Commentaires de livres faits par Chloerubis
Extraits de livres par Chloerubis
Commentaires de livres appréciés par Chloerubis
Extraits de livres appréciés par Chloerubis
"Game over," you say, and I don't know which I take more exception to - the fact that you say that it's over, or the fact that you say it's a game. It's only over when one of us keeps the notebook for good. It's only a game if there is an absence of meaning. And we've already gone too far for that.
Traduction (plus ou moins bonne)
"Fin du jeu", dis-tu, et je ne sais pas contre quoi je m'insurge le plus: le fait que tu dises que c'est fini, ou le fait que tu dise que c'est un jeu. C'est fini seulement si l'un d'entre nous garde le carnet pour de bon. C'est un jeu seulement si ça n'a aucune signification. Et on a déjà été beaucoup trop loin pour ça. "
Jace à Clary
Jace à Clary
Mon coeur s'est remis à battre d'un coup, et ce soudain afflux de sang dans mes veines l'a donné le tournis. Quand Tod a achevé de me nettoyer le visage, il s'est penché et m'a embrassée. Je me suis laissé envahir par la saveur de sa bouche, par sa présence solide et rassurante. Bientôt, dans la chaleur réconfortante de son étreinte, le souvenir de cet autre baiser a disparu de mon esprit.
- Par contre, m'a soufflé Tod à l'oreille, à l'avenir, arrange-toi pour garder le meilleur pour moi, d'accord ?
Il me serrait si fort que, si j'avais eu besoin de respirer, j'en aurais été incapable.
- Le meilleur est à toi. Tout le meilleur. Je suis à toi.
- Elle en a embrassé un autre...
Ce n'était pas à proprement parler un sourire que Nash adressait à son frère, mais il n'avait pas l'air entièrement mécontent.
- Dis donc ! s'est-il exclamé. Je me demande ce que tu as ressenti, toi...
- Ce que j'ai ressenti ? Kabyle a sacrifié une partie d'elle pour venir en aide à son père. Et, si mes souvenirs sont bons, elle n'est pas la seule dans cette pièce à avoir embrassé un démon. Tes intentions à toi étaient-elles aussi pures ?
-C'est sérieux,comme question ?
Quelque chose dans le ton de sa voix m'a fait m'écarter juste assez pour me retourner et scruter son visage.
-Nash ?
Dans ses yeux,les nuances de bleu se sont mises à valser un instant,puis il s'est repris et les couleurs se sont immobilisées de nouveau.
-Non,ai-je murmuré.Laisse moi voir.S'il ta plaît.
Tod a froncé les sourcils. Puis il a fermé les yeux un instant.Quand il les a rouverts,les nuances de bleu familières tournoyaient comme une tempête en pleine mer,des traînées cobalt se mêlant à des vagues d'un bleu glacé strié d'azur.
-A ce point-là ?
J'avais du mal à masquer la satisfaction dans ma voix.C'était plutôt agréable de se sentir désirée.Mais j'aimais encore mieux qu'on ait besoin de moi,et je sentais combien c'était le cas pour Tod,jour après jour.Il avait autant besoin de moi que moi de lui.
-Il ne s'agissait pas seulement de jalousie Kaylee.Je te convoitais.C'était un sentiment biblique-et interdit.
-Racontes-moi.
Il n'a pas hésité un instant.
-Je détestais de te voir avec lui,mais je n'arrivais pas garder mes distances parce que je savais que si je n'étais pas là,vous feriez tous les deux des choses que vous ne vous autorisiez pas quand j'étais dans la pièce,et alors je me retrouvais tout seul à imaginer ça -à imaginer mon frère en train de toucher la fille qui m'était destinée pour le reste de mon outre-vie-et alors...eh bien,ce serait encore pire.Mais je ne pouvais rien dire,évidemment.Pas tant que tu voulais rester avec lui.
Un sourire m'a échappé.
-Ce n'est pas drôle,s'est-il plaint avec une petite grimace qui le rendait encore plus beau.C'était de la torture.
-Je ne ris pas.C'est juste que j'ai de la chance,beaucoup de chance.
-Est-il possible que ce concentré d'envie y soit pour quelque chose ? Qu'il crée une sorte d'osmose ? Un peu comme s'il suintait de tes pores et que j'en respirais la majeure partie ? Parce que je t'assure que je suis en train de revivre le plus terrible sentiment d'envie de toute mon existence,et que toi,tu sembles parfaitement à l'aise.
J'ai haussé les épaules.
-Je ne vois pas de quoi je pourrais être jalouse.
De nouveau,il a esquissé une grimace.J'ai compris trop tard que je venais de lui poser un défi.
-Je suis pourtant très convoitable,tu sais.
-Oh! je sais.Chaque jour qui passe,je remercie le ciel que tu sois invisible aux autres la plupart du temps et d'être la seule à pouvoir te regarder.
Et je le regardais beaucoup.Il était même ce que j'avais vu de plus beau au monde.
-Comme ça,ai-je ajouté,je n'ai pas à me battre contre les autres filles.
-Tu le ferais ? m'a-t-il demandé,l'air intrigué.Tu te battrais pour moi ?
-J'aurais des raisons de le faire ?
-Non,m'a-t-il rassuré.Il n'y aura jamais personne d'autre pour moi pour moi,Kaylee.
Il m'a adressé le sourire narquois qui était un peu sa marque de fabrique, et il n'avait pas émis un son que j'ai su quels mots allaient sortir de sa bouche.
-Mais avant toi,il y en a eu quelques-unes...
-Bla-Bla-Bla !
J'ai plaqué mes mains sur mes oreilles et fermé hermétiquement les yeux,essayant de me convaincre que je n'avais rien entendu.
Sauf que ses paroles avaient déjà fait son chemin dans mon cerveau.
Il m'a pris une main pour l'écarter de mon oreille.
-Comment allons-nous pouvoir évaluer l'efficacité de ce concentré d'envie si tu refuses d'explorer tes propres jalousies ?
J'ai ouvert les yeux et laissé tomber mon autre main sur mes genoux.
-D'accord.Un point pour toi,ai-je concédé.
Mais ça ne me plaisait pas pour autant.Après un instant,j'ai ajouté:
-Combien ?
Nouveau froncement de sourcils.
-Combien de quoi ?
-Combien de filles ? Avant moi ?
Son front s'est plissé de plus belle.
-Ce n'est pas là que je voulais en venir.C'est...ce n'est pas un concours...
-Je sais.Ce n'est pas un concours parce que je ne fais pas le poids.Parce que tu es le premier pour moi.Mais la réciproque n'est pas vraie,n'est-ce pas ?
Il a tressailli et,pendant un instant,j'ai eu de la peine pour lui. Juste un instant.
-Combien,Tod ?
-Je crois qu'on s'éloigne du sujet,là.
-Addison ? Jusqu'où es-tu allé,avec elle ?
J'ai lu la réponse dans ses yeux,et cela m'a fait l'effet d'un coup de poing. J'avais l'impression qu'on venait de m'arracher le cœur.
-C'était la première,pour toi.
J'ai fermé fort les yeux et tenté de déglutir,mais ma gorge était trop serrée.
-Kaylee.
Ses mains ont glissé le long de mes bras,et j'ai rouvert les yeux.
-C'est quoi,ce truc que vous avez,Nash et moi,avec vos premières amours ? Addison était une star.Une star de rock.Et elle aurait fait exploser n'importe lequel de mes soutiens-gorges.Bon sang,comment suis-je censée faire le poids face à ça ?
-Tu n'en as pas besoin.Addison est morte,Kaylee.Et pas seulement morte.
Il entendait par là que nous aussi étions morts.
-Elle est partie,a-t-il repris.Son âme avait été désintégrée et éparpillé par-delà les deux mondes deux semaines plus tôt,et il faudrait des siècles avant qu'elle se reforme.
-Je sais,lui ai-je répondu,et j'en suis désolée,mais honnêtement,pas tant que ça.
Ses yeux se sont écarquillés et il m'a dévisagée avec une surprise non feinte.
Zut.Qu'est-ce que je racontais ? Addison s'était toujours montré gentille avec moi.Elle s'était interposée entre moi et Avari pour me permettre de fuir le monde des ténèbres,et ce geste lui avait coûté de terribles souffrances.Evidemment que j'étais désolée qu'elle soit partie.Mais....
-Son souvenir.Sabine avait raison.On ne peut pas rivaliser face au souvenir d'un amour décédé tragiquement.
-Tu n'as pas besoin de rivaliser,m'a dit Tod en me soulevant le menton pour me forcer à le regarder dans les yeux.Je t'aime,Kaylee.Je t'aime.Je t'aime comme je n'ai jamais aimé personne.
Je le savais mais...
-Et après elle ?
Je ne voulais pas savoir,mais soudain il fallait que je sache.
-Après Addy ? ai-je répété. Combien ? Elles étaient jolies ? Elles étaient...bonnes ?
Un éclair de panique a jailli dans son regard.
-Écoute,Kaylee,tu te rends compte que c'est l'envie qui parle,là?
Que c'est le concentré d'envie qui fait son effet ?
-Je sais.
Mais je m'en fichais.J'ai continuer à insister:
-Combien Tod ? Quand tu me touches,combien d'autres filles as-tu encore en tête ?
-Aucune.Regarde moi.
J'ai obtempéré,mais j'avais du mal à voir quoi que ce soit à travers mes larmes.A quel moment m'étais-je mise à pleurer ?
-Quand je te touche,m'a-t-il dit,je ne pense à personne,sauf à toi.
Quand je te regarde,je n'arrive plus à me rappeler à quoi ressemblaient les autres.Quand j'entends ta voix,je n'arrive plus à me souvenir de leur nom.
-Vraiment ?
Mes larmes se sont mises à couler d'un coup le long de mes joues,et il les a essuyées du revers de la main.
-Vraiment.Comparées à toi,elles n'ont plus de nom.Du genre...Machine n°1 et Machine n°2.Et machine n°3.Et...Pardon,je ne t'aide pas beaucoup là.
Son regard a scruté le mien,et son front s'est plissé.
-Ça craint....comment puis-je t'aider?
-Je ne sais pas.
Sauf que si,je savais:
-Je crois qu'il faut que tu m'embrasses.
Ses traits se sont détendus et son sourire a réapparu.Lentement,comme s'il craignait que je change d'avis.Comme je ne faisais pas mine de me rétracter,il m'a attirée sur ses genoux et j'ai passé les jambes autour de sa taille.
-Avec plaisir,m'a t-il dit enfin.
Quand il m'a embrassé,j'ai glissé mes mains derrière son cou.J'avais envie de le dévorer.Presque littéralement.L'un des plus magnifiques avantages de notre état d'amoureux non morts,c'est que nous n'avions pas besoin de nous arrêter pour reprendre de l'air.
- Tu n'es qu'un bandit, Jamie Fraser
- Un bandit? Dit-il faussement vexé. Je suis un homme parfaitement honnête, sassenach, du moins quand j'en ai les moyens .
Il regarda derrière lui pour s'assurer que personne ne l'avait entendu.
Il redressa brusquement la tête.
- Oui, qui le demande ? Tu as un message pour moi ?
- Je m’appelle Brianna.
Il fronça les sourcils et une lueur étrange traversa son regard. Elle déglutit, sentant le sang lui monter aux joues.
- Je suis votre fille
Ces connards n’avaient pas fait le bon choix.
— Ils vont la remplacer, tu vas en avoir une toute neuve, dis-je en essayant de contenir ma colère.
— Et quand il s’agira de toi ? Comment ils feront, pour te remplacer ? demanda-t-elle en se tournant vers moi, les bras croisés sur son ventre. Tu vas y aller ?
— Chercher Liis à l’aéroport ?
— Tu devrais. Il faut qu’elle voie ton œil poché et ta coupure, qu’elle comprenne que le danger est bien réel et menace toute la famille.
— Je ne peux pas te laisser seule ici, Poulette. Pfff… Tant qu’elle était là, je ne me rendais pas compte à quel point Lena nous était utile. Abby eut un sourire entendu.
— Si ça tourne mal… commençai-je.
— Tout ira bien… assura Travis.
Je fermai les yeux.
— Toi, tu ne m’adresses plus la parole ! hurlai-je. Tu ne me dis plus un seul mot si ce n’est l’absolue vérité !
Travis ouvrit la bouche, puis la referma. Cela décupla ma colère. Je me retournai pour prendre le balai, et entendis Thomas, Liis et Val quitter la cuisine.
— Je t’aime, Abby. Tu le sais. La sécurité de notre famille est ma priorité. C’est la vérité.
— Tu adores ton boulot ? Plus que tu aimes ta femme ? Tes enfants ? Tes frères ? Ton père ? Combien de fois m’as-tu menti en me regardant en face ? Combien de fois nous as-tu mis en danger ? J’ai accepté au départ parce que cela faisait partie d’un marché qui t’évitait la prison, mais tu pourrais au moins me poser la question, peut-être, non ?
— Je me rends compte, maintenant, de ce que Papa a dû éprouver quand Maman lui a demandé de quitter la police.
Je haussai un sourcil.
— Mais il l’a fait, lui.
— Elle était sur son lit de mort, Poulette…
Je tendis une main pour l’attraper par sa chemise.
— S’il arrive quelque chose aux enfants parce que tu as besoin de jouer aux gendarmes et aux voleurs, Travis, je te préviens…
— Quoi ? Tu t’en iras ? Tu vas me quitter parce que j’aime mon travail ?
— Ça n’a rien à voir, et tu le sais ! Ne déforme pas mes propos, s’il te plaît !
J’avais l’impression de ne plus être moi-même. Nous ne nous étions plus disputés comme cela depuis que nous étions étudiants.
— Je ne déforme pas tes propos ! J’ai peur, Poulette. Tu m’as déjà quitté pour des raisons très similaires.
— Et regarde. Tu as fait comme bon te semblait. Ça s’est bien terminé pour toi. Aujourd’hui, tu voudrais que je fasse comme si de rien n’était, mais je refuse. Liis a choisi cette vie, pas nous. Pas moi ! Je ne veux plus de ça pour nos enfants. Je ne veux pas élever Carter seule pendant que tu iras combattre le crime au lieu d’occuper ton rôle de père.
— Je suis un bon père, Abby.
— C’est vrai. Mais tu choisis de garder un boulot qui t’éloigne de nous, parfois pour des semaines.
Il y eut un silence, Travis semblait perdu dans ses pensées.
— D’accord, dit-il enfin. Et si je prends un poste ici, dans l’Illinois ?
— Loin de la si prestigieuse unité criminelle ?
— Je pourrais être muté. Liis connaît des gens à l’antenne de Chicago.
— Plus d’infiltration ?
— Juste de bonnes vieilles enquêtes.
Je réfléchis quelques instants.
— Quand toute cette histoire sera terminée, tu me promets de demander ta mutation ?
— Je te le promets.
Je hochai la tête, hésitant encore quant à ma décision.
Travis s’approcha, m’enlaça, m’embrassa sur le sommet du crâne.
— Ne sois pas en colère contre moi. Ça me fout la trouille.
La joue contre son torse, je me détendis. Venais-je d’accepter un compromis, ou de céder ? Telle était la question.
J’aurais voulu pouvoir me glisser dans le lit avec elle, mais la perfusion rendait la chose difficile.
— Je t’aime encore plus, Poulette.
Elle soupira, et je l’entendis bouger pour trouver une position propice au sommeil.
Je fermai les yeux, écoutai son souffle, la pompe à laquelle son bras était relié, et l’insupportable oiseau qui chantait joyeusement juste sous notre fenêtre. Sans savoir comment, je finis par glisser dans l’inconscience, et par rêver qu’allongé pour la première fois aux côtés d’Abby, dans mon appartement d’étudiant, je me demandais comment j’allais bien pouvoir faire pour la garder.
Misaki : NE TRANSFORME PAS TOUS MES POTES EN HOMOS !!
C'est clair... Je dois produire des "Usamones"
C'est justement parce que je t'aime, que j'ai peur.
C'est parce que je t'aime que je finis par jeter tout ce que j'ai vécu jusqu'ici pour te suivre et enfin te trouver...
Dans un couple normal, vous pouvez marquer cela en vous mariant, ou en faisant des enfants.
Mais comment faire quand il s'agit de deux hommes ?
J'aime pas trop dire ça et là c'est le prof qui parle mais je trouve que tu en fais déjà beaucoup. Si je le dis c'est que c'est vrai.
Et c'est comme ça que je t'aime.
Même si je te fais mal...Même si tu me fais mal...
Plutôt que de laisser notre passion se changer en haine... Je préfère laisser une cicatrice brûlante sur ton corps comme marqué au fer rouge.
Et comme ça, tu ne pourras jamais m'oublier. Et nous ne serons jamais séparés.
Jamais... Jamais dans ma vie...je n'ai jamais aimé quelqu'un comme maintenant...
Et plus jamais...je n'aimerai comme ça une fois de plus.
Nanami : IMBECILE DE RENARD !
Tomoé : Aïe...
Nanami : Je t'ai dit que je devais rentrer à la maison ! Et puis je te déteste... quand tu te conduis comme un mufle !!