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Extrait ajouté par Julie1983 2014-03-15T17:10:04+01:00

« Elle imprima un geste sec à son bras et recula d’un pas.

— N’amenez plus jamais une de vos conquêtes sous mon toit ! l’avertit-il d’une voix menaçante en levant l’index devant elle.

— Vous êtes grossier ! Martin n’était pas une conquête, mais celui que je pensais être l’homme de ma vie. Et jusqu’à preuve du contraire, le seul capable de prétendre au titre de conquête, c’est « vous. Et je vous rappelle que vous êtes chez vous ! Cela signifie-t-il que je doive vous mettre dehors ?

Adrien redressa la tête, stupéfait, et ne trouva rien à redire.

— Si vous avez terminé, j’aimerais pouvoir disposer de mon jour de congé ailleurs qu’enfermée dans votre bureau, ajouta-t-elle. L’air y est irrespirable !

Elle le regarda une dernière fois dans les yeux avec humeur et lui tourna le dos. Subitement, il l’attrapa par les deux épaules et la plaqua dos contre la porte.

 Ça commençait à devenir une habitude…

Gabi se sentit suffoquer quand il lui glissa à l’oreille d’une voix rauque :

— L’envie de vous y garder prisonnière risque fort d’avoir raison de vos projets.

Et sans autre forme de procès, il l’embrassa. »

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Extrait ajouté par BelleEtoile 2014-04-16T10:25:17+02:00

— Eh bien... puisque vous me posez la question...Il semblerait que vous m'avez percé à jourr puisque vous faites mention de mes travers psychologiques. Je me dois de vos répondre avec franchise: j'ai failli laisser la folie qui m'habite vous demander de vous occuper de mes enfants, heureusement, vous venez de me remettre les idées en place. Avez-vous bu?

Gabi se redressa lentement, ouvrit de grands yeux et battit plusieurs fois des paupières.

— Qu... quoi? Mais... mais non! Absolument pas! Vous... vous me renvoyez?

Un éclat de malice brilla dans les prunelles de son probable ex-futur patron, ce qui, au lieu de l'inquiéter, la rassura presque.

— Je ne suis pas encore tout à fait décidé. J'hésite entre ça et vous faire subir mille tortures. Pourquoi réagissez vous de cette manière si vous n'êtes pas ivre?

— Mais c'est vous qui... qui...

Il croisa les bras sur sa poitrine pour la considérer avec ironie.

— Ah, non. je vous assure que je suis totalement sobre.

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Extrait ajouté par Missy68 2014-06-11T18:41:40+02:00

Furieuse, elle le planta sur le trottoir, tapa le code pour ouvrir la double porte sculptée. D'une allure énergique, elle traversa la première entrée et pénétra dans la maison en oubliant qu'elle venait d'annoncer à tout le monde qu'elle sortait se promener. eh ben, tant pis ! Elle préférait avoir l'air de quelqu’un qui ne sait pas ce qu'il veut plutôt que de passer une minute de plus avec Martin. Mais elle n'avait pas fait trois pas que son patron lui barrait la route.

- Vous ! Dans mon bureau tout de suite, j'ai à vous parler !

Le ton de sa voix pétrifia Gabi sur place. Pour autant, elle ne se laissa pas démonter.

- Nous pourrions peut-être voir ça lundi, pendant mes heures de travail ?

- Maintenant ! gronda-t-il.

Elle fit la grimace et se contraignit à le suivre dans l'immense escalier qui menait au premier étage, sous les yeux effarés de l'Américaine et de la gouvernante. Là, ils bifurquèrent à gauche et Adrien poussa la porte que Gabi avait essayé d'ouvrir en vain une semaine plutôt. Son bureau privé.

- Asseyez-vous ! lui ordonna-t-il en prenant palce sur son fauteuil.

Gabi obtempéra et se tint le dos bien droit.

Il prit un air sévère.

- Lorsque je vous ai engagée, j'ai pensé que vous étiez non seulement une jeune femme intelligente, mais que vous aviez également du savoir vivre. Or, vous possédez l'un, mais pas le second.

- Je vous demande pardon ? s'étouffa Gabi.

- Il ne m'a pas paru nécessaire d'indiquer dans votre contrat de travail qu'il ne vous était pas permis d'inviter des étrangers sous mon toit, tant cela coulait de source, ni même d'embarquer ma fille avec vous dans une garçonnière.

Manifestement, je me trompais.

Une garçonnière ? Son appartement ? Gabi senti le rouge lui monter aux joues, mais celui de la colère qui était en train de l'envahir complètement.

- Monsieur de Bérail, commença-t-elle. Je vais tâcher de vous répondre sans vous manquer de respect, mais il me semble qu'en termes de savoir-vivre, nous avons tous nos failles. La vôtre est indéniablement de ne donner le bénéfice du doute à la personne, d'accuser pour gagner. Défaut professionnel, me direz-vous. Il n'empêche que c'est pour le moins désagréable. Je n'ai pas demandé à Martin de me rendre visite, je ne lui ai même jamais laissé entendre que c'était possible. Il est venu de son propre chef. Par ailleurs, je n'ai pas emmené Sophie chez lui, mais dans mon appartement que je sous-loue à Martin.

- Qui est votre petit ami, précisa-t-il sèchement. Sachez que j'apprécie très moyennement que mes employés roucoulent dans ma maison.

- Je n'ai pas roucoulé dans votre maison, s’insurgea-t-elle. Et ce n'est pas mon petit ami.

Il se pencha un peu en arquant un sourcil.

- "En amoureux ? Avec plaisir, mon age !" cita-t-il en imitant la voix de Martin.

Gabi gonfla les narines et respira un grand coup.

- Je déteste devoir me justifier, mais puisque vous avez l'air d'y tenir...

Martin et moi somme restés ensemble pendant six mois, jusqu'à ce qu'il me fasse virer de mon poste d'archéologue et que je me retrouve au chômage. martin n'es pas mon petit ami, articula-t-elle, et je n'envisage pas qu'il le redevienne un jour.

Adrien serra les mâchoires, si fort, qu'elle aurait juré les entendre craquer.

- Ce jeune coq n'a pas l'air de le savoir.

- Ce jeune coq n'a surtout aucun compte à vous rendre quant à la nature de sa relation avec moi, répondit-elle du tac au tac.

De plus en plus énervée, elle fit reculer sa chaise et se leva.

- Je pense que cette conversation est finie, monsieur de Bérail. Nous avons largement dépassé le cadre des rapports strictement professionnels que vous exigez. Si vous voulez bien m'excuser.

Elle tourna les talons et se dirigea vers la porte. En deux enjambées, Adrien l'avait rejointe et l'attrapait par le bras.

- Non, je ne vous excuse pas et cette discussion sera terminée quand je l'aurai décidé ! gronda-t-il.

La colère fondit sur elle. Elle pivota brutalement et le fusilla du regard.

- Pour qui vous prenez-vous ? explosa-t-elle. Le fait de me payer un salaire ne vous permet pas d'agir en seigneur et maître. Je ne suis pas votre esclave. Nous ne sommes plus au Moyen Âge, monsieur de Bérail ! Lâchez-moi !

Elle imprima un geste sec à son bras et recula d'un pas.

- N'amenez plus jamais une de vos conquêtes sous mon toit ! l'avertit-il d'une voix menaçante en levant l'index devant elle.

- Vous êtes grossier ! Martin n'était pas une conquête, mais celui que je pensais être l'homme de ma vie. Et jusqu'à preuve du contraire, le seul capable de prétendre au titre de conquête, c'est vous ! Cela signifie-t-il que je doive vous mettre dehors ?

Adrien redressa la tête, stupéfait, et ne trouva rien à redire.

- Si vous avez terminé, j'aimerais pouvoir disposer de mon jour de congé ailleurs qu'enfermée dans votre bureau, ajouta-elle. L'air y est irrespirable !

Elle le regarda une dernière fois dans les yeux avec humeur et lui tourna le dos. Subitement, il l'attrapa par les épaules et la plaqua dos contre la porte.

Ca commençait à devenir une habitude...

Gabi se sentit suffoquer quand il lui glissa à l'oreille d'une voix rauque : - L'envie de vous y garder prisonnière risque fort d'avoir raison de vos projets.

Et sans autre forme de procès, il l'embrassa.

Spoiler(cliquez pour révéler)- Lâchez-moi, votre maîtresse attend dans la cuisine, lui dit-elle tout contre sa bouche d'une manière si peu convaincante qu'Adrien ne risquait pas pe prendre sa résistance très au sérieux.

-Ce n'est pas ma maîtresse, murmura-t-il en lui mordillant la lèvre inférieure. Et je me moque comme d'une guigne qu'elle m'attente.

Elle tenta de le repousser, mais il ne lui laissa pas la moindre chance d'y parvenir. D'une main, il emprisonna ses poignets et le fit passer au-dessus de sa tête.

- Vous êtes en train de faire tout le contraire de ce que vous aviez décidé, haleta-t-elle.

Il la butina sur toute la longueur du coup et finit son ascension en donnant un petit coup de langue sur sa veine la plus palpitante. Elle frissonna.

- Je suis le patron, c'est moi qui définis les règles.

Il libéra ses bras et fit courir ses doigts le long de ses côtes.

- Vous... vous n'avez pas déterminé celle-ci. Celle où vous faites ce que vous être en train de faire.

- Je détermine exactement ce que je veux.

Et pour mieux le lui prouver, il glissa un genou entre ses jambes pour l'immobiliser complètement.

- Êtes-vous toujours aussi autoritaire ? gémit-elle tandis qu'il pétrissait doucement ses hanches.

- Horriblement.

Et il lui envoya son souffle chaud à l'oreille.

Elle empoigna le col de son polo et réussi t à le faire brusquement pivoter contre le battant. Là, elle prit ses joues entre ses paumes, se dressa sur la pointe des pieds et l'embrassa elle-même à pleine bouche, enroulant sa langue autour de la sienne pour le goûter profondément. Elle adorait la douceur et le parfum de sa peau. N'y résistant pas, elle abandonna ses lèvres et mordit tendrement la chair fine de sa gorge.

- Dominatrice ? demanda-t-il en emprisonnant ses fesses entre ses mains pour l'appuyer contre son érection.

- Pas le moins du monde.

- Tant mieux.

En moins de temps qu'il n'en fallu pour le dire, Adrien avait fait basculer Gabi sur le tapis et recouvrait son corps du sien. Ses doigts se glissèrent immédiatement sous son chemisier de la jeune femme pour envelopper ses seins. Il les pressa doucement et titilla les pointes qui durcirent aussitôt. Gabi soupira, cambra les reins et ouvrit les cuisses afin de lui permettre de se frotter d'avantage contre elle.

D'un geste impatient, il déboutonna le jean de Gabi et l'obligea à soulever les fesses pour le faire descendre jusqu'à mi-cuisse. Naturellement, il glissa la main entre ses jambes et commença à la caresser à travers la mince dentelle de sa culotte. A son contact, elle gémit de plus belle et se mordilla les lèvres pour faire le moins de bruit. En la voyant faire, il se pencha sur elle et prit sa bouche passionnément. Leur baiser devient dur, sauvage et presque douloureux. Adrien la dévorait littéralement, l'enflammait, la contraignait à s'abandonner complètement. Gabi ne savait plus où elle en était. Totalement consumée de désir, elle empoigna les pans du polo d'Adrien pour le soulever et glisser ses mains sur sa peau douce et brûlante qu'elle gratifia de légers coups de griffes. Il réagit par un grondement sourd et sa langue replongea entre les lèvres de Gabi. Il se retira, les mordit, les aspira, puis il enfouit la tête dans son cou pour respirer profondément son odeur.

Spoiler(cliquez pour révéler)Adrien, chuchota-t-elle, tandis que ses doigts imprimaient toujours de délicieuses pressions contre son sexe brûlant et humide.

Stupéfait qu'elle l'appelle par son prénom, et parce qu'elle le faisait pour la première fois, il se redressa et s'immobilisa au-dessus d'elle pour la contempler. Déconcertée, Gabi ouvrit les paupières. Ils s'observèrent un instant sans rien dire, puis il lui sourit.

- Tu me rends fou, Gabrielle, murmura-t-il de son timbre grave et chaud.

Et tout s'arrêta. La voix de l'Américaine tetentit derrière la porte.

- Adrien, honey ? Est-ce que tout va bien ?

L'avocat ne quitta pas Gabi du regard et fronça les sourcils.

- Nous en avons pour une minute, Jane, attends-moi dans le petit salon.

Revenue brutalement à la réalité, Gabi le repoussa, glissa sur le côté, puis se redressa,remonta maladroitement son pantalon et se remit sur ses pieds. Là, elle rajusta son chemisier et passa nerveusement une main dans ses courtes boucles blondes pour se recoiffer.

Ses yeux croisèrent les iris enflammés d'Adrien et elle se sentit prise de vertiges. Bon sang, mais qu'est-ce qui ne tournait pas rond chez elle ? Une nouvelle fois elle avait été sur le point de s'envoyer en l'air avec son patron !

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Extrait ajouté par anonyme 2014-03-18T21:17:52+01:00

Les Parisiens n’aiment pas les pigeons. Dommage. Parce que les pigeons, eux, les aiment beaucoup.

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Extrait ajouté par bellajessica 2014-03-13T16:04:27+01:00

Elle était en retard. Très en retard, même.

Bien qu’il eût un esprit plutôt ouvert, Adrien était très à cheval sur les principes. Il avait grandi dans le respect des règles de société, et arriver à l’heure à un rendez-vous faisait partie de ces impératifs à honorer. De fait, il était positivement agacé que Mlle Géris ne soit pas sur la même longueur d’onde que lui, au moins sur ce point-là. Il ne supportait pas de voir les secondes s’écouler inutilement, il en disposait de trop peu. Et parce que le temps était compté, il ne travaillait jamais moins de douze heures par jour, ne s’accordant de réelles pauses que lorsqu’elles étaient vraiment nécessaires. Ses repas de midi se transformaient systématiquement en déjeuners d’affaires, ses trajets en taxi en conférences téléphoniques, et ses heures de repos à la maison étaient pour lui l’occasion de boucler ce qu’il n’avait pas pu finir au bureau. Alors, ces dix-sept interminables minutes pendant lesquelles il attendait sa future employée le mettaient définitivement sur les nerfs.

Adrien détestait ne pas avoir le contrôle total de sa vie. C’est même ce qui le rapprochait le plus de son défunt père. Jusqu’à peu de temps avant sa mort, Pierre de Bérail n’avait eu de cesse de clamer qu’un homme organisé était un homme qui marchait droit vers la réussite. Adrien n’avait rien perdu de cet enseignement et hériter de la fortune de son père ne l’avait pas moins convaincu du contraire.

Il souleva la manche de sa chemise pour vérifier une nouvelle fois l’heure. 10 h 22.

Il se demanda s’il n’avait pas fait une erreur en acceptant d’offrir ce poste à Mlle Géris. Soit, elle avait de l’esprit et elle était loin d’être bête, malheureusement il lui semblait évident qu’elle n’avait aucune conscience professionnelle. À la minute où il l’avait vue entrer dans son bureau, il avait compris qu’ils n’étaient pas taillés dans le même bois. Il aurait beaucoup de mal à collaborer avec une femme comme elle, si extravagante, si peu… raisonnable. Alors, pourquoi diable avait-il finalement décidé de lui confier la garde de ses enfants ? Comment avait-il pu se laisser convaincre par ce joli minois, ce sourire hollywoodien et cette délicieuse robe qui lui cambrait les reins de façon si érotique ? Était-ce parce qu’il n’avait pas rencontré de femme aussi sexy depuis des lustres et que, malgré le regard glacial qu’il avait arboré, elle l’avait mis K-0 ? À moins que ce ne soit parce que son CV était tout simplement étonnant et qu’il en était toujours à se demander comment une personne aussi brillante qu’elle avait pu se retrouver avec un pigeon planqué dans son sac. Bon Dieu, un pigeon ! Quand il y repensait, il était encore pris d’effarement. Personne… personne ne lui avait jamais fait un coup pareil de toute sa vie. Cette bestiole avait salopé un costume à 2 000 euros !

Finalement, quand elle était partie, il n’avait pu s’empêcher de s’en amuser en se disant que sans même le préméditer, il avait trouvé là une bonne raison de l’embaucher : il lui ferait payer cette petite plaisanterie en la jetant en pâture à ses gosses.

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Extrait ajouté par estrellita 2015-11-07T21:41:26+01:00

"_C'est urgent ?

_Oui. Gabrielle est partie avec quelque chose qui m'appartient,

je voudrais le récupérer au plus vite.

[...]

_De quoi s'agit-il, monsieur de Bérail ?

_De mon cœur ,madame, de mon cœur..."

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Extrait ajouté par Lily01 2014-06-08T10:10:35+02:00

Il contempla ses joues roses, ses lèvres charnues, son petit nez droit et ses cheveux blonds dont les boucles rebiquaient sur sa nuque et il eut envie de répondre : « N’importe où, mais pourvu que tu y sois. » Il ne le fit pas, parce que, au fond, il ne le savait pas lui-même. A la place, il d’appuya sur la table, se leva de sa chaise et alla glisser une main derrière la tête de Gabrielle pour l’embrasser aussi passionnément qu’il en était capable. Elle lui rendit son baiser sans concession et, quand il eut terminé, elle lui sourit timidement.

_J’aimerais juste que… que tu ne prennes pas mon cœur pour un hôtel, Adrien…

_Jamais, lui assura-t-il avec sincérité. Jamais.

Pour le moment, c’était tout ce dont il était certain.

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Extrait ajouté par papillon-vole 2015-06-09T18:02:29+02:00

- C'est une demande officielle, monsieur de Bérail?

Furtivement, elle vit Paul lever les yeux au ciel en rejoignant sa sœur.

- Viens Sophie, ils vont faire de la guimauve!

- Et alors? Moi j'aime bien! protesta-t-elle.

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Extrait ajouté par SmallBab 2015-02-18T13:14:55+01:00

- Les gens sont de plus en plus fous, aboya-t-il (le marchand de fruits et légumes) encore. Un pigeon !

Gabi coula sur lui le regard le plus glacial de son répertoire à expressions.

- Est-ce que je vous fais une scène parce que vous prenez plaisir à tâter des melons toute la journée, moi ?

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Extrait ajouté par nini84 2014-04-29T21:59:32+02:00

-Mais enfin ! Je peux savoir ce qui vous prend ?

- Je vous ai à l'oeil ! Beugla-t-elle. Je vois très bien dans votre petit jeu pervers ! Vous ne m'aurez pas !

Et presque aussitôt, Gabi adopta une position de karatéka bien plus ridicule qu'impressionnante. La tête que fit Adrien de Bérail aurait dû la mettre sur la piste, à savoir qu'elle était totalement à côté de la plaque. Abasourdi, il n'aurait pas fait de mal à une mouche. Il la regardait plutôt comme s'il avait affaire à une aliénée-ce dont elle devait véritablement avoir, commença-t-elle à se dire. Mais Gabi avait un autre gros défaut : quand elle était lancée, on ne l'arrêtait plus.

www.lepetitmondedeceline.blogspot.com

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