Chronique de Tramorée, Livre 5 : Pratès
Auteur
- Javier Negrete (Écrivain)
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Classement en biblio - 14 lecteurs
extrait
Au fur et à mesure qu'ils s'approchaient, l'horizon noir s'étendait pour occuper une large part de leur champ visuel. Ils avaient réellement l'impression que la terre finissait là pour faire place à une frange de nuit perpétuelle.
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J'ai trouvé ce dernier tome bien meilleur que le précédent, mais pas au niveau des premiers. On y retrouve les héros qui veulent sauver le monde de la destruction annoncée.
Les scènes de combats sont plus importantes, d'anciens ennemis s'associent, et des mystères sont révélés. Cependant, je pense que la partie SF est de trop, et certains personnages ont vraiment trop changé.
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Pour moi, c'est vraiment celui de trop. Ça devient alambiqué et je regrette vraiment le mélange de genre. La série se passait très bien d'une justification pseudo-SF.
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Une fin digne d'une saga d'exception. Tout y est : de l'émotion, des combats exceptionnels (dont une nouvelle bataille à couper le souffle), des héros tout pleins de classe. Spéciale dédicace à Kalitrès qui, une nouvelle fois, aura réussi à m'arracher quelques sourires malgré le sérieux de la situation ;)
Javier Negrete aura su aller exactement là où il fallait. J'espère qu'un jour ce cycle sortira en poche afin d'élargir son public parce qu'il le mérite amplement (en tous cas beaucoup plus que nombre de cycles médiocres qui sortent aujourd'hui et qu'on ose présenter comme des tueries).
Adieu Tramorée ! Adieu Agarta ! Adieu Bardaliut ! Nous nous reverrons un jour, je n'en doute pas !
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Résumé
La fin approche. Dans quelques jours, les trois lunes s’aligneront et le dieu Tubilok ouvrira les portes de l’infernal Pratès. La Tramorée sera anéantie. Mais les dieux ne sont pas des dieux et quelques audacieux, refusant le destin qui leur est promis, sont décidés à les affronter. Agarta, c’est l’envers de Tramorée, c’est le monde à l’intérieur du monde, avec sa physique et sa géographie propres. Et c’est en Agarta désormais, sous les flammes rouges du Pratès, son soleil artificiel, que se retrouvent Kratos, Derguin et l’intraitable Togul Barok, les mages qui les pro tègent et celui qui peutêtre les combat. Mais le chemin vers l’affrontement décisif est encore long et semé d’embûches.
Magie et technologie se confondent, fantasy et science-fiction se rassemblent dans un univers où les héros sont condamnés à périr ou aller de l’avant.
Pratès conclut magistralement les cinq livres de la "Chronique de Tramorée". Javier Negrete s’y révèle comme un maître latin de l’imaginaire.
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