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Raphael, je pars dans des régions inconnues avec ce vampire qui n'en est pas un.

Il a promis de ne pas mordre sans prévenir.

Imaginant la revanche diabolique qu'elle prendrait pour punir Raphael de la taquiner ainsi sans vergogne, elle suivit l'homme aux yeux argentés qui continuait à lui titiller les sens alors que la partie primaire de son cerveau se tenait prête au combat.

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- J'espère que tu terrifieras le salaud qui lui a fait ça, ou je le trouverai moi-même et m'occuperai personnellement de lui couper les testicules après l'avoir battu jusqu'au sang.

- Une excellente punition. Sois assurée qu'elle sera appliquée.

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- L'éternité n'aurait aucun sens sans toi. Je n'échangerai mon Elena contre aucun pouvoir en ce bas monde.

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Elle ne s'était jamais attendue à rencontrer quelqu'un comme lui, à tomber amoureuse si profondément, follement, désespérément - et parfois, le bonheur de leur engagement passionné la terrifiait. La peur de le perdre comme elle avait perdu ses sœurs et sa mère rôdait toujours dans un coin de son esprit.

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Sa sœur devait guetter son arrivée depuis sa cachette, car lorsque Elena se posa sur la pelouse manucurée devant l’imposant bâtiment de briques rouges, elle arriva en courant.

Eve avait fêté ses onze ans une semaine plus tôt, mais elle semblait bien plus jeune ce jour-là, le visage marbré, ses sanglots profonds et silencieux à briser le cœur.

— Ma puce, lui dit Elena en repoussant d’un geste de la main un enseignant qui faisait son apparition sur les marches du perron.

Le vieil homme en costume fronça les sourcils mais obtempéra, rentrant dans le bâtiment en poussant les lourdes portes en bois, sculptées d’un genre d’armoiries.

Prenant sa sœur en uniforme dans ses bras, Elena serra les dents et parvint à un décollage vertical uniquement à la force de sa volonté. Si on se fiait aux connaissances disponibles sur le développement angélique, elle n’aurait pas dû être déjà capable d’une telle manœuvre, son corps n’ayant pas formé la musculature nécessaire, mais l’idée d’être coincée au sol et impuissante était insoutenable – elle avait donc appris à décoller. Le geste n’était pas gracieux et il était douloureux, mais elle pouvait le faire.

Elle aperçut en passant devant les fenêtres de l’école l’excitation qui y régnait. Bien. Personne ne taquinerait Eve au sujet de ses larmes maintenant ; les autres élèves seraient bien plus intéressés par ses histoires de vol.

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— Donc, la patiente veille sur le guérisseur.

— La patiente sait que si elle est de nouveau blessée, elle aura besoin de lui, donc, c'est se rendre service à soi-même.

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Raphael à Elena :

« Je ne connaissais pas la peur avant toi, Elena. Utilise judicieusement ce pouvoir. »

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-Étroit, mais nous pouvons entrer si nous inclinons nos corps. J’irai en premier.

-C’est moi la chasseuse, lui rappela Elena. Je devrais être en tête.

-Bien sûr que tu peux passer d’abord. Quand je serai mort.

Elle crut un instant, à ces paroles prononcées d’un ton éminemment raisonnable, que Raphael venait d’acquiescer, puis elle prit un air renfrogné et sortit son arbalète.

-Vas-y. Nous discuterons de tes tendances autocratiques plus tard.

-J’en meurs d’impatience.

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Poussière de cuivre et cannelle avec un arrière-fond de chêne brûlé.

Complexe, intéressante et unique.

- J’ai toujours voulu te demander quelque chose, dit-elle dans une tentative délibérée d’éloigner son esprit de la nature répugnante de l’attaque contre la ville. (Et après les commentaires de Raphael sur la tactique de « ramollir » une ville, il lui restait peu de doutes que ce fût exactement ce qui s’était produit.) Tu sens les mêmes choses que moi ?

Ransom fit une grimace quand elle décrivit ce qu’elle avait saisi du vampire qui passait.

— Ouais, sauf que je dis pas des conneries comme « cannelle avec un arrière-fond de chêne brûlé ». Je dis « le mec sent comme un arbre grillé avec un côté nappage de donut ».

S’étouffant d’un rire inattendu, elle appuya son bras sur l’épaule de son collègue et jeta un coup d’œil à la carte, consciente des deux nounous promenant une poussette et s’arrêtant pour prendre en douce des photos d’eux depuis le trottoir opposé de cette rue tranquille.

— Donc, à qui va-t-on rendre visite ? (Une trace d’agrumes, forte et nette.) Sympa, le shampoing.

— C’est du citron, patate. Ma grand-mère dit que c’est le meilleur moyen de se débarrasser des mauvaises odeurs.

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Sans dire un mot et conscient qu’Elena jurait derrière lui tout en se dépêchant d’enfiler ses vêtements, il sortit et descendit dans la cour. Lorsqu’elle arriva quelques minutes plus tard, elle portait un pantalon de combat kaki et un débardeur noir spécialement conçu pour accommoder ses ailes. Tout comme lui, elle était pieds nus, mais avait ses couteaux alors qu’il était sans armes.

Un équilibre juste, compte tenu de la force et de la vitesse extrêmes de Raphael.

Lorsqu’il lui fit un geste de main l’invitant à avancer, elle rétrécit le regard et jeta l’une de ses lames en direction du visage de l’Archange. Il fut juste assez déstabilisé par ce lancer inattendu pour qu’elle ait presque le temps de l’atteindre au ventre avec le second couteau. Souriant largement, il évita le coup en tournant sur lui-même, la frappant de son aile au passage.

Ce n’était pas censé la blesser, seulement la distraire à son tour, mais Elena avait appris de leurs précédentes sessions, et elle épousa son mouvement, cherchant de sa lame l’aile de Raphael. Son affiliée avait tendance à faire des erreurs lorsqu’elle était en colère, mais pas ce jour-là – il avait réussi à la faire sortir de ses gonds au point qu’elle luttait avec une rage glaciale.

Évitant à peine la morsure du métal, il battit une fois des ailes pour se soulever légèrement du sol afin d’esquiver un nouveau coup.

— Un peu lent, hbeebti.

Elle sourit à la taquinerie… et lança son deuxième couteau directement vers l’aile de l’Archange. Positionné comme il l’était, il ne put l’éviter à temps, et il se retrouva épinglé au mur. Mais il était un Archange, et il l’avait retiré une microseconde après, son corps déjà prêt à faire face au mouvement suivant.

— Maintenant, tu n’as plus de couteaux, dit-il, l’excitation se répandant dans son sang, pendant qu’il parait à ses coups de poing et de pied.

Elena ne pouvait pas vraiment lui faire de mal, pas pour le moment, mais son style de combat était unique, elle l’avait développé alors qu’elle retravaillait son entraînement de chasseuse et adaptait les leçons de Galen à ses forces et à ses vulnérabilités personnelles. Et parce qu’elle n’avait pas été une ange toute sa vie, elle ne savait pas qu’elle n’était pas supposée être capable de faire certaines choses. Elle se contentait d’aller de l’avant et de passer à l’acte.

Cet élément de surprise rendait chaque entraînement aussi amusant pour lui qu’il l’était généralement pour elle.

Elle était maintenant proche… et soudain, elle pointa deux nouvelles lames vers le cou de Raphael. Les bloquant d’une manœuvre qu’il avait apprise d’Alexander avant que l’Archange ne commence à le voir comme une menace, il lui montra les dents.

— C’est de la triche.

— Oh ? (Un sourire mielleux.) Je ne m’étais pas rendu compte qu’on faisait preuve d’esprit sportif.

Un autre jaillissement de lames, leurs corps se déplaçant avec une vitesse et une fureur qui avaient attiré une audience intriguée de trois personnes – Keir, Isabel et Naasir. Ils assistaient tous au spectacle tous depuis leurs balcons qui encerclaient la cour, et quelqu’un applaudit quand Elena parvint à toucher l’avant-bras de Raphael, et à faire couler son sang.

Ignorant la coupure, il toucha la joue d’Elena du plat de la lame qu’il avait retirée de son aile, pour marquer un coup. Il s’assura de ne pas la couper, car son amante passionnée, superbe, ne guérissait pas aussi vite que lui, mais elle ne fit aucun effort pour dissimuler sa rage de ce qu’il soit parvenu si près d’elle. Se mettant hors d’atteinte avant qu’elle ne puisse tirer avantage de sa proximité, Raphael la contourna pour l’attaquer par-derrière.

Elle jeta ses couteaux par-dessus ses épaules sans se retourner.

Surpris par cette tactique inattendue, il en prit presque un dans la poitrine, son agilité seule le sauvant d’une blessure qui aurait pris au moins dix minutes à guérir. Se tournant à l’instant où les lames quittaient ses mains, Elena le balaya d’un coup de pied, profitant du déséquilibre momentané de l’Archange, mais elle avait oublié ses ailes.

En attrapant une, il la tira vers lui, sa lame contre la gorge de la jeune femme.

— J’ai gagné, dit-il.

Ils étaient tous deux haletants.

La pointe d’une piqûre contre son cœur d’Archange.

— Tu veux parier ? demanda-t-elle.

Un large sourire aux lèvres, il pencha la tête pour l’embrasser, s’attendant à moitié à ce qu’elle plante son couteau en lui, tant elle était furieuse. Mais elle lui rendit son baiser, le sien sexy, sauvage et humide, sa langue frottant contre celle de son homme.

— Tu me provoques encore une fois avec Tasha, dit-elle dans un murmure rauque lorsqu’ils mirent un terme à leur baiser pour reprendre leur souffle, et je te castrerai.

Raphael grimaça.

— Cela prendrait au moins une journée entière à guérir. Es-tu sûre de vouloir perdre mes… attributs pendant si longtemps ?

Un tic à ses lèvres, son regard lumineux. Il pouvait la voir lutter pour réprimer son sourire, mais c’était une bataille perdue d’avance et elle fut bientôt pliée en deux, mains sur les genoux, son rire telle une couleur vive dans l’air.

-Pour la première fois, je t’envie, Raphael.

Levant les yeux, le concerné rencontra le regard de Keir.

-Toutes les maîtresses ne réclament pas le sang de leur homme.

Le rire de Keir était doux, quand, lui faisant au revoir de la main, il rentra dans sa suite. Ce fut Naasir qui sauta dans la cour avec une grâce sauvage. Ramassant les couteaux éparpillés, il les tendit à Elena qui se tenait maintenant droite et essuyait ses larmes de rire.

— Merci, parvint-elle à articuler avant de cacher ses lames à une telle vitesse que Raphael ne pouvait suivre ses mouvements ni dire où exactement elle les avait dissimulées.

— Pourquoi as-tu triché ? demanda le vampire, tête dressée. Avec les couteaux ?

— Heu, je luttais contre un Archange qui peut m’écraser comme un insecte. Bien sûr que j’allais tricher, en particulier puisque nous avions un compte à régler.

Naasir la fixa, puis sourit largement.

— Nous nous entraînerons quand je serai à New York.

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