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page 403 nous avons tous nos petit talent personnels, mademoiselle lane.vous etes une nulle. je suis autre choses . ce qui est certain, c'est que je ne suis pas votre ennemi

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— À genoux, pri-ya ! éructa-t-il.

Décidément, les faës semblaient faire une fixation sur cette position. Un fantasme d’adoration ?

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Je faillis répondre au beau gosse par un sourire réservé, mais je me ravisai. À quoi bon ? Je n’allais tout de même pas sortir avec lui ! Je m’imaginais mal caser nos rendez-vous entre un entretien avec un vampire, une course-poursuite avec un faë et une séance de chasse à l’Objet de

Pouvoir… Et puis, je ne pourrais jamais lui dire de venir me chercher à la librairie. Qu’adviendrait il de lui si mon mystérieux hôte décidait d’éteindre de nouveau ses lumières extérieures ? Adieu, beau gosse ! Il ne resterait plus de mon admirateur qu’une pile de vêtements et un vilain parchemin jaunâtre…

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- Je ne peux pas vous laisser vous suicider sans tenter au moins un geste. Ma conscience me le reprocherait.

- Encore faudrait-il que vous en ayez une.

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— Est-ce que je me plains, quand vous me promenez dans les pires endroits de la ville à la recherche de vos saletés d'Objets de Pouvoir ?

Non, alors mettez-la en veilleuse, Barrons. Le moins que vous puissiez faire, c'est de m'aider à vernir mes ongles maintenant que mon bras est cassé. Réjouissez-vous, je ne vous demande pas de faire l'autre main, ni les orteils.

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A ces mots, l'Homme Gris retroussa sa bouche sans lèvres sur une rangée de chicots noirâtres et prit une inspirations saccadée, signe d'un trouble intense. Toute trace de moquerie disparut de son expression, tandis qu'une lueur d'intérêt nouveau s'allumait dans ses yeux noirs-un intérêt où se mêlaient une intense excitation sexuelle et un sadisme meurtrier qui faisait froid dans le dos...

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Pour l'instant, après vingt heures de voyage et trois escales, le dernier espoir d'Alina était affamé et épuisé. Ayant toujours été incapable de dormir si j'avais le ventre vide, je savais qu'il me fallait trouver de quoi me nourrir si je voulais pouvoir me reposer et être d'attaque le lendemain matin. Dans ce cas, pourquoi ne pas commencer dès maintenant à devenir quelqu'un dans cette ville inconnue ? Après m'être rafraîchie et recoiffée, je passai une jupe de jean blanc qui rehaussait le bronzage de mes jambes, enfilai un twin-set lilas, et je quittai la pension pour explorer le Dublin nocturne.

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La pièce, un carré de deux mètres cinquante de côté tout au plus, contenait un lit double coincé sous une étroite fenêtre, une méchante commode sur laquelle trônait une lampe d'un jaune sale et une chaise qui avait connu des jours meilleurs. À cela s'ajoutaient un lavabo sur pied d'un blanc douteux et une minuscule penderie toute de guingois équipée de deux cintres de métal tordu.

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Avec sa chevelure d'un blanc de neige, sa barbe impeccable, ses yeux pétillants de malice derrière des lunettes rondes et ses oreilles étrangement fines, l'homme ressemblait à un lutin tout droit sorti des contes et légendes de la verte Érin. Pendant qu'il cochait mon nom dans son registre et me rendait mon papier, il trouva le temps de me citer une bonne dizaine de hauts lieux touristiques dont je ne devais sous aucun prétexte manquer la visite. Du moins est-ce ce que je crus comprendre de son discours, débité à toute allure et émaillé de tournures délicieusement archaïques. Il fallait que je regarde la réalité en face : j'allais devoir fournir un sérieux effort cérébral pour accoutumer mon oreille américaine aux inflexions musicales des Irlandais et à leur façon singulière de formuler leurs phrases. Mon interlocuteur parlait si vite qu'il aurait aussi bien pu me lire l'annuaire des chemins de fer, pour ce que je saisissais de ses paroles.

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Il n'en est pas question. J'ai déjà perdu une fille dans ce pays, je n'ai pas envie qu'une autre y laisse sa peau. Impossible de la convaincre. Je m'y efforçais pourtant depuis le moment où, pendant le petit déjeuner, j'avais annoncé ma décision de partir à Dublin afin de voir par moi-même ce qu'avait fait la police pour retrouver le meurtrier d'Alina. J'avais l'intention de demander une copie du dossier et de faire tout ce qui serait en mon pouvoir pour inciter la police à rouvrir l'enquête. J'allais donner un visage et une voix - que j'espérais aussi éloquente que possible - à la famille de la victime. Je ne pouvais me défaire de l'idée que si quelqu'un, à Dublin, parlait et agissait au nom d'Alina, l'affaire serait traitée avec plus de sérieux.

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