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Liste des extraits

Kerry et Gabrielle se glisserent a l'interieur de la chambre et refermerent la baie vitree.

-Eh, laissez nous entrez, protesta Connor.

-Dites-nous a quel point nous sommes belles, dit Kerry.

-Vous n'etes que des grosses truites, repliqua Shakeel. Ouvrez nous.

-Oh, tres bien. Je vois que vous tenez absolument a passer la nuit sur le balcon.

James se pencha par-dessus la balustrade. Ils se trouvaient trop haut pour sauter. Il s'approcha de la vitre.

-Reflexion faite, je vous trouve absolument sublimes.

-Espece de lache, prostesta Connor.

-Tu veux dormir a la belle etoile !

-OK, c'est toi qui a raison. Elles sont irresistibles.

-Des purs tio model, en fait, ajouta Mo.

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-Mes chers petits, vous êtes à moi pour les cent jours à venir. Chacune de ces journées sera également réjouissante. Pas de congé. Pas de week-end. Réveil a cinq heures quarante-cinq. Douche froide pour tout le monde, habillement, puis parcours-combat. Sept heures, petit déjeuner suivi d'exercices physiques. Neuf heures, début des cours. Au programme, techniques d'espionnages, langues étrangères, maniement d'armes et entrainement a la survie en milieu hostile. Quatorze heures, parcours-combat. Quinze heures, déjeuner. Seize heures, exercices physiques. Dix-huit heures, retour au dortoir.

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Extrait ajouté par babaOM 2011-10-16T09:46:50+02:00

Conseil de discipline

Cette scène figurait à l’origine à la fin du chapitre 35 de 100 jours en enfer. Elle se déroule après la bagarre qui a opposé James à Stuart et Gareth. Elle explique la colère d’Ewart dans la scène suivante. Malheureusement, le roman étant trop long, ce passage a dû être supprimé.

James, Gareth et Stuart patientaient à l’extérieur du bureau de la prof principale.

Le nez de Gareth portait des traces de contusions et de brûlures. Stuart, visiblement mort d’inquiétude, contemplait fixement la pointe des baskets. Les bras croisés, James considérait les deux garçons avec un petit sourire amusé. C’était l’un des avantages de travailler pour CHERUB : la possibilité de commettre des actes répréhensibles sans devoir en affronter les conséquences.

Joanna passa la tête à l’extrémité du couloir. S’étant assurée qu’il n’y avait pas de profs en vue, elle s’approcha de James et l’embrassa fougueusement sur la bouche.

— Tu es un vrai bad boy, gloussa-t-elle. Toute l’école ne parle que de toi.

James jeta un regard méprisant sur Gareth et Stuart.

— Ces connards méritaient une bonne branlée.

— Tu vas voir ce que tu vas prendre, répliqua Stuart.

— Toi, ferme-la, si tu ne veux pas que je t’achève.

Joanna tendit à James un Coca et un Bounty.

— Tiens, j’ai pensé que tu devais crever la dalle, dit-elle. À tout à l’heure, dans le bus.

James s’assit sur une chaise en plastique et retira l’emballage de sa barre chocolatée. Alors, il remarqua que des larmes roulaient sur les joues de Stuart.

— Wow, lança-t-il. On dirait que tu fais moins le malin.

Ulcéré, le garçon se rua sur lui. James lui tordit le poignet derrière le dos.

— Tu veux que je te casse le bras, pauvre nain ? rugit-il.

S’étant assuré de la soumission de son adversaire, il le libéra puis lui adressa un violent coup de pied aux fesses.

— Franchement, les mecs, vous ne tiendriez pas cinq secondes dans un collège de Londres.

Stuart s’effondra sur le sol en pleurnichant. S’il ne lui avait pas marché sur la tête deux jours plus tôt, James aurait presque eu pitié de lui. La prof principale ouvrit la porte à la volée.

— C’est pas un peu fini, ce vacarme ? Allez, entrez, vous trois.

Les trois garçons prirent sur les chaises alignées sur devant le bureau. James saisit un stylo à plume qui traînait à portée de sa main et se mit à le tripoter nerveusement.

Le directeur, le proviseur et le surveillant était présents. Stuart versait toutes les larmes de son cœur, provoquant les ricanements de James.

— Ross, lança la prof générale, les lèvres pincées. Peux-tu me dire ce que tu trouves si amusant ?

Dans son ancienne vie, James s’était fréquemment trouvé dans de telles situations.

Cette fois, il s’en fichait royalement.

— Vous vous faites quoi, comme salaire ? demanda-t-il.

— Je ne vois vraiment pas ce que ça a à voir avec cette réunion.

— Je me demandais simplement si vous aviez les moyens de vous payer une opération de chirurgie esthétique. Parce que, franchement, y a du boulot.

La femme semblait au bord de la crise de nerfs.

— Tu sais, Ross, dit-elle, j’enseigne depuis trente ans, et c’est le pire dossier que j’aie jamais vu.

Au cours de la préparation de l’opération, Amy avait confié à James que le faux dossier qui avait été transmis à Gwen Morgan lui faisait une réputation de gibier de potence.

— Exclus de quatre établissements, incendie volontaire sur la personne d’un prof de sciences naturelles, meurtre et actes de barbarie commis sur la mascotte du collège, une tortue, en l’occurrence. Ta place n’est pas ici, mais en prison.

— Finalement, vous seriez peut-être pas mal si vous perdiez vingt ou trente kilos.

À ce moment précis, le stylo plume que James était en train de manipuler se brisa en deux, et l’encre gicla sur le bureau.

— Oups, la boulette, lâcha-t-il.

La femme bondit de sa chaise et se mit à hurler :

— Hors de ma vue, immédiatement !

James quitta la pièce d’une démarche nonchalante, ravi d’en avoir fini pour toujours avec le collège Gwen Morgan.

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Extrait ajouté par Pamie 2011-07-02T22:55:05+02:00

- Ferme les yeux, dis Kerry, les mains dans le dos

- Pourquoi ? Demanda James

- J'ai une surprise pour toi.

Il entendit ses autres amis chuchoter dans le couloir

- Pas question. Qu'est-ce que vous me voulez ?

- Si tu ne fermes pas les yeux, ce ne sera plus une surprise.

Tout ça sentait le coup fourré à plein nez, mais ils avaient l'air de s'amuser comme des fous, et James ne voulait pas casser l'ambiance

- OK, ils sont fermés.

James entendit des pas discrets sur la moquette, puis des litres d'eau froide inondèrent son torse.

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Il consulta sa montre.

-Premier jour du programme d'entrainement ?

-Oui.

-Tu sais qu'il est sept heures et demie ?

-Je sais, dit James. Je suis en retard.

Le garçon éclata de rire.

-En retard pour l'enfer, lâcha-t-il en secouant la tête.

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Extrait ajouté par Pamie 2011-07-02T22:55:05+02:00

-Tu peux m'expliquer ce que tu fais? demanda Amy.

-Jamais de la vie. Tu te moquerais de moi.

Elle agita rapidement les doigts.

-Ne me force pas à te chatouiller à mort.

-OK, mais promets-moi de ne pas rire.

-C'est juré.

-C'est la qu'on s'est embrassés pour la première fois, Joanna et moi.

-Oh , c'est trop mignon.

Ewart mit deux doigts dans sa bouche et fit mine d'être sur le point de vomir.

-Vous aviez promis, protesta James, indigné.

-Moi? Je n'ai pas dit un mot.

-J'ai hâte de raconter à Kerry ta petite aventure avec Joanna, lança Amy.

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(Chapitre 19, Que du bonheur !)

Imaginez que vous venez d’acquérir un nouveau jeu vidée. Vous êtes au premier niveau, et vous éprouvez les pires difficultés. Les ennemies se déplacent trop vite, vous maîtrisez mal les commandes, mais vous finissez tant bien que mal par accéder au niveau suivant.

Un jour, par curiosité, vous rejouez au premier niveau. Ce qui vous apparaissait si difficile est devenu un jeu d'enfant.

C'est sur ce principe de progression qu'est fondé le programme d'entrainement initial. En accomplissant des épreuves difficiles sous une forte pression physique et psychologique, vous atteindrez un niveau de compétences que vous n'aurez jamais osé imaginer. Lorsque votre formation sera achevée, votre esprit et votre corps seront capable de performances exceptionnelles.

(Extrait de la préface du "Manuel d'entrainement initial" de CHERUB)

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CHERUB, c'est 50 ans d'expérience dans le domaine du chaos et de la destruction.

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-Qu'est-ce qui m'empêche de refuser votre proposition, de sortir d'ici et de parler à tout le monde de votre organisation?

Mac se raidit dans son fauteil visiblement mal à l'aise.

-On dit qu'un secret et fait pour être brisé, James, mais pourquoi ferais-tu ça?

-Ce ferait un article formidable.

-Sans doute. Maintenant, imagine que tu composes le numéro d'un quotidien national. Tu tombe sur la standardiste. Qu'est-ce que tu lui dis?

-Hum... Il existe un service d'espionnage qui n'emploit que des enfants. J'ai trouvé leur centre.

-Très bien. Et où se trouve-t-il?

-Je ne sais pas...

-Avez-vous ramener la moindre preuve?

-Eh bien...

-Tu seras fouillé avant de partir James.

-Alors je suppose que non.

-Connaissez-vous une personne en lien avec cette organissation?

-Non.

-Possédez-vous le moindre indice?

-Non.

-Penses-tu sincèrement que le journale publieras ton histoire James?

-Non.

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1. Un simple accident

James Choke détestait les cours de chimie. Avant d'entrer au collège, il s'imaginait que cette discipline consistait à manier des tubes à essai afin de provoquer des jets de gaz et des gerbes d'étincelles. En réalité, il passait chaque leçon, assis sur un tabouret, à recopier les formules que Miss Voolt gribouillait sur le tableau noir, quarante ans après l'invention de la photoco­pieuse.

C'était l'avant-dernier cours de la journée. Dehors, la pluie tombait et le jour commençait à décliner. James somnolait. Le laboratoire était surchauffé, et il avait passé une grande partie de la nuit précédente à jouer à Grand Theft Auto.

Samantha Jennings était assise à ses côtés. Les professeurs adoraient son caractère volontaire, son uniforme impeccable et ses ongles vernis. Elle prenait ses notes avec trois stylos de couleurs différentes et couvrait ses cahiers pour les garder en bon état. Mais dès qu'ils avaient le dos tourné, elle se comportait comme une vraie peau de vache. James la haïssait. Elle ne cessait de se moquer ouvertement de l'aspect physique de sa mère.

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