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Le sagesse exclut l'audace.
Afficher en entier"J'ai toujours trouvé qu'elle faisait plus vieille que son âge. Non, pas plus vieille…
-Plus mûre ? ai-je suggéré.
Il a secoué la tête.
-Non, je ne connais pas de mot qui convienne. C'est comme quand tu contemples un grand chêne. Ce n'est pas parce qu'il est plus vieux que les autres, ou plus grand, qu'il te plaît. Il a simplement quelque chose de plus que ceux qui sont plus jeunes. Une certaine complexité, de la solidité, une signification…". (p. 558).
Afficher en entier"Si tu as l'intention d'imposer ta volonté au monde, tu dois garder le contrôle de ce que tu crois." (p. 91)
Afficher en entier"Le pire était advenu, et cela ne s'était pas si mal passé." (p. 33).
Afficher en entier« Comment ça s’est passé ?
— Je vais être fouetté et admis à l’Arcanum.
Il m’a examiné d’un air intrigué, essayant de deviner si je plaisantais.
— Désolé ? Félicitations ? Je t’offre une bière ou un rouleau de pansements ? a-t-il demandé en souriant timidement.
— Les deux, ai-je répondu. »
Afficher en entier"J'ai l'impression d'avoir toujours eu froid jusqu'ici"
Afficher en entier-Crois-tu en Dieu ? m'a-t-il alors demandé.
-En Tehlu ? Tant bien que mal.
-Cela ne suffit pas.Crois-tu en tes parents ?
Sa question m'a amusé.
-Quelquefois.Mais je ne les vois pas en ce moment.
Il a grogné et décroché la cravache dont il usait pour réveiller Alpha et Bêta quand ils se montrait indolents.
-Est-ce que tu crois en ceci, E'lir ?
Il ne m'appelait E'lir que lorsque je me montrais trop borné à son goût.Il m'a tendu la cravache pour que je l'examine.
Ses yeux pétillaient de malice et j'ai décidé de ne pas tenter le sort.
-J'y crois.
Afficher en entierChroniqueur laissa échapper un petit rire sans toutefois lever les yeux de sa page ni cesser d'écrire. Kvothe poursuivit, souriant lui même. -Je vois que cela vous amuse. Très bien. Pour simplifier supposons que je sois le centre de la création. Cela nous permettra de passer sous silence d'innombrables épisodes d'un ennui abyssal: la grandeur et la décadence des empires, toutes sortes de sagas héroïques et de complaintes d'amour tragiques. Allons droit au seul récit qui nous intéresse ici: le mien, conclut-il avec un large sourire.
Afficher en entierSur lui je ferai descendre et la faim et le feu
Jusqu'à ce qu'il connaisse
L'abomination de la désolation.
Et que tous les démons qui peuplent les ténèbres
Comprennent enfin, avec stupeur,
Que, sans répit, la vengeance
Dévore le cœur de l'homme.
Afficher en entier- Écoute bien ce que j'ai à te dire, misérable mortel, siffla-t-il. Ne fais pas l'erreur de me confondre avec mon masque. Tu vois les reflets du soleil danser à la surface de l'eau mais tu oublies les profondeurs qu'elle dissimule, obscures et glacées.
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