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Les frères Vicarion ont annoncé leur intention meurtrière à tous ceux qu'ils ont rencontrés, la rumeur alertant finalement le village entier, à l'exception de Santiago Nasar. Et pourtant, à l'aube, ce matin-là, Santiago Nasar sera poignardé devant sa porte.
Pourquoi le crime n'a-t-il pu être évité ? Les uns n'ont rien fait, croyant à une simple fanfaronnade d'ivrognes ; d'autre ont tenté d'agir, mais un enchevêtrement complexe de contretemps et d'imprévus - souvent joyeusement burlesques -, et aussi l'ingénuité ou la rancœur et les sentiments contradictoires d'une population vivant en vase clos dans son isolement tropical, ont permis et même facilité la volonté aveugle du destin.
Chronique d'une mort annoncée est un roman hallucinant où l'humour et l'imagination du grand écrivain colombien, prix Nobel de littérature, se débrident plus que jamais pour créer une nouvelle et géniale fiction sur les thèmes éternels de l'honneur et de la fatalité.
Un vrai petit chef-d'œuvre. Ramassé sur lui, ce livre ce lit en à peine plus d'une heure, et pourtant...!
Garcia Marquez fait la démonstration brillante que la littérature n'a rien à voir avec le suspense ou l'histoire. Il annule les deux dès le début en annonçant ce qui va arriver.
Et pourtant, nous sommes tenus en haleine par ce récit en cinémascope de ce village finalement complice du meurtre dans sa totalité, où tout le monde savait et personne ne fait rien. Lâcheté humaine impitoyable où, quand les intérêts personnels ne sont pas en jeu, tout le monde s'accommode bien de sa complicité de meurtre.
La plume de Garcia Marquez, ici et là, rutile, pour croquer ces figures du mal ordinaire.
J’ai bien aimé, savoir qu’il va mourrir et voir au travers de ce livre le cheminement fut très intéressant. Je fus tout de même plus touché vers la fin Spoiler(cliquez pour révéler)À une seconde près et il ne mourrait pas qui m’a plutôt beaucoup marqué. Des fois il y avait quand même trop de description même si cela sert à poser un cadre des fois c’était pas utile à l’histoire.
J’ai passé une bonne lecture, c’était pas long que 116 pages.
Je n'ai pas apprécié ce court roman. Trop de descriptions bien qu'elles soient utile. L'idée était pourtant intéressante de savoir qui va mourir et de suivre le cheminement pour en arriver la
Le postulat de départ, auquel le titre même renvoie, celui de narrer les circonstances de la mort d'un personnage en débutant le récit en révélant au lecteur l'identité de la victime et les raisons des tueurs, est très bien utilisé. L'ensemble est agréable à lire mais il n'en reste pas moins qu'un tel roman relève plus de l'exercice d'auteur réussi que d'une histoire qui transportera les lecteurs.
Le style de Gabriel Garcia Marquez reconnaissable entre mille. Il y a dans cette « Chronique d’une mort annoncée » toute l’imagination, toute la truculence, toute la facétie et tout l’humour dont nous avait déjà gratifié Gabriel Garcia Marquez dans « Cent ans de solitude » et dont il nous gratifiera par la suite dans « L’amour au temps du choléra ».
C’est l’histoire d’un crime d’honneur dont tout le monde est informé sauf la victime. Il y a les incrédules, les je m’en foutiste, les opportunistes, les timorés, les égoïstes, les pressés, les inconscients…
« Chronique d’une mort annoncée » n’est ce pas un pamphlet contre l’attitude collective des hommes face aux dangers, contre l’humanité inconsciente et égoïste ?
Un court roman où le meurtre, le motif, les coupables et les témoins sont connus d'avance mais dont l'auteur arrive avec talent à nous agripper pour qu'on reste dans le livre et qu'on poursuive notre lecture jusqu'à la fin. Un drame fort pognant mêlant destin, crime d'honneur et individualisme.
Malgré la frustration et le bouleversement que ce livre a causé pour moi, je ne peux qu’admirer le talent de l’auteur. Sa plume dans ce livre est d’une complexe simplicité. L’histoire prend de nombreux chemins comme pour éviter l’inévitable, mais ce dernier tout comme pour Santiago nous attend à la fin, inéluctable et frustrante. La plume habile de l’auteur nous empêche d’accuser qui que ce soit. Notre lecture nous laisse complètement frustrés et furieux, mais il est impossible de trouver un coupable. Le tout n’est qu’un enchevêtrement de mauvaises circonstances, de mauvaises circonstances qui concluent en une mort si facilement évitable. Ce livre ne fait que me convaincre encore plus du talent incontesté de Gabriel Garcìa Màrquez. Cent ans de solitude vient de faire un bond immense dans ma pile à lire.
J'ai bien apprécié cette lecture. J'aime la forme du récit. On sait déjà la fin terrible dès les premières pages et pourtant on a toujours l'impression d'avoir une intrigue et une sorte d'espoir.
Résumé
Les frères Vicarion ont annoncé leur intention meurtrière à tous ceux qu'ils ont rencontrés, la rumeur alertant finalement le village entier, à l'exception de Santiago Nasar. Et pourtant, à l'aube, ce matin-là, Santiago Nasar sera poignardé devant sa porte.
Pourquoi le crime n'a-t-il pu être évité ? Les uns n'ont rien fait, croyant à une simple fanfaronnade d'ivrognes ; d'autre ont tenté d'agir, mais un enchevêtrement complexe de contretemps et d'imprévus - souvent joyeusement burlesques -, et aussi l'ingénuité ou la rancœur et les sentiments contradictoires d'une population vivant en vase clos dans son isolement tropical, ont permis et même facilité la volonté aveugle du destin.
Chronique d'une mort annoncée est un roman hallucinant où l'humour et l'imagination du grand écrivain colombien, prix Nobel de littérature, se débrident plus que jamais pour créer une nouvelle et géniale fiction sur les thèmes éternels de l'honneur et de la fatalité.
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