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Chapitre 19, page 417

- Je vais aller leur rendre visite dans quelques jours, Barrons.

C'était un défi. Une façon de revendiquer ma liberté. Après les épreuves que j'avais endurées, je ne portais plus le même regard sur notre tandem. Lui et moi étions désormais égaux. Nous étions deux partenaires, et non plus un chef tout-puissant et son docile détecteur de reliques faës.

- Je compte y passer un peu de temps afin de voir ce que les sidhe-seers ont à m'offrir.

- Parfait. Je vous attendrai. Et si la vieille touche à un seul de vos cheveux, je la tuerai.

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Question : dans quelle mesure le fait d’être l’une des rares personnes capables de régler un problème fait-il de vous le responsable de sa résolution ?

Réponse : c’est la façon dont vous répondez à cette question qui vous définit

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Je ne me reconnaissais pas dans les vêtements qu’il choisissait pour moi. Au fond, je resterais toujours la petite fille rose bonbon de papa.

— Laissez-moi deviner, dis-je un peu sèchement. C’est noir ?

Il haussa les épaules.

— Près du corps ?

Pour la deuxième fois de la soirée, il éclata de rire. Voilà

qui ne lui ressemblait vraiment pas… Je le regardai, méfiante.

— Que vous arrive-t-il ?

— De quoi parlez-vous, mademoiselle Lane ?

Il s’approcha d’un pas. Un pas de trop…

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-Qui vous a frappée ?

Je battis des cils, prise au dépourvu. Allez lui expliquer que j'avais poignardé un vampire qui tenait de m'assassiner !

-Je suis tombée, improvisai-je. Dans les marches.

-Soyez prudente, les escaliers peuvent être traîtres.

[...]

-Mademoiselle Lane, veuillez monter dans votre chambre, m'ordonna aussitôt Barrons d'une voix doucereuse, sans même me regarder.

-Je suis très bien ici.

-J'ai dit, là-haut.

Son timbre avait soudain pris une inflexion nettement moins affable. Je laissai échapper un soupir de dépit. Je n'avais pas besoin de regarder O'Duffy pour savoir qu'il devait m'observer avec beaucoup d'intérêt...et un brin de pitié. Sans doute se disait-il que mon escalier s'appelait Barrons. Je déteste la pitié. La compassion me gêne moins. Manifester de la compassion à quelqu'un, c'est une façon de lui dire : « Je sais ce que vous ressentez. Je sais combien ça fait mal », tandis que regarder l'autre avec pitié, c'est le considérer comme une victime.

-Il ne me bat pas, marmonnai-je, irritée. Je le tuerais s'il essayait.

-Elle en serait capable, renchérit Barrons. Elle a un caractère impossible et elle est plus têtue qu'une mule, mais nous travaillons à corriger ça. N'est-ce pas, mademoiselle Lane ?

Il se tourna enfin vers moi et me désigna la cage d'escaliers d'un coup de menton autoritaire, tandis qu'un sourire carnassier étirait ses lèvres.

Un jour, me promis-je, je pousserais Jéricho Barrons dans ses derniers retranchements, juste pour voir sa réaction. Ce n'était qu'une question de temps.

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-Viens.

Il se retourna. Tel un automate, je lui emboîtai le pas.

Ce fut le moment que choisit Barrons pour jaillir de l'ombre. Il se rua sur moi, me fit rouler avec lui sur le sol et se plaqua sur moi de tout son corps.

Le Haut Seigneur pivota sur ses talons dans un tourbillon de pourpre.

-Elle reste avec moi, déclara Barrons.

Ses paroles s'élevèrent dans la caverne avec la puissance d'un millier de voix dont l'écho se répercuta longuement dans ma tête. Bien entendu, je restais avec lui.

Que m'étais-je imaginé ?

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— Inspecteur... commençai-je en adoptant mon plus bel accent traînant du Sud.

Chez moi, on appelait cela « le glaçage sudiste », et cela consistait à enrober ses paroles d'une sorte de beurre de cacahuète verbal destiné à masquer l'amertume de la vérité que l'on s'apprêtait à énoncer.

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Si savoir rimait avec pouvoir, je devais acquérir autant de connaissances que possible.

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"Question : dans quelle mesure le fait d'être l'une des rares personnes capables de régler un problème fait-il de vous le responsable de sa résolution?

Réponse : c'est la façon dont vous répondez à cette question qui vous définit."

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"- V'lane...

- V'lane n'est pas venu vous chercher dans cette fichue grotte! Où était-il, votre prince doré sur tranche, pendant que vous agonisiez? Aux abonnés absents!"

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Nous avons tous nos petits problèmes et angoisses personnels. Moi comme les autres. Quand j'étais lycéenne, dans les moments de doute, je me rassurais en me disant que j'avais deux solides atouts dans mon jeu : j'étais jolie et mes parents m'adoraient. Avec cela, j'étais capable de tout surmonter.

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