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- Il n'y a pas moyen de retirer un tatouage, avec un scalpel, par exemple ?

L'encre ne devait pas rentrer bien profondément dans l'épiderme, si ?

- Ce serait dangereux, et terriblement douloureux. De toute façon, j'avais l'intention de le placer à un endroit discret.

Je baissai les yeux sur mon corps.

- Où donc pensiez-vous cacher un... Oh, et puis je ne veux pas le savoir, ajoutai-je.

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Durant tout ce temps, je nourris le vague espoir que Barrons viendrait à ma rescousse – conséquence, je suppose, des innombrables contes de fées qu’on m’avait lus dans mon enfance, et dans lesquels le Prince Charmant venait immanquablement au secours de sa belle. Dans le Sud, les hommes se conformaient volontiers à ce cliché.

Mais dans le monde étrange où j’évoluais désormais, les règles avaient changé. Les princesses ne pouvaient compter que sur elles-mêmes.

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Il m'avait fallu dépasser les cadres de réflexion habituels, mais c'était une pratique dans laquelle je m'améliorais de jour en jour, bien que je n'aie aucune raison de m'en vanter. Il n'y a rien de glorieux à sortir de ses vieux schémas de pensée quand le monde s'effondre autour de vous.

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"I couldn't tell the difference between the two of you anymore !" He roared.

I smashed my fist into his face. Lies roll off us. It's the truths we worke hardest to silence. "Then you weren't looking hard enough ! I'm the one with boobs !"

"I know you're the one with boobs ! They're in my fucking face every fucking time I turn around !"

"Maybe you need to get a grip on your libido, Barrons !"

"Fuck you, Ms. Lane !"

"You just try. I kick the shit out of you !"

"You think you could?"

"Bring it on."

He grabbed a fistful on my T-shirt, and dragged me up against him until our noses touched. "I'll bring it on, Ms. Lane. But remember you asked for it. So don't even think about trying to tap out on the mat and quit the fight."

"You hear anybody crying 'Uncle' here, Barrons? I don't."

"Fine."

"Fine."

He swapped the fistful of my shirt for one in my hair, and ground his mouth against mine.

I exploded.

I shoved at him, and clawed him closer. He shoved me back, and yanked me tighter to his body. I pulled his hair. He pulled mine. He didn't fight fair. Actually, he fought exactly fair. He didn't extend courtesies, not a single one.

I bit his lip. He tripped me and pushed me down to the stone floor of the cavern. I punched him. He straddled me.

I ripped his shirt down the front, left it hanging in tatters from his soulders.

"I liked that shirt," he snarled. He rose over me, a dark demon, glistening in the torchlight, dripping sweat and blood, his torso covered with tatoos that disappeared beneath his waistband.

He grabbed the hem of my shirt, tore it straight up to my neck, and inhaled sharply.

I punched him. If he punched me back, I was past feeling it. His mouth was on mine again, the hot silk of his tongue, the sharp, deliberate abrasion of his teeth, the exchange of breath and the small, desperate sounds of need. A tsunami of lust - no doubt amplified by the Fae in my blood - crashed into me, knocking me from my feet, dragging me out to a dangerous sea. There was no lifeboat here in these deep, killing waters, not even a lighthouse, marking the way back to shore with its soft amber promise. There was only the storm of Barrons and the one I seemed to be.

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"Fine, Barrons, keep your secrets but know this : I'll only confide in you to the extent that you confide in me. You keep me in the dark, I'll keep you in the dark, and you know what that does? Leaves us both blumbing around in the dark. Seems pretty stupid to me."

"My night vision's just fine."

-- Mac & Barrons

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"Well done, Ms. Lane. Just when I think you're all useless fluff and nails, you show me some teeth." -- Barrons

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Après l’assassinat d’Alina, j’avais eu l’impression de devenir invisible. Il me semblait que mes parents ne me voyaient plus. Souvent, je les surprenais en train de m’observer avec un mélange de souffrance et de nostalgie qui me brisait le cœur. J’avais fini par comprenne que c’était Alina qu’ils traquaient sur mon visage, à travers ma silhouette, dans mes gestes. Ils la cherchaient de toutes leurs forces, invoquaient son fantôme.

Moi, j’avais cessé d’exister.

Je n’étais plus Mac, j’étais celle qui avait survécu.

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— Je dois être un peu secouée, dis-je dans un soupir. C’est bon, rentrons à la maison. Il n’y a rien, ici.

— À la maison ? répéta-t-il.

Sa voix au timbre grave avait pris une inflexion amusée.

— Il faut bien que je donne un nom à cet endroit, expliquai-je, un peu maussade. Il paraît que notre foyer est là où se trouve notre cœur. Je suppose que le mien est capitonné de satin et enfoui six pieds sous terre.

Barrons m’ouvrit la portière – côté conducteur.

— Peut-être pouvons-nous dissiper une partie de vos angoisses juvéniles, mademoiselle Lane ? demanda-t-il en me tendant les clés de la voiture. Non loin d’ici passe une route qui traverse des étendues désertes à perte de vue.

Une lueur de malice pétilla au fond de ses yeux sombres.

— Des virages diaboliques, et jamais un chat. Si vous nous emmeniez faire un tour ?

J’ouvris des yeux ronds de surprise.

— Vraiment ?

D’un geste inattendu, il écarta une boucle de mon front. Je sursautai. Barrons avait de solides mains, des doigts longs et fuselés, et il devait posséder je ne sais quelle puissance magnétique car, chaque fois qu’il m’effleurait, une inquiétante décharge électrique me parcourait. Je pris les clés en veillant à ne pas toucher sa peau. S’il le remarqua, il fit mine de n’avoir rien vu.

— Essayez de ne pas nous tuer, mademoiselle Lane.

Je me glissai derrière le volant.

— Coupé Viper, SR10. Six vitesses, moteur V-10, cinq cent dix chevaux à cinq mille six cents tours-minute, passe de zéro à quatre-vingt-quinze kilomètres-heure en trois secondes neuf centièmes, récitai-je en jubilant.

Il éclata de rire.

Je nous ramenai vivants. De justesse.

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Un chevalier venant à mon secours ? Hélas ! C’était V’lane. Dire qu’une seconde plus tôt, je pensais que ma situation ne pouvait pas être pire !

V’lane n’était pas un chevalier, mais un prince de la Cour de Lumière – si je pouvais me fier à ses propres affirmations – et un faë de volupté fatale. Il n’était pas en quête d’aventures amoureuses, mais de victimes qu’il ferait succomber sous ses ardeurs aussi érotiques que meurtrières.

Je baissai les yeux pour m’assurer que mes vêtements étaient toujours sur moi et constatai avec soulagement que c’était le cas. Les princes faës ont un pouvoir de séduction si puissant que les malheureuses qui croisent leur chemin en perdent pratiquement l’esprit. Face à eux, elles deviennent la proie d’une violente excitation sexuelle qui les rabaisse au rang de bêtes en chaleur, prêtes à tout pour assouvir leur soif de jouissance. Leur premier réflexe, à la vue de l’un de ces démons, est de se déshabiller.

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— Est-ce qu’il embrasse bien, au moins ? demanda alors Barrons, m’arrachant à mes pensées. En levant les yeux, je vis qu’il m’observait avec attention. Je frissonnai au souvenir des baisers de Derek et essuyai mes lèvres du dos de ma main.

— J’ai eu l’impression d’être un objet.

— Certaines femmes aiment ça.

— Moi pas.

— Cela dépend peut-être du propriétaire ?

— Permettez-moi d’en douter. Je ne pouvais même pas respirer.

— Peut-être qu’un jour, mademoiselle Lane, vous embrasserez un homme sans qui vous ne pourrez plus respirer, et vous vous apercevrez que ce n’est pas si important que cela.

— C’est ça, et un jour, mon prince viendra.

— Il n’en sera peut-être pas un. Les hommes le sont rarement.

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