaient en cercle alors qu'ils murmuraient leur avertissement frénétique et incompréhensible à l'intérieur de son crâne.

Le sol bougea violemment.

Enlaçant ses ailes et serrant les dents contre le pouls renouvelé de la douleur, elle décolla du paysage tremblant. Les portes de la cabine s'ouvrirent au-dessous d'elle, des gens débordant comme des fourmis désorientées pour courir vers la pelouse.

Le sol sous les cabines commença à s'effondrer.

Elena se précipita pour attraper une jeune femme qui faisait demi-tour devant la terre qui disparaissait. Elena n'était pas assez forte pour porter un adulte sur une distance réelle, mais elle réussit à transporter la femme là où les autres invités pouvaient l'attraper, puis hurla à tout le monde d'aller plus loin.

Un cri divisa l'air.

Elena se retourna... pour voir un homme, ses bras et ses jambes s'agitant, disparaître dans le néant. Le sol s'était ouvert sous ses pieds dans un fracas de terre et de roche. Elle vola vers lui aussi vite qu'elle le pouvait, mais ce fut un effort vain.

Même quand elle atteignit l'endroit où il avait disparu, dans la gueule stygienne de la terre, le trou tentaculaire et glacial commença à se remplir d'un flot de magma rouge et or. Il n'y avait aucun signe de lui, aucun signe de l'une des cabines. Pas même une trace de chair ou un éclat de bois.

Le sol s’arrêta de trembler.

La terre cessa de s'effondrer.

Les oiseaux dansèrent.

Directement au-dessous d'Elena brillait une blessure dans la terre qui pulsait avec la chaleur brûlante.

Tout à coup, il n'y avait plus d'étourneaux dans le ciel d'hiver ensoleillé. Seulement des hurlement, des gens sanglotant sur le sol herbeux, près d'une fosse de lave qui n’aurait pas dû exister... et l'aile gauche d'Elena commença à traîner.

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- Dans ce cas, répliqua-t-elle, le visage déterminé, à nous de trouver comment botter le cul de la Cascade. (En empoignant sa tunique, elle l'attira contre elle et poursuivit :) Hors de question que je te laisse devenir le super méchant d'un mauvais film à cause d'un amour contrarié.

Raphael ne sourit pas, habité par la froideur du vide entre les étoiles.

- Je mettrai l'univers en pièces pour toi

Elena & Raphael (p. 347-348)

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The Legion sat. They held guard.

Time passed.

Others loyal to the aeclari came to the place where they slept, but they did not disturb the sleeping pair. The one the Legion thought of as the Blade entered only once, to ensure his archangel lived.

He told the Legion that the archangel was not in anshara, the deep healing sleep that also allowed reason. Raphael’s sleep was beyond that. He didn’t breathe. His heart didn’t beat. But he lived, his hair midnight under the filaments of white and his skin cracked with gold.

Of Elena, no one knew. The chrysalis was opaque to the healer who had watched Elena become an angel, and he left with sorrow-deep grooves in his face.

The one she called Bluebell stood often on the balcony, a silent sentinel.

A warrior child came to the house once. She demanded to see her sister, but the Legion knew this Elena would never permit. They were not mortal, but they had been enough in the mortal world to understand what it was to protect a young heart. But they did not have to tell the warrior child she could not see Elena.

The one called Montgomery, who often asked the Legion if they needed food or drink, did the task with a quiet voice, and gentle arms that held the warrior child close when she cried. But it was the Blade who spoke to the others, for they came to the Tower in search of Elena. Sara, the friend of Elena’s heart who spoke for all the other hunter warriors. Jeffrey, the father who was not a father. And Beth, a sister so scared of the Tower, but who came asking after Elena.

Others did not come, but the Legion heard the Storm with black wings talking to the Blade and they knew the Cadre watched New York. Where was Raphael? they asked. Where was his consort? When the one who had sent disease to the aeclari’s city thought to grasp at this land, the archangel who laughed and made women smile massed his forces on the diseased archangel’s border and peace held.

The Mother came. She fought with the Blade to see her son. The Blade would not move. “You are an archangel,” he told her when she threatened his life, “but he is my liege. I cannot allow you to pass.”

The Mother was very strong, but she was not mad. Not in this life. She fought bitterly, but she did not destroy. And she made it clear to the others of the Cadre that if they came for New York, they would come for her. The General who had once been the Mother’s sent his birds of prey and his wild cats to the city in a silent symbol of allegiance.

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Traduction perso :

— Raphael, voilà combien je t’aime, marmonna-t-elle dans son esprit.

La mer s’écrasa dans son esprit à nouveau, le vent sauvage lointain mais présent.

— Combien ?

Elena sursauta presque.

— Tu es toujours à portée ?

— Est-ce que c’est pour ça que tu marmonnes contre moi ? Parce que tu penses que je ne pourrais pas t’entendre ? J’ai le cœur brisé.

Maintenant il était en train de l’embêter.

— Je souligne juste le fait que chasser était plus rapide quand je n’étais personne, dit-elle d’un air sombre. Je n’avais pas à être gentille avec tes anges.

— Essaye de ne poignarder personne. Ce serait très difficile d’essayer d’expliquer que c’était un accident – particulièrement étant donné ton extraordinaire adresse.

Ses lèvres menacèrent de tressaillir.

— Pas de promesse.

_________________________________________________________

Raphael, this is how much I love you, she muttered inside her mind.

The sea crashed into her again, the storm winds distant but present. How much?

Elena nearly jumped. You’re still in range?

Is that why you are muttering at me? Because you thought I would not hear? I am heartbroken.

Now the man was messing with her. Just pointing out hunting was faster when I was a nobody, she said darkly. None of this making nice with your angels.

Try not to stab anyone. It would be most difficult to attempt to explain that as an accident—especially given your stellar aim.

Her lips threatened to twitch. No promises.

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- Quant à Favashi, Elijah pense comme toi qu'elle est complètement enivrée par son nouveau pouvoir.

(...)

- Favashi a toujours été l'une des plus humaine du Cadre. (...) Certes, elle reste une Archange, avec la distance que ça implique. Il n'y a que toi pour être assez idiot pour tomber amoureux d'une mortelle et devenir un tout petit peu humain.

Raphael & Elena (p.62 - 63)

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-On dirait que la Cascade n'apprécie guère.

-On emmerde la Cascade

Elena & Raphael (p. 343)

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Elena se rendit directement dans sa suite pour dévorer deux sandwichs monstrueux et boire encore de la mixture de Nisia. Après quoi elle alla retrouver la soigneuse pour la questionner sur cette faim incessante.

- C'est à croire que j'ai un ténia. Un ténia immortel, bien sûr.

Bien qu'assise, Nisia parvint à regarder Elena de haut.

- Tu n'as pas de parasite.

- Tu as vérifié ?

Les Immortels avaient tendance à présumer de certaines choses, comme s'ils ne pouvaient jamais être sujets à des vicissitudes parfaitement humaines.

- Je ne suis pas totalement immortelle. Je pourrais bien abriter un ver dans mes intestins.

- Pas en vivant dans cette partie du monde, non. A moins que tu n'aimes que la viande importée d'origine douteuse. Et de toute façon tu n'as rien, les tests l'auraient montré sinon.

Elena la dévisagea.

- Tu fais donc un peu de médecine moderne ?

- Non, je préfère soigner mes patients à coups de sangsues. (Un rictus aux commissures.) Allez, file, que je puisse me concentrer sur les résultats des examens. Bien que...

Une menace pesa dans l'air.

- Bien que quoi ?

- Il y a un parasite que je n'ai pas pris le soin de chercher.

Le cœur d'Elena battit la chamade tandis que Nisia s'avançait pour poser sa main sur son abdomen.

- Pas la moindre étincelle de pouvoir, annonça-t-elle. Et compte tenu du patrimoine génétique du donneur, ce devrait être un feu d'artifice.

- Quoi ? demanda à nouveau Elena.

Nisia haussa un sourcil.

- Si jamais tu étais enceinte...

- Bon sang, Nisia, tu ne peux pas me balancer des trucs pareils.

De retour dans son fauteuil, la soigneuse balaya son indignation d'un geste de main.

- Tu n'attends pas d'enfant, inutile de paniquer.

- Je ne panique pas, couina-t-elle.

Elle n'était absolument pas prête pour un bébé.

- Mais oui, bien sûr. Tu es bien trop jeune de toute façon. Mais avec la Cascade... (Elle haussa les épaules.)... je me suis dit qu'il valait mieux s'en assurer.

- Je vois. (Elena avait le vertige rien que d'y penser.) Attends un peu. Tu as vraiment traité le potentiel bébé de parasite ?

- La définition stricto sensu d'un parasite est celle d'un organisme vivant sur ou à l'intérieur d'un hôte dont il se nourrit. Donc techniquement, tous les fœtus sont des parasites. Un fœtus avec de l'ADN d'Archange sera juste un super parasite, répondit-elle d'un ton enjoué. Il te pompera toute ton énergie, tu as donc intérêt à être vraiment âgée et puissante avant de te mettre à rêver de layettes pour petites ailes.

Elena plissa les yeux et pointa un doigt menaçant.

- Ça te fait marrer de faire passer mon futur rejeton... (Serait-elle un jour véritablement prête pour cette éventualité ?)... pour une sangsue venue des enfers ?

Nisia se contenta de sourire béatement.

- Étonnant, ce qui peut arriver lorsqu'on remet en cause le diagnostic d'une soigneuse vieille de quatre mille ans pour une histoire de ténia...

- C'était juste une question ! s'indigna Elena, qui préféra opérer une retraite stratégique avant que Nisia ne lui suggère de nouvelles visions cauchemardesques. Des parasites, marmonna-t-elle dans sa barbe. Pas étonnant qu'elle ne travaille pas en obstétrique angélique.

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"Les vieux immortels n'étaient pas toujours très rationnels. Décapiter son voisin dans un accès de colère était si vite arrivé ..."

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- Le Sire regarde ton dos, marmonna Galen, bougon. Si je ne savais pas qu'il était profondément amoureux d'Elena, je devrais le rosser pour oser d'observer avec autant d'intensité.

Galen à Jessamy (p. 334)

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