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« Tu penses être intelligent, mais c’est là ta faiblesse. Tu crois savoir où tu mets les pieds, mais il n’en rien. Tu crois pouvoir me faire confiance en tant qu’enseignant. Tu crois que je te protégerais. Mais c’est la plus grossière erreur que tu puisses commettre. »

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-Tu sais ce qui arriverait, si tu tentais de poignarder Ambrose ? a demandé Simmon

J'ai réfléchis un instant. C'était comme essayer de se souvenir de ce qu'on a mangé au petit déjeuner un mois plus tôt.

-Il y aurais un procès, j'imagine, ai-je déclaré lentement. Et les gens me paieraient plein de coups à boire.

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Ensuite, je suis allé m’inscrire en Observation au Medica ainsi qu’en Physionomie et en Physique. Puis en Métallurgie des oxydes de fer et de cuivre avec Cammar, à la Pêcherie, et pour finir en Sympathisme avancé avec Elxa Dal.

C’est seulement à ce moment-là que je me suis rendu compte que j’ignorais la dénomination du cours dispensé par Elodin. J’ai feuilleté le registre jusqu’à repérer le nom de ce maître, suivi de cette précision, portée à l’encre fraîche : » Introduction à l’art de ne pas se comporter en parfait imbécile. »

J’ai soupiré et écrit mon nom en dessous, dans le dernier espace encore disponible.

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« J'ai entendu ce que les poètes écrivent des femmes. Ils rimaillent, abusent du dithyrambe et ils mentent. J'ai vu des marins sur le rivage regarder sans un mot les vagues qui se forment lentement sur la mer. J'ai vu de vieux soldats au cœur endurci avoir la larme à l’œil à la seule vue des couleurs de leur roi claquant dans le vent. Ces hommes ne connaissent rien à l'amour. L'amour, vous ne le trouverez ni dans les mots d'un poète, ni dans le regard nostalgique des marins. Si vous voulez savoir ce que c'est, regardez les mains d'un ménestrel lorsqu'il interprète sa musique. Lui connaît l'amour.»

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« Il est trois choses que l'homme sage doit redouter : une tempête sur la mer, une nuit sans lune et la colère de l'homme débonnaire. »

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- Qu'est-ce que tu m'as apporté? a-t-elle demandé.

- Et toi, qu'est-ce que tu m'as apporté? ai-je rétorqué.

Un grand sourire a éclairé son visage.

- J'ai une pomme qui se prend pour une poire, a-t-elle répondu en me la montrant. Et un petit pain qui se prend pour un chat. Et une laitue qui se prend pour une laitue.

- Elle est plutôt maligne, alors.

- Pas vraiment, a-t-elle remarqué en faisant la moue. Il ne faut pas être très malin pour se prendre pour une laitue.

- Même si on est effectivement une laitue?

- Particulièrement dans ce cas-là. C'est déjà suffisamment affreux d'être une laitue, inutile de penser par-dessus le marché qu'on en est vraiment une.

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- Notre petit Kvothe a un tempérament très vif, mais accordons-lui une minute pour se calmer et il se rendra compte de quoi il retourne. S’il est furieux, ce n’est pas parce que tu ne lui as pas fait confiance, Mola, ni parce que tu as réussi à faire parler Simmon. Non, il est furieux parce que tu as découvert à quelles extrémités imbéciles il est capable de condescendre pour impressionner une femme. (Il s’est tourné vers moi.) Condescendre, c’est le bon mot ?

- C’est à peu près ça, ai-je admis avec un gros soupir.

- Je l’ai choisi parce que la première syllabe dit bien ce qu’elle veut dire, a insisté Wilem.

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- Denna, je suis sérieux. Cet étui doit valoir autant que mon luth…

Je n’ai pas achevé ma phrase, saisi par la nausée, à la pensée de cet instrument que je ne possédais plus.

- Si je peux me permettre, monsieur…a glissé l’artisan. A moins que votre luth soit en argent massif, je crois que cet étui vaut bien plus que lui.

Le cœur au bord des lèvres, j’ai passé la main sur l’étui. Je ne trouvais rien à dire. Comment faire pour expliquer à Denna que l’on m’avait volé mon luth alors qu’elle s’était donné tant de mal pour faire un si merveilleux présent ?

Tout excitée, elle m’a adressé un sourire radieux.

- Et maintenant, a-t-elle annoncé. Voyons comment le luth se loge dans l’étui !

L’homme a pris mon luth rangé sous le comptoir et l’a déposé dans son étui. Il lui allait comme un gant.

J’ai éclaté en sanglots.

[…]

- Denna, je t’assure ! Tout va bien, maintenant.

Elle a violemment secoué la tête, les larmes ont roulé sur ses joues mais elle a refusé de me regarder.

- Non, ça ne va pas. J’aurais dû le savoir. Tu tiens à ton luth comme si c’était ton enfant. Si quelqu’un, un jour, m’avait regardée comme toi tu regardes cet instrument, je…

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-A présent, ferme les yeux et penche-toi pour recevoir ton deuxième cadeau.

Intrigué, j’ai obéi en me demandant si elle m’avait aussi façonné un chapeau.

J’ai senti ses mains sur mes tempes et elle a déposé un petit baiser délicat au milieu de mon front.

Surpris, j’ai rouvert les yeux mais elle se tenait déjà à plusieurs pas de là, les mains nerveusement jointes derrière son dos. Je n’ai pas su quoi dire.

Auri a avancé d’un pas, la mine grave.

- Tu occupes une place à part dans mon cœur, a-t-elle annoncé avec le plus grand sérieux. Je veux que tu saches que je veillerai toujours sur toi. (D’une main hésitante, elle a essuyé mes joues.) Non, tu ne pleureras pas ce soir…

[…]

Avant que j’ai eu le temps de répondre, Elodin a fait son apparition, émergeant de l’ombre avec autant de nonchalance que s’il faisait une promenade d’après déjeuner

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- Mais pourquoi souris-tu ?

- Parce que je suis soulagé, ai-je avoué. J'avais peur de m'être empoisonné au cadmium ou bien d'avoir une maladie mystérieuse. C'est tout simplement quelqu'un qui essaie de me tuer.

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