La vie est un mensonge en elle même. J'aime me croire forte, croire pouvoir affronter les choses qui m'auraient détruite il y a encore quelques années ou moins. Je me suis toujours dis que je devenais plus forte avec le temps. Toujours un peu plus.
Mais quel mensonge envers moi même.
Je suis toujours resté faible, j'ai souvent fuis, trop souvent. Je n'ai jamais abandonnée qui que ce soit, sauf moi. Parfois je me dis: t’inquiète pas, tout iras mieux demain. Encore quel beau mensonge. La solitude et la faiblesse vous gagne alors que vous pensez exactement le contraire.
Les personnes continues à vous faire du mal comme si vous n'étiez qu'un jouer, ou un jeu pour cette personne. Vous pouvez lui dire en toutes les langues, lui hurlait d’arrêté. Jamais. Jamais cette personne n’arrêtera, elle arrêtera le jour ou elle vous oubliera car elle vous aura anéantit psychologiquement. Et à ce moment là on doit reprendre sa vie à zéro. Toujours croire en quelque chose, c'est ce que je me disais mais... Quand tout les jours vous vous battez seule, l'on perd vite espoir et l'on veut fuir. Ma vie est comme ça, j'espère vraiment pas pour tout le monde, vraiment.
J'aime sourire, rire et dire que tout va bien alors que je me meurs littéralement dans mon coeur, les larmes ne servent à rien, les hurlements non plus. Il n'y a pas d'antidote malheureusement.
D'un coup... je me sens mieux d'avoir écrie tout ça, ça va pas m'aidé mais au moins un peu j'espère. Love.
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Tu sais que vous me manquez n’ai-ce pas ? Ton sourire me manque, ton rire, la façon dont tu me comprenais si bien. Et elle, elle me manque tous simplement parce qu’elle est une part de moi, la plus belle. Je ne veux pas vous perdre, en t’éloignent je l’ai vue partir avec toi. Je ne m’étais pas rendue compte à quel point je tiens à toi, et à elle. Je me sens seule alors que c’est faux, inutile ce qui est surement vrai et pas à ma place. Mais tout ça, avec elle et toi je ne le voyais pas. Aujourd’hui tous est beaucoup plus claire. Ça fait mal, trop mal. Mon amie ne va pas bien, et moi je suis comme une idiote à ne même pas savoir comment la rendre heureuse, comment la faire sourire, comment lui faire oublier quelques instants que tous peut s’écrouler autour de nous, que tous peut s’effacer, que tous peu disparaitre, que tous peut s’envoler comme une trainer de poudre. Que l’on peut hurler sans raison, crier à plein poumons sans qu’on nous entende, pleurer en silence pour des personnes qui n’en valle pas la peine mais qu’on croit qu’ils nous aiment quand-même. Comment faire ? Pour ne pas pleurer ou hurler soi-même devant ce spectacle, COMMENT FAIRE ! C’est impossible, à mes yeux, pour moi, et je le pensée pour tous. Mais comme souvent je me suis encore une fois trompé, encore. Je me trompe énormément dans ma vie, c’est en se trompant qu’on apprend, mais c’est aussi en se trompent quand peut tous perdre. J’ai mal au ventre autant qu’au cœur. C’est débile je sais ou peut-être que certains connaissent déjà. Cette sorte de … peur ? De crainte, qui vous ronge petit à petit. C’est une sorte de flamme qui nous brule, personne ne nous cris guar, personnes n’osent nous avertirent. Non personnes.
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J’ai l’impression de faire sans arrêt du mal, de me plaindre de mon sors alors que je n’ai pas à le faire. Mais ça fais si mal, tellement mal … ! De se sentir comme ça, inutile, pas à la hauteur. On perd la confiance en soi comme si ce n’étais qu’une rose d’été qui fane pour laisser place à l’automne. J’en tremble, j’en pleure. Je n’en hurle pas encore mais ça ne saurais surement tarder. On me dit que ce n’est pas moi, que ce n’est pas ma faute mais en quoi ça ne serais pas moi ? Pas ma faute ? Je n’y arrive pas ! Je n’y arrive pas ! Je reste là ne sachant jamais quoi faire, à entendre les autres parlers de leurs problèmes puis fondent en larme. La seule chose que j’arrive à faire, parfois, c’est fondent en larmes avec eux aussi. Idiote. Je me sens idiote. Car la plus part du temps je ne sais même pas pourquoi ces personnes pleures. Je pleure pour pas mal de chose, ma gorge se noue pour tant d’autre. C’est tellement … tellement … tellement réaliste que j’en ai peur. Est-ce ça la vie des grandes personnes ? Est-ce donc souffrir à ce point ? Ce sentir mal ? Et nous, les enfants on est là à se plaindre à pleurer pour … pour quoi ? Je ne sais même pas. C’est donc si dure que ça … De se sentir … inutile, mal, non comprise ? Non, pas non comprise. Je suis une adolescente mais pas en pleine crise il ne faut pas exagéré. Non je dirais … Voilà que je ne sais plus quoi pensée. Les rires que j’entends sous mes pieds me … me mettent mal … ? Me, me, font me sentir encore plus mal ? Oui, ça doit être ça. Pendant que j’y suis autant expliquer ce que j’ai, de toute façon à chaque fois je ne fais que repoussé, fuir, les problèmes. Non. Finalement, non. J’aimerais oubliée plutôt que raconter. Je suis désolée. Je m’excuse toujours, car je suis vraiment toujours désolée. Je suis fatiguée … Je rêve de, de … M’envolée. Oui tiens, m’envolée comme un oiseau, battre des ailes, aller ou je veux, aller loin, très loin. Et ne pas me retourner … ? Non, ne pas me retourner. Je reviendrais toujours quoi qu’il arrive, que je me retourne ou non, les chemins se recroisent toujours. D’un coup, je me sens plus légère, mieux, libéré ! Mais ce n’est que pour un court instant, tous à une fin. Je vais replonger dans ma déprime d’une minute à l’autre, en écrivant ces mots je suis en ce moment même en train de … C’est bon. Les meilleures moments ne durent jamais, je me souviens que j’ai lu une phrase magnifique, plusieurs mêmes, mais celle-là mets rester, est gravé surement en moi. Elle disait tous simplement que la vie est courte, mais que les malheurs la rendent longues. Real or not Real ? Real. C’est vrai, on ne devrait pas toujours oubliée nos souvenirs, même les plus moches car c’est eux qui nous font être ce que nous sommes. C’est eux qui nous … qui nous … oh je ne sais pas vraiment comme expliquée, j’ai la sorte d’image dans ma tête mais … certaine chose ne sont pas faites pour être dite ou écrite. Certains oui. Silence … j’aimerais un court instants de silence … non pas pour mes pleures. Je pleure dans le bruit ou le silence, je pleure quand je dois pleurer c’est ainsi, c’est tous. On dit qu’on ne peut pleurer en silence mais c’est faux. On peut pleurer en silence des larmes de souffrances. Je ne vois pas pourquoi tous dois se voir ou s’entendre, la vie serait trop facile dans ce cas. Et puis, qui a dit qu’elle était facile ? Surement pas moi. Ah non pas moi.
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Oh je rêve, oui je rêve de ce que je serais dans quelques années, tous aura changé je le sais, j’ai peur et presque hâte en même temps, dingue ? Oui. Fous ? Non, je ne pense pas.
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Les problèmes des autres … ! Toujours les autres, jamais toi qui ont le droit de se plaindre, oh ! Et oh ! Je suis comme vous, j’ai des problèmes okay ?! Pas toujours je suis très souvent de bonne humeur mais un minimum d’attention aux niveaux de : ça va ? Me ferais du bien de temps en temps ! Merde à la fin ! Vous me faites tous chiez ! La plus part*. Merde de merde ! Point.
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Oh fond qui sommes nous vraiment ? Et surtout, qui peut le savoir, qui peut répondre à cette question .. ?

Love.<3.