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Mais lorsqu'elle tourna la tête pour rencontrer son regard alors qu'il s'accroupissait sur le bord de la piscine, ce qu'elle y vit arrêta net sa respiration qui resta coincée au fond de sa gorge.

— Quoi ?

S'avançant, Raphaël attrapa les boucles d'argent qu'elle avait aux oreilles.

— Ce qu'affirment ces anneaux est maintenant un mensonge.

Il ferma la main et lorsqu'il la rouvrit, de la poussière d'argent tomba en scintillant sur l'eau fumante.

— Oh.

L'argent non ouvragé était porté par ceux qui n'étaient pas attachés - homme ou femme.

— J'espère que tu as de quoi les remplacer, dit-elle, en bougeant, ses ailes merveilleusement gorgées d'eau. Elle s'installa, les bras appuyés sur le rebord, de manière à pouvoir lui faire face. Celles-là venaient d'un marché de Marrakech.

Il ouvrit son autre main et une autre paire d'anneaux miroita, lançant ses reflets vers Elena. Aussi petites, aussi pratiques pour une chasseuse, mais d'un ambre superbe, naturel.

— Maintenant, tu es bel et bien liée, dit-il en les lui mettant aux oreilles.

Elle regarda fixement l'annulaire de Raphaël, et la possessivité déchaîna une tempête en elle.

—Où est ton ambre à toi ?

—Tu ne m'en as pas encore fait cadeau.

— Trouves-en à porter jusqu'à ce que je puisse te donner quelque chose. (Car il n'était pas libre, n'était pas ouvert à l'invitation de celles qui voudraient coucher avec un Archange. Il lui appartenait à elle, une chasseuse.) Je ne voudrais pas qu'il y ait des taches de sang sur la moquette parce que je devrais tuer toutes ces putains de vampires qui minaudent.

— Elena, toujours aussi romantique.

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Son corps entier s'emplit d'une colère propre et nette. Elle possédait une sorte de pureté qu'Elena n'avait jusqu'alors jamais éprouvée. Le monstre souriait comme ses soeurs gisaient, mortes dans leurs tombes, quand le corps de sa mère se balançait pour toujours sur le mur de sa mémoire, y créant une ombre qu'elle n'oubliarait jamais.

Sa colonne vertébrale se fit d'acier, un acier forgé par les feux de l'affliction.

- Aodhan, dit-elle, sachant que Lijuan ne pourrait deviner son intention, ne pourrait imaginer qu'elle oserait, cela t'ennuierait-il de t'agenouiller pendant une seconde?

L'ange se baissa, se mit gracieusement à genoux, la tête penchée... pour lui permettre d'atteindre les épées qui étaient couchées à plat contre le milieu de son dos. Faisant glisser une de ces lames mortelles hors de son fourreau, elle coupa la tête souriante de Slater Patalis d'un seul coup franc, sa force nourrie par des décennies de souffrance.

[...]

- Sera-t-elle capable de le faire se relever de ça? demanda-t-elle à Raphael d'une voix sans inflexion, sans pitié.

[...]

- Peut-être. (Le feu bleu encercla la main de Raphael.) mais cela devrait assurer une mort permanente.

Une sombre poussière grise remplaça ce qui était resté du pire vampire tueur de l'histoire.

La scène n'avait duré que quelques secondes. Tenant encore l'épée, Elena rencontra le regard de Lijuan.

- Mes excuses, dit-elle dans le lourd silence qui s'était installé, mais le cadeau n'était pas à mon goût.

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- des yeux pale argent regardant les sien. l'amour pensa t il comme il la serrait contre son coeur, était une souffrance au dela de toute compassion.

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Raphaël atterrit près de la forme prostrée au sol d'Elena, sa rage admirablement aiguisée.

- As-tu provoqué cela ? demanda-t-il au vampire en prenant la jeune femme dans ses bras, avec précaution, tant de précautions.

Venin essuya le sang qu'il avait sur le visage.

- Je ne lui ai rien dit de pire que ce que j'avais pu lui déclarer auparavant. (Son regard s'attarda sur Elena.) Je crois que je lui ai lancé une boutade sur le fait de la goûter.

- Tu sais que je te tuerai si tu tentai une chose pareille.

- Notre tâche est de vous protéger contre des menaces - particulièrement celles que vous pourriez ne pas reconnaître. (Les yeux de Venin rencontrèrent ceux de Raphaël.) Michaela, Astaad, Charisemnon, chacun d'entre eux essaiera de l'éliminer à un moment ou à un autre, sachant que cela vous secouera. Il vaut mieux se débarrasser maintenant du problème.

Raphaël déploya ses ailes, se préparant à décoller.

- Elle est plus importante pour moi que vous tous. Ne l'oublie jamais.

- Et vous êtes un Archange; Si vous tombez, des millions mourront.

La suite resta tue - mieux valait qu'un ange nouveau, jadis mortel, meure en son lieu. Mais c'était un marchandage que ne ferait jamais Raphaël.

- Choisis ta loyauté, Venin.

- Je l'ai fait, il y a deux cents ans. (Ses yeux fendus jetèrent un bref coup d'œil à la chasseuse.) Mais si elle courtise la mort, elle la trouvera.

Bien conscient de ce dont parlait le vampire, Raphaël s'éleva dans le ciel, serrant Elena contre son cœur. Il était inévitable qu'il se souvienne de la dernière fois où il l'avait tenue ainsi, si affaiblie. L'immortalité ne l'avait pas plus mise à l'abri, mais la rendait seulement probablement plus capable de survivre aux blessures qui ne manquerait pas de se présenter sur son chemin. Pour autant, il ne pouvait rien faire pour la protéger des souvenirs qui la hantaient.

L'appel mental de Galen était presque arrivé trop tard. Si Elena s'était débrouillée pour toucher les yeux de Venin, la créature au sang froid qui vivait dans le sein du vampire aurait frappé, plantant ses crocs dans la chair vulnérable de la jeune femme.

Cela l'aurait laissée paralysée, dans une intolérable douleur.

Et une fois prisonnière de l'étreinte du cobra et de sa faim, il était possible que ce dernier lui tranchât la tête avant que Galen ne puisse intervenir, provoquant une vraie mort.

L'allongeant sur leur lit, il atteignit son esprit. Elena.

Elle grogna, bougeant la tête d'un côté et de l'autre, comme si elle livrait une sauvage bataille à l'intérieur d'elle-même. La promesse que Raphaël avait faite - de garder sa distance mentale - se disputait en lui avec le sentiment de possessivité qui serrait son âme. La pulsion était encore plus forte aujourd'hui qu'elle ne l'était hier. Cela serait vraiment facile de l'atteindre et d'effacer ce qui la blessait.

Je préfère mourir en étant Elena que vivre comme une ombre.

Balayant de son visage des mèches de cheveux emmêlées, il répéta son ordre à voix haute.

- Elena.

Ses yeux s'ouvrirent en papillonnant, et, le temps d'un instant, ils n'eurent pas ce gris argent auquel l'Archange s'était habitué. au lieu de cela, ils étaient presque couleur de minuit, empreints des échos de milliers de cauchemars. Puis elle cilla, et cela fut terminé. Elle leva le regard vers lui, une expression confuse sur le visage, et se frotta le front.

- J'ai l'impression d'avoir été renversé par un camion. Que s'est-il passé ?

- J'ai dû intervenir quand tu as décidé de faire de l'entraînement un combat à mort.

- Je me souviens. (Un murmure.) Est-ce que Venin va bien ?

Sa main retomba de son visage.

- Oui. (Mais c'était elle qui inquiétait Raphaël.) Les souvenirs ont commencé à s'infiltrer dans ta vie éveillée.

Elle se releva pour s'asseoir.

- C'était comme si j'étais devenue une personne différente. Et pas seulement ça - comme si j'étais une machine concentrée sur un seul but.

- Cela ressemble au Calme.

Elle frissonna au souvenir de ce qu'il était devenu dans le Calme, la créature sans âme qui avait traité des vies humaines comme des flammes sur lesquelles elle pouvait souffler sans effort.

- Crois-tu que cela soit lié au changement, à l'immortalité ?

- Un facteur. (Il acquiesça.) Mais peut-être est-il juste temps.

Le temps qu'elle se rappelle toutes les choses qu'elle préférait oublier.

- Je veux parler à mon père.

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-Pourquoi l'as-tu emmenée ici? (une stridente voix deminin) c'est une enfant.

Une large main autour des siennes lui donnant le courage de rester droite.

-Elle merite de voir ses soeurs une derniere fois?

-Pas comme cela!

-Beth est trop jeune, reprit l'homme, mais pas elle. Elle sait ce qui s'est passée. Mon dieu, elle a tout vu.

-Sa mère....

-...hurle à chaque fois que l'effet des medicament s'estompe, hurle jusqu'a ce que les medecin lui en administrent de nouveaux. Des mots plats. Je ne peux pas aider Marguerite, mais je peux aider Ellie. Tout est embrouiller dans son esprit. Elle n'arrete pas de demander si le monstre a rendu ariel et mirabelle comme lui.

-Je ne te laisserai pas faire ça.

-Essaie de te mettre sur mon chemin.

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—Que me ferais-tu si jamais je commettais un acte qui te rende aussi furieux contre moi ?

—La seule chose qui pourrait me rendre ainsi serait que tu couches avec un autre homme. (Une calme déclaration contre son oreille.) Et tu ne me ferais jamais ça, Elena.

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Raphaël regarda Elena entrer dans la pièce avec sa main éraflée, son pied à la remorque, et se demanda si, après tout, il ne lui faudrait pas tuer le leader de ses Sept.

— Je vais l'attraper et le mettre à mort, déclara la jeune femme en se laissant tomber sur un canapé du salon. Et je compte en apprécier chaque minute.

Devant l'expression assoiffée de sang de son visage, Raphaël décida de lui laisser Dmitri.

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Glop.

Glop.

Glop.

- Viens là, petite chasseuse, goûte.

Du sang dans l'air, sur les murs, sous ses pieds.

- Ari ?

- Ari fais une gentille petite sieste.

Un ricanement qui lui donna envie de courir, courir, courir !

- Mmm, Je crois que je préfère Belle.

Un doigt recouvert de rouge levé jusqu'à sa bouche, pressé contre ses lèvres.

Du sang s'infiltrant sur sa langue.

Le sang de sa sœur.

Ce fût là qu'elle hurla.

Elena agrippa la rambarde du balcon et regarda fixement la gorge accidentée qui s'offrait à sa vue. De là où elle se trouvait, les pierres ressemblait à des dents aiguisées, prêtes à mordre, à déchiqueter, à déchirer. Elle raffermi sa prise car le vent glacé menaçait de la faire dégringoler dans ses mâchoires sans pitié.

- Il y a un an, murmura-t-elle, je ne savais même pas que le Refuge existait, et aujourd'hui, voilà que je m'y tiens debout.

Une vaste ville de marbre et de verre étalait dans toutes les directions ses lignes élégantes et délicates sous la brûlure du soleil, vif comme celle du rasoir. Des arbres aux sombres feuillages offraient de calmes oasis de verdure de part et d'autre de la gorge qui coupait la ville, imposante marque de division. Des montagnes aux sommets enneigés dominaient la ligne d'horizon. Il n'y avait ni route, ni gratte-ciel pour perturber la grâce surnaturelle de l'ensemble.

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La professeur la toucha d'une main hesitante.

- Elena?

- Oui,repondit-elle,obligeant lrs mots à franchir le couperet brutal de la memoire. Oui j'aimerais saluer Sam.

-Allez-y , je reconduis les autres enfants jusqu'a l'ecole.

Elena reussit à sourir et à fermer la porte sur tout ce qui n'etait pas l'instant present.Puis, elle franchit le seuil de la chambre de sam.

-Alors c'est comme cela que tu arrive à échapper à la redactionde tes devoirs?

Une eteincelle dans ce regard dont elle s'etait inquietée qu'il reste terne a jamais.Selon Keir, Sam n'avait aucun souvenir de son enlevement-probablement le resultat de sa blessure a la tete.Il y avait de bonnes chances pour que cela lui revienne plus tard, et les guerrisseurs et ses parents prevoyaient de le preparer a cette eventualite plus tard.Il serait a ce moment la plus si tout aller bien.Et il serai capable de faire face à ce qui s'etait passer lors de cette terrible nuit.

-Non repondit le petit garcon , la voix rauque, elle a dit qu'il faudrait que je rattrape.

-Cela lui ressemble, chuchotta Elenaavant de montrer les cadeaux de la main .Tu as un beau butin .

-Tu m'as apporter quelque chose?

Elle grimaca

-A ton avis? J'ai meme demander a tes parents si je pouvais te le donner

L'exitation le poussa de l'avant.

-Qu'es-ce que c'est?

-Hé , attention !

Le reinstallant sur le lit, elle mit sa main dans sa pochepour en sortir une petite dague pliée dans un etuit de metal au dessin compliqué.

Les yeux du garcon s'ouvrirent demesurement lorsque Elena la lui mit dans la main.

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— Tu me tortures, Elena.

Ses dents se fermèrent sur sa chair, d'une manière peu délicate.

Elle glapit, un son haut perché, surprise.

— En quel honneur ?

— Cela fait plus d'un an que je pratique le célibat, Chasseuse de la Guilde. (Une large main vint hardiment se placer en coupe sous le sein de cette dernière, des doigts puissants, mâles, indubitablement, se firent sentir contre sa peau.) Le besoin me porte sur les nerfs.

— Quoi ? Tu n'as pas trempé ton biscuit dans le miel d'une vampire pendant que j'étais hors jeu ?

Raphaël pinça son téton juste assez durement pour qu'elle comprenne qu'elle avait franchi une limite.

— Tu fais si peu cas de mon honneur ? lui demanda-t-il.

Un froid glacial rafraîchit l'atmosphère.

— Je suis jalouse et frustrée, rétorqua-t-elle. (Se penchant en arrière de manière à presser la paume de sa main contre sa joue, elle ajouta :) Et je sais que j'ai l'air d'une merde !

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